Anzilotti

inachevé11. Cette attitude n’est pas neutre dès lors qu’elle permet d’affirmer que le droit international doit nécessairement refléter les intérêts sociologiques profonds de cette communauté. En revanche des réalistes, d’orientation volontariste comme D. Anzilotti ou conservatrice comme E. Kaufman12, soutiennent que ce type de communauté n’a jamais existé et d’ailleurs qu’elle n’existera jamais comme telle car la souveraineté des Etats constitue un fait antinomique à la communauté. En réalité, ces deux attitudes

originaire, puisqu'il y a le principe de la continuité de l'Etat. [27]. Nguyen Quoc Dinh, Patrick Daillier et Alain Pellet, Droit international public, Paris, L.G.D.J., 4e édition, 1992, p.92. [28]. Cette doctrine a été défendue surtout par Triepel et Anzilotti. Voir Charles Rousseau, Droit international public, Paris, Sirey, 1970, t.I, p.39. [29]. Par exemple Zorn, Kaufmann, Wenzel et la conception soviétique avant la perestroïka. Voir Charles Rousseau,  op. cit., p.42-43. [30]. Par exemple Kunz, Kelsen

estén en oposición a las reglas del DIP, entre otras. Rousseau, quién participó de esta teoría, consideró que el "Derecho Internacional y el Interno eran sistemas de derecho igualmente válidos, pero de ninguna manera podían confundirse". Triepel y Anzilotti, también representantes de esta posición, afirman que "aunque existe alguna relación entre los dos ordenamientos jurídicos, se trata de dos sistemas separados".
No es posible hablar de Normas Internacionales que sean producto de normas internas,

portée juridique parce que la loi le dit tandis que dans l’acte union, la contrainte réside dans la volonté de chacun, par l’acte lui-même. Cette idée de droit international par la volonté commune a été vue aussi en Italie mais avec une précision. Anzilotti ne veut pas de l’auto limitation. Il pense que l’acte union est insuffisant. Il est pour un acte union mais avec l’idée que le système découle d’une norme hypothétique fondamentale. La vis obligandi (force obligatoire) des normes du droit international

droit dans la hiérarchie des normes) est variable. Elle va dépendre de ce que prévoit l’ordre juridique propre à chaque État. Tout dépend de ce que l’État veut faire de ce droit international. Il y a deux façons de voir les choses: • Thèse dualiste: Anzilotti va considérer que l’ordre international public, se distingue de l’ordre national. Il y a une séparation radicale. La question de l’autorité de l’un sur l’autre ne se pose pas, puisqu’il n’y a aucune interaction entre ces deux systèmes de droit. •

Qu’entend-on par particularistes et universalités en DIP ? Débat quant à la place des sources internationales et des sources internes dans en DIP.  D’abord   territorialistes, puis universalistes et réactions particularistes Particularistes (XXe Anzilotti, Kahn, Bartin et Nobiyet) : o Solutions propres dans chaque Etat, tentative de faire prévaloir les intérêts nationaux o Sources internes privilégiées, règles unilatérales (respect souveraineté) o Raison :  DIP  est  la  projection  des  droits

Jillineck. Pour Triepel, c’est la volonté commune des E dont va émaner le droit international. Volonté commune et non unilatérale. Et différence que ce n’est pas la somme des volontés individuelles des E mais volonté commune (consentement général). Anzilotti se rapproche des idées de Kelsen et va assoir sa théorie sur la notion de la force du traité et de la formule pacta sund servanda. L’ensemble du droit international est fondé sur cette maxime. Mais pour lui, les T ne sont que l’expression écrite

Paragraphe 1 : Une conception ancienne Jusqu’au XVIIIe siècle, la coutume internationale est perçue comme l’expression tacite d’un accord survenu entre diverses autorités. Cette conception a été l’œuvre de divers auteurs tels que Anzilotti et Triepel, elle peut être appelée « conception subjective de la coutume ». Ainsi, dans cette conception, la volonté des Etats est requise. Ce sont eux qui vont exprimer leur accord pour voir telle ou telle règle coutumière leur être applicable

pour les rédacteurs de la CIJ de reconnaître à la cour de l’existence de tels principes et non pas de les créer. Cela étant, la doctrine internationaliste volontariste, qui se focalise sur la volonté de l’Etat tel que par exemple l’italien ANZILOTTI a considéré qu’il n’y’aurait pas de principes généraux de droit international qui s’imposent aux Etats en dehors de stipulation conventionnelle expresse, il faut qu’une convention internationale prévoit expressément le respect de ces principes généraux

volonté dont elle procède et sans laquelle elle n’existerait pas. Les défenseurs de cette théorie sont par exemple Jellinek, avec sa théorie de l’autolimitation ; Triepel avec sa théorie de la “ vereinbarung ” ou fusion des volontés communes ; et Anzilotti qui voit dans la règle du “ pacta sunt servanda ” la pierre angulaire de l’ordre juridique international. Quant à l’objectivisme sociologique qui rassemble sous la même bannière, l’école “ jus naturaliste ” et l’école sociologique de George