Arrêt Cjce 17 Décembre 1970

rationalisation de ces énergies « renouvelables », appelant une intervention du droit, sont apparus plus tardivement. L’émergence de l’expression « énergies renouvelables » est elle-même difficile à dater mais paraît se situer au tournant de la décennie 1970-1980, comme en témoigne la création de « l’Observatoire des énergies renouvelables » (association française d’intérêt général) en 1979. La formule est employée à présent couramment, y compris dans les sources normatives. 304 textes de droit dérivé

simples : d’une part, celui d’une personne qui fait une donation à une autre, à condition que cette dernière ne se marie pas ; d’autre part, celui d’un contrat de travail prévoyant que le contrat prend fin de manière automatique si le salarié se marie. 17/ De toute évidence, une telle clause est attentatoire à la liberté matrimoniale car elle peut décourager le gratifié ou le salarié de se marier, par crainte de perdre son emploi ou la donation. Pour cette raison, le droit est venu réglementer les clauses

citoyens et c’est sans doute pour cette raison que les constituants n’ont pas jugé utile de mentionner ce principe dans la DDHC (cf Jean-Louis Mestre « le CC, la liberté d’entreprendre et la propriété « ) La LCI sera finalement proclamée par la loi du 2-17 mars 1791 : décret d’Allarde, texte à portée fiscale qui crée la patente : « A compter du 1er avril prochain, il sera libre à toute personne de faire tel négoce ou d’exercer telle profession, art ou métier qu’elle trouvera bon, mais elle sera tenue

citoyens et c’est sans doute pour cette raison que les constituants n’ont pas jugé utile de mentionner ce principe dans la DDHC (cf Jean-Louis Mestre « le CC, la liberté d’entreprendre et la propriété « ) La LCI sera finalement proclamée par la loi du 2-17 mars 1791 : décret d’Allarde, texte à portée fiscale qui crée la patente : « A compter du 1er avril prochain, il sera libre à toute personne de faire tel négoce ou d’exercer telle profession, art ou métier qu’elle trouvera bon, mais elle sera tenue

«fondamentalité » d’une liberté pourra être plus relative que celle d’un autre. La distinction faite par L.Favoreu peut sembler infondée si on admet que le juge ordinaire, en particulier le CE, peut être amené à dégager des libertés fondamentales. Exemple : Arrêt CE du 3 juillet 1996 MOUSSA KONE. Ici le CE reconnaît un principe fondamental reconnu par les lois de la république. De même la réforme du 30 juin 2000 relative au référé devant les juridictions administratives, permet au CE, dans le cadre du référé

République (1). Les textes soumis à l'examen du juge constitutionnel sont, d'une part, le deuxième Protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, visant à abolir la peine de mort, adopté à New York le 15 décembre 1989 et, d'autre part, le Protocole n° 13 à la Convention européenne relatif à l'abolition de la peine de mort en toutes circonstances, adopté à Vilnius le 3 mai 2002 (2). Ils sont, dans une large mesure, plus abolitionnistes que le Protocole n°

l’état. Ou encore règles quant à l’attribution des droit de trafic. L’état donné à certaines compagnies telles ou telles lignes donc pas de concurrence car répartition des lignes =}droit compartimenté et très structuré avec aucune concurrence. 1970 massification du transport aérien, libéralisme, développement du transport donc impossible de resté sur cette base là. Mais aussi en Europe le principe de la libre concurrence (éviter les levier, ou moyens détournés : cf attribution de créneaux horaires…)

rentrait dans la catégorie des impositions de toute nature visées à l’article 34 dont il appartient au législateur de fixer l’assiette, le taux et les modalités de recouvrement. Le CE parait consacrer également ce critère, c’est ainsi que dans un arrêt de 2000, agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie, il a considéré que la taxe institué par le décret de 1990 sur les émissions de monoxyde d’azote relevait de la catégorie des impositions de toute nature visées par l’articles 34.

mariage, filiation, contrat) or, compte tenu de l’évolution des mœurs la jurisprudence a pris acte (chambre mixte) de cette évolution des choses et a décidé que la concubine pouvait obtenir réparation du préjudice causé par la mort de son concubin. En 1970 il suffisait alors que soit établie la stabilité du lien (acte de concubinage ou notoriété publique) cette évolution est fondamentale en droit. Le préjudice réparable peut être matériel (atteinte à la consistance du patrimoine), corporel : atteinte

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