Théorie de la justice

Sujet : Modèle américain et modèle européen de justice constitutionnelle : la distinction est-elle toujours pertinente ? « Le langage de la constitution des Etats-Unis confirme et renforce le principe considéré essentiel dans toutes les constitutions écrites, qu’une loi contraire à la constitution est nulle ; et que les tribunaux, ainsi que les autres pouvoirs, sont liés par un tel instrument ». C’est avec ces quelques mots que le Chief Justice Marshall concluait son arrêt de Marbury de 1803

C. Gilligan invite à prendre en compte la manière dont les individus se préoccupent et s' occupent à la fois d' eux-mêmes et des autres. Elle offre une conception éthique qui n' est limitée ni à l'impartialité, ni à des principes abstraits de justice. Féministe, le care articule également l'éthique et le politique, au-delà des questions de genre, en ébranlant la dévalorisation traditionnelle des activités sociales tournées vers le soin. C' est ainsi à une meilleure prise en compte de la texture

l’hypothèse de l’inconscient. Descartes, bien avant Freud, ignoré cette idée d’inconscient. Selon lui, cette théorie semblait impossible. Du point de vue Cartésien, tout homme est responsable de ses actes, et en ce sens, tout homme enfreignant la loi, devra être puni. Cette idée peut paraitre légitime puisque tout Homme serait jugé avec égalité et justice. Au contraire, si la justice prenait en compte l’hypothèse de l’inconscient, ( et dans ce cas, la particularité de chaque Homme ) alors il n’y

Sujet : « La théorie de la séparation des pouvoirs de Montesquieu est-elle conforme à la Vème République ? » « Le pouvoir arrête de le pouvoir. » Cette célèbre citation de Montesquieu fait référence à sa théorie sur la séparation des pouvoirs. Séparation qui d’un point de vue théorique permettrait d’en empêcher l’abus. Car selon lui, tout homme en possédant est porté à en abuser tôt ou tard, et cela jusqu’à rencontrer une limite. Le sujet se présente donc ainsi : « La théorie de la séparation

Fait régner la paix dans les populations : pouvoirs militaires et civils larges. Pouvoirs de justice préside tribunal ordinaire, pouvoirs financiers, lève l’impôt. Fait publier les décisions du roi. Comtes choisis dans l’aristocratie franque ou romaine selon la composition dominante de la population locale. En principe révocable deviennent inamovible gagnant autonomie sur le roi. III. La justice Civilisation peu évoluée, vengeance domine, deux sortes de juridictions : * Tribunal

principe de la constitutionnalité. Section 2 : Rigidité constitutionnelle et exigences du principe de constitutionnalité. Partie 2 : Le principe de constitutionnalité se concrétise par la mise en place de la justice constitutionnelle. Section 1 : La justice constitutionnelle et les standards internationaux. Section 2 : Le contrôle du principe constitutionnel à la lumière de la constitution marocaine. Introduction : La Constitution est un texte qui fixe l'organisation

volontariste et le courant objectiviste sur le rôle de l'Etat et la portée de sa volontaire dans I ‘organigramme décisionnel international ? Théories : La théorie volontariste et La théorie objectiviste Définitions La coutume : « la Cour applique […] la coutume internationale comme preuve d'une pratique générale acceptée, comme étant le droit La coutume selon la théorie objectiviste : la coutume comme une manifestation normative qui possède un fondement extérieur et supérieur a la volonté de l'Etat.

droit communautaire dans leur vie quotidienne et cela par l’intermédiaire des droits directement applicables qu’implique l’applicabilité directe des normes communautaire. Le traité étant ,dans l’ensemble muet sur ces questions c’est à la cour de justice qu’a incombé la charge de définir les mécanismes d’articulation entre le droit communautaire et les droits nationaux. La cour aurait pu rester fidèle au droit international public et laisser à chaque Etat membre le soin de dégager les solutions applicables

définition et une application théorique bien complexe, il faudrait en reprendre l’essence même de son origine et son évolution. La démocratie, telle qu’elle est appliquée dans notre pays fut tout d’abord donc mise en place selon une éthique de la justice. Pensée comme la possibilité la plus égalitaire et possible de système politique, la démocratie trouve ses racines dans l’antiquité. C'est en 507 avant J.C. qu'est née la démocratie dans la cité. A l'époque, environ quarante personnes sur les deux

pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ». Ce principe apparait comme un principe phare dans notre système politique. La théorie de la séparation des pouvoirs est apparue dans l’ouvrage de Montesquieu «  De l’esprit des lois » 1758 , qui s’est lui-même inspiré de la mise en évidence de cette théorie par John Locke. Pour Montesquieu , il y’a dans chaque Etat, trois sortes de pouvoir ; législatif , exécutif et judiciaire. Le magistrat ou le prince fait les lois