La Perfectibilite

entre les hommes a cause des possessions matérielles comme l’héritage qui sont complément différents de l’un et de l’autre. Pour Rousseau, l’homme est différent par rapport aux autres êtres naturelles et en particulier de l’animal à cause de sa perfectibilité. La société est un produit de l’homme car l’homme peut devenir moral, remplacer dans sa conduite la justice à l’instinct. Le problème est de trouver une forme de société dans laquelle l’homme pourrait préserver sa liberté naturelle et assurer

ici comme en toute chose, que la voix de l'instinct : incapable de se choisir, il demeure incapable de progresser. 2. La perfectibilité, fondement de la spécificité humaine Or, tel est en dernière analyse le véritable fondement de la spécificité humaine chez Rousseau : ce qui distingue à coup sûr l'homme de l'animal, c'est la faculté de se perfectionner ou perfectibilité. Pour l'homme et pour l'homme seul, demain peut être autre chose que la répétition d'hier : il peut devenir capable de faire

l'homme naturel est un animal très bien organisé . -L'aspect métaphysique ( P 182 à 209 ) : Rousseau s'interroge sur la différence essentielle entre l'homme et l'animal, ce n'est certainement pas l'intelligence, c'est : -sa qualité d'agent libre -sa perfectibilité -L'aspect moral ( p209 à 218 ) : l'homme naturel a avant tout le soucis de sa propre conservation, il connaît "l'amour de soi", autrement dit un égoïsme instinctif et innocent. Enfin, il connaît un sentiment qui est antérieur à la réflexion qui

notion de l’infini Leibniz refuserait le bonheur parce que cela signifierait abandonner la notion de perfectibilité La théorie du progrès très spécifique qui est exclusivement positive est issue de Leibniz (Rousseau/Condorcet) Progrès : c’est une loi de la nature comme de la moralité qu’il y ait perfectionnement Nécessaire/Possibilité (suppose l’impossibilité, implique une impuissance) Perfectibilité : une possibilité de perfectionnement et non une nécessité. C’est l’idée que spécifiquement dans la

ici comme en toute chose, que la voix de l'instinct : incapable de se choisir, il demeure incapable de progresser. 2. La perfectibilité, fondement de la spécificité humaine Or, tel est en dernière analyse le véritable fondement de la spécificité humaine chez Rousseau : ce qui distingue à coup sûr l'homme de l'animal, c'est la faculté de se perfectionner ou perfectibilité. Pour l'homme et pour l'homme seul, demain peut être autre chose que la répétition d'hier : il peut devenir capable de faire

preuves du progrès. Dans le domaine technique, le progrès s’illustre par de nombreux objets (téléphone), moyen de transport (voiture, avions) qui nous entourent : il permet d’améliorer sensiblement nos vies. L’Homme se caractérise en effet par sa « perfectibilité » comme disait Rousseau. En outre, Darwin évoque une évolution génétique dans le cadre de laquelle l’espèce humaine améliore les capacités de son organisme, comme par exemple pour leur cerveau. Certes, un cerveau plus gros n’induit pas forcément

d’agir en fonction de ce que son instinct lui suggère contrairement à l’animal qui lui exécute les ordres de programmation instinctuelle. Donc, Descartes définit la liberté à travers la raison contrairement à Rousseau qui parle d’instinct et de perfectibilité. Ensuite, Descartes exprime la liberté en parlant des connaissances de chaque être humain. L’homme arrive à être libre grâce à ses connaissances qui l’aident à prendre de bonnes décisions face à sa pensée. Dans ce cas, plus un homme acquiert des

Forrest peu totalement connaitre l’amour ou développer cette capacité même s’il n’est pas malin. C’est avec des exemples comme cela que Rousseau établit cette hypothèse. Il dit que nous avons la qualité la plus fondamentale du genre humain : la perfectibilité. Elle permet de développer toutes les autres qualités peu importe votre situation ou statut d’humain. En d’autres termes, Rousseau aurait appuyé les propos de Forrest et se serait réjoui d’entendre des paroles qui prouvent la fiabilité de ses

(=dépasser) la nature : ce qui signifie que l’homme est fondamentalement LIBRE : Rousseau montre dans le Discours sur l’inégalité que l’homme n’est pas déterminé par l’instinct mais qu’il peut choisir librement et qu’il est perfectible (le concept de « perfectibilité » chez Rousseau signifie l’ouverture à l’histoire, la condition de possibilité de la culture conçue comme création, innovation et non pas comme tradition) ; l’ essence de l’homme est de ne pas avoir d’essence, d’être indéterminé : cette liberté

perfection. Ils refusent de lire l’Histoire comme l’accomplissement d’un dessein. J-J Rousseau s’opposera à cette conception de manière frontale. Pour lui, le trait d’instinctif de l’espèce humaine n’est pas la marche vers le progrès, mais la seule perfectibilité. C'est-à-dire une capacité de se rendre meilleur comme d’améliorer le monde, mais dont les effets ne sont ni garantis ni irréversibles. Il croit que chaque progrès est immanquablement payé par une régression dans un autre domaine = solidarité