Théorie De Kotler

INTITULE DE L’ARTICLE AU MAJUSCULE, CALIBRI 12, CENTRE, INTERLIGNE SIMPLERevue Française d’Economie et de Gestion ISSN : 2728- 0128 Volume 2 : Numéro 6 Revue Française d’Economie et de Gestion www.revuefreg.fr Page 39 ARRET SUR UNE IMAGE DU MARKETING D’UNE BANQUE PARTICIPATIVE : BANK ASSAFA STOP ON A MARKETING IMAGE OF A PARTICIPATORY BANK: BANK ASSAFA Abdelkoddous ABOULAALA Doctorant Faculté des

relationnel) qui s'inscrit non pas en continuité mais en rupture avec le paradigme transactionnel Le paradigme relationnel se présente sous trois angles différents : celui de la théorie de la firme et des organisations, celui de l’économie des contrats et enfin, celui de l’échange social. III. Les principes 1. La théorie de la firme: On assiste à un évanouissement des frontières de la firmes d’où l’émergence d’une conception réticulaire de l’entreprise. III. Les principes 2. Economie

ou inconsciente, qui pousse le consommateur à agir, c’est un mobile. Un frein est une force consciente ou inconsciente, qui empêche l’achat et l’utilisation d’un produit ou d’un service. De nombreux psychologues ont proposé des théories de la motivation. La théorie freudienne soutient que les besoins de l’être humain sont largement inconscients. Selon Freud, l’individu réprime de nombreux désirs lors de son développement et de son acceptation progressive de la vie en société. Ces désirs ne sont

caféine, sans parler de la stratégie des groupes distribuant des alcools ou du tabac. Cette intégration dans les analyses et la prise de décision des entreprises d’un plus grand nombre de facteurs et ceci à un horizon plus éloigné, relève pour Kotler du marketing « sociétal ». Ce néologisme, issu tout droit du franglais, ne procède pas de façon imprécise d’une conception du marketing qui prendrait en compte le bonheur à long terme des individus. De façon plus précise nous voudrions simplement

A – QUELQUES DEFINITION DU MARKETING 1Boukhaoua Smail « Marketing la petite histoire du concept » Avril 1996 2Lassary « Le marketing c’est facile » edition Esselem,Alger 2000 3Lindon et Lendrevie « Mercator theorie 1.2 – EVOLUTION ET DEVELOPPEMENT DU MARKETING A – EVOLUTION DU MARKETING Jusqu’aux années 1950, le marketing reste essentiellement une technique opérationnelle de vente. À partir des années 1960, il va sortir de ce cadre opérationnel

Amérique de la société de production à la société de consommation. En 1963 en France, le premier hypermarché est une enseigne Carrefour. La France entre dans un modèle de société d’abondance. INTRODUCTION : Quelques définitions du marketing : Selon Kotler et Dubois « le marketing c’est un mécanisme économique et social par lequel individus et groupes satisfont leurs besoins et leurs désirs au moyen de la création et de l’échange de produits et autres entités de valeur pour autrui. » Il consiste à

lorsqu’il est perçu comme étant nouveau pour le consommateur. 1.4 Le cycle de vie du produit On distingue quatre étapes : naissance (lancement) ; croissance (cette phase est appelée aussi développement) maturité et déclin, cette théorie a connu un grand succès grâce à ca simplicité et son caractère descriptif. . [pic] Figure : cycle de vie du produit ➢ La phase de lancement : Le nouveau produit est progressivement lancé sur le marché cible :

seule façon de maintenir la croissance et la rentabilité ». La morale de cette vision, c'est que ce n'est pas la qualité qui coûte cher, ais son absence. 1.1.2. Les Déterminants de Qualité Nombreux auteurs tels que KOTLER et DUBOIS commencent leur théorie en mettant les clients au sommet de la pyramide de l'entreprise. Puis, ils les ajoutent sur les deux (2) côtés de la pyramide pour rappeler que toute l'entreprise est, en définitive, au service des clients. En effet, les clients

caféine, sans parler de la stratégie des groupes distribuant des alcools ou du tabac. Cette intégration dans les analyses et la prise de décision des entreprises d’un plus grand nombre de facteurs et ceci à un horizon plus éloigné, relève pour Kotler du marketing « sociétal ». Ce néologisme, issu tout droit du franglais, ne procède pas de façon imprécise d’une conception du marketing qui prendrait en compte le bonheur à long terme des individus. De façon plus précise nous voudrions simplement

groupes de consommateurs partageant les mêmes opinions et les mêmes exigences concernant leur produit. Cette cible établie est tout simplement un segment de marché qui « permet d’affiner produits et services en adaptant davantage aux clients visés. »40 Kotler et Dubois dans Marketing Management font ressortir quatre différents critères de segmentation des marchés de grande consommation : la segmentation géographique : La position géographique doit avoir un certain impact sur le comportement du consommateur