Vroom Valence Expectation

qui concerne les relations entre l’effort et la qualité de la prestation d’une part, et d’autre part, la désirabilité des divers résultats du travail associés aux différents degrés de qualité de la prestation. 2 L’apport de Vroom ou la théorie expectative de Vroom Vroom : un psychologue spécialiste en comportement organisationnel. il considère que la motivation est toujours la résultante d’une série d’attentes, les facteurs déterminant ces attentes sont : Niveau d’Expectation : Il concerne

question « comment un individu est-il motivé ? », ce qui consiste à analyser de quelle manière des variables interagissent pour conduire à la motivation. Parmi les théories de processus, la théorie EIV (Vroom, 1964) considère que la motivation résulte de trois variables :  * E = expectation - L’individu attend un certain résultat ou une certaine performance suite à son effort. L’individu est motivé s’il se sent capable d’accomplir le travail demandé. La perception de sa propre capacité est liée

winning the war for talent * Develop a positive employment relationship and psychological contract According to Armstrong (2002) * Play a significant part in the communication of the organisation values, performance, standards and expectations * Align reward practice with both business goals and employee values to encourage behaviour that will contribute to the achievement of the organisations objectives and reflect the balanced score card of the key performance drivers of customers

travail, l’homme et le groupe II. A. Les aspects humains du travail : satisfaction, implication, motivation Théorisé par VROOM en 1964. Il met en évidence le processus de la motivation de l’individu dans l’organisation. Il propose donc le modèle « VIE »    V = valence : c’est la valeur du résultat obtenue par l’individu sous forme de satisfaction. Si la valence est positive alors cela implique de la satisfaction, si elle est nulle alors aucune satisfaction, si négative alors cela provoque

forces incitant l’individu à s’engager dans un comportement donné » Dolan et al. 1996 Théories de la motivation  Théorie des besoins : Pyramide (Maslow) Théorie bi factorielle (Herzberg) Approche sociotechnique (Emery & Trist) Théorie des attentes (Vroom) Théorie de la justice (organisationnelle) : Théorie de l’équité (Adams) Théorie de la justice procédurale (Leventhal) 1) Les théories des besoins Approche par les besoins : ils expliquent la motivation par un manque. A l’origine de la motivation

au travail comme [10]« la somme des résultats attendus, dans un emploi (A) multipliée par la valence (V) de chacun de ces résultats». La motivation au travail est définie comme l’ensemble des aspirations ou des attentes (A) d’un travailleur en ce qui concerne son emploi. Chacune de ces attentes est affectée d’une valence (V) qui augmente avec la désirabilité ou l’importance de l’attente. Les valences attribuées aux attentes sont subjectives. Elles peuvent différer selon le travailleur et le

Abraham Harold Maslow’s hierarchy of needs theory Physiological needs Safety needs belonging and love needs esteem needs 2 Equity theory of stacey adams 3 Expectancy theory of victor vrooms 5 Types of motivation 1 Intrinsic motivation or expansion motivation 2 Extrinsic motivation or expectation motivation 3 Combined motivation 6 Components of motivation 1 Activation 2 Persistence 3 Intensity 7 Pedagogic implications conclusion Bibliographie Exposé 6 : Le phénomène

travail. La mise en relation de la motivation au travail avec la performance est de plus en plus examinée au cours des années et aboutit à l’une des théories de la motivation les mieux adaptées à l’étude du phénomène : la théorie des attentes (Vroom, 1964). Avec cette théorie, la notion de « motivation à être performant » devient couramment utilisée. La performance au travail sera même centrale dans l’extension de la théorie des attentes proposée par Porter et Lawler (1968). La motivation apparaît

connaissances -------------- rétribution : management, perspective de dvt, reconnaissance, rémunération 2.La Théorie des attentes de Vroom (1964) : Valence : est ce que cela vaut la peine ? valeur attribuée par l’individu à la récompense - Instrumentalité : est ce possible ? perception de la probabilité que telle performance permette d’accéder à la récompense - Expectation : en suis-je capable ? perception de sa propre capacité à atteindre la performance. M=VxIxE Si l’un des 3 n’est pas satisfait, pas

la question « comment un individu est-il motivé ? », ce qui consiste à analyser de quelle manière des variables interagissent pour conduire à la motivation. Parmi les théories de processus, la théorie EIV (Vroom, 1964) considère que la motivation résulte de trois variables :  • E = expectation - L’individu attend un certain résultat ou une certaine performance suite à son effort. L’individu est motivé s’il se sent capable d’accomplir le travail demandé. La perception de sa propre capacité est liée