Universalisme Communautarisme

Rapport au temps Rapport aux personnes et aux actions Relations interpersonnelles Distance hiérarchique Contrôle de l’incertitude Masculinité/féminité Individualisme/collectivisme TROMPENAARS Individualisme/collectivisme Objectivité/subjectivité Universalisme/particularisme Culture diffuse/limitée Statue attribué/acquis Rapport à la nature Rapport au temps HALL Espace (personne/physique) Temps (monochronique/polychronique) Langage (forte charge contextuelle/faible charge contextuelle) Nous allons

intégration, Pauvreté, anomie, déviance, individualisme, La cohésion sociale et exclusion solidarité mécanique/organique les instances d’intégration Etat-providence, assurance/assistance, Risques sociaux, Protection sociale et redistribution universalisme/communautarisme solidarités collectives 3- Les enjeux de l’ouverture internationale 3.1 internationalisation des échanges et mondialisation Avantages comparatifs, division Balance des paiements, termes de l'échange, Commerce internationale du travail,

aussi dans un réseau de relations impersonnelles. En voulant réduire au minimum les fonctions de l'État, le libéralisme économique crée un environnement qui interdit l'individualisation des individus et donc qui favorise, consciemment ou non, le communautarisme, sous le prétexte de lutter contre l'assistance. Les solidarités familiales peuvent être positives mais elles ont l'ambiguïté du don qui crée de la dépendance. Seuls ces liens impersonnels permettent le desserrement des liens de dépendance personnelle

aujourd’hui à une nouvelle diabolisation du régionalisme, de l’ethnisme ou du communautarisme, qui relève dans une large mesure du fantasme. On parle de « communautarisme » sans avoir la moindre idée de ce qu’ont pu écrire les théoriciens communautariens. On continue de célébrer le refoulement ou la liquidation des identités comme une « émancipation »52. On disqualifie les revendications « ethniques » au nom de l’« universalisme », en oubliant que l’universalisme n’est que le paravent habituel de l’ethnocentrisme

quelle est l’ampleur réelle des discriminations dans le monde du travail ?). Hors du cercle étroit des experts, le débat est dominé par des approximations (par exemple sur la réalité des expériences étrangères) et des fantasmes (par exemple sur le communautarisme) qu’on aimerait voir disparaître. Le choix des moyens pour répondre au défi de la « discrimination raciale » n’est malheureusement pas simple. C’est un débat largement inédit pour la société française. On s’illusionnerait pourtant à vouloir trouver

paraissent moins supportables dans les sociétés modernes. => On comprend un peu mieux le lien social se tisse directement entre les ind et la société. Cela permet d'émanciper la pers des attaches issues de la société traditionnelle Individualisme universalisme = les droits individuels reconnus à tout le monde Cela caractérise nos modèles de cohésion sociale L'inconvénient de ce modèle de solidarité = une pratique froide de la cohésion sociale Car il manque les intermédiaires entre l’individu et la société

D'INTEGRATION * Intégration * Lien social * pauvreté * PROTECTION SOCIALE * Redistribution * risques sociaux * Socialisation * solidarité mécanique / organique * SOLIDARITES COLLECTIVES * universalisme / communautarisme * Acculturation * Avantages comparatifs * balance des paiements * banque mondiale * barrières tarifaires / non tarifaires * COMMERCE INTERNATIONAL * commerce intra-firme * Compétitivité * contrainte

une adhésion volontaire, un « plébiscite de tous les jours » selon la formule d'Ernest Renan que se forge la nation. Le citoyen français apparaît donc comme un être abstrait. On peut donc dire que ce modèle d’intégration, souvent qualifié d’« universalisme républicain » n’interdit pas les identifiés sociales et/ou culturelles dans l’ordre de la vie sociale ou privée mais interdit qu’il ne se manifeste dans la vie publique. L'intégration sociale a pour but de lutter contre « l'exclusion » sociale

ensemble : des individus, la société, le langage. On verra dans la troisième partie de ce cours sur le libéralisme que la question de savoir si l’individu est essentiellement social ou non constitue un point important du débat dans le débat entre communautarisme et libéralisme politique. Un dernier point plus général à l’encontre du holisme structural dans son ensemble est le suivant : l’idée que le tout est, d’une manière ou d’une autre, essentiel au partie, est souvent considéré comme compromettant

s'établie, s'organise et se transmet. La Pensée P concerne les relations du pouvoir, entre gouvernants et gouvernés, relations qui affectent les citoyens et les prennent à parti. Ces IP s'attachent aux faits politiques. Plan : Antiquité : universalisme chrétien puis l'Absolutisme et sa contestation. Bibliographie : Histoire de la pensée politique - Pallot- 1993 Les grandes œuvres politiques de Machiavel à nos jours- Armand Colin-1990 Philippe Nemo, L'histoire des IP aux temps modernes et