Consequentialisme

Théoricien majeur de la philosophie du droit – père de l’utilitarisme - est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles. L'utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme : il évalue une action (ou une règle) uniquement en fonction de ses conséquences. …. après le 18ème siècle …il y a un peu un trou Ronald Coase (1960) Publication de son article : le théorème de Coase. Certains considère que l’aéd à commencé

empathique pour nos proches, est beaucoup moins pour les sujets distants. Exemple : le décès d'un de nos proches, nous affecte probablement plus, qu'un autre drame provoquant beaucoup plus décès sur des personnes inconnues. Déontologisme VS conséquentialisme. 2.2 Les métathéories des experts Sigmund Freud (1929/1989), dans « Malaise dans la civilisation » L’homme n’est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d’amour, dont on dit qu’il se défend quand on l’attaque, mais un être au contraire

méthodes comptables, entre autres, suffisent à maintenir l’indépendance de l’auditeur. Moizer (1995) analyse de façon approfondie les dilemmes éthiques rencontrés par les auditeurs à la lumière des deux principaux courants éthiques occidentaux : le conséquentialisme et la déontologie. Mintz (1995), se fondant sur la théorie de la vertu développée par Pincoffs (1986), nous livre le fruit d’une réflexion approfondie sur les vertus dont doit disposer l’auditeur, afin de résister aux diverses pressions : bienveillance

M. McCutcheon and F. I. Stuart, et al.: 2004, ‘Effects of Supplier Trust on Performance of Cooperative Supplier Relationships’, Journal of Operations Management 22, 23–38. Kapur, N. B.: 1991, ‘Why Is It Wrong to be Always Guided by the Best: Consequentialism and Friendship’, Ethics 101(3), 483–504. Kidd, J., F.-J. Richter and M. Stumm: 2003, ‘Learning and Trust in Supply Chain Management: Disintermediation, Ethics and Cultural Pressures in Brief Dynamic Alliances’, International Journal of Logistics

déontologique : raisons sociologiques et pertinence éthique à l’heure du pluralisme moral . . . . . . . . . Eirick Prairat 31 Précisions liminaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 Déontologie, conséquentialisme et vertuisme. . . . . . . . . . . . 32 Minimalisme et maximalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Définition et fonctions d’une déontologie professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

certains peuvent avoir des goûts dispendieux et si une société juste est de permettre à chacun la satisfaction de ses besoins cela va alors poser des problèmes car apparaitra alors la difficulté de satisfaire ces goûts particuliers. * Notion de conséquentialisme : on évalue la justice au résultat, aux conséquences de l’action. La critique qui est faite est de dire qu’il faut aussi, et même peut être uniquement, non pas s’intéresser aux résultats mais aux processus, c'est-à-dire que ce qui compte c’est

identité : être ce que l'on pense devoir être pour se trouver "bien dans sa peau", comme on dit vulgairement. Cette éthique de la jouissance ne saurait évidemment être confondue avec ces ersatz d'éthique que constituent les utilitarismes ou conséquentialismes en tous genres dont l'un des derniers avatars, aujourd'hui très à la mode, est la distinction opérée par Max Weber entre éthique de la conviction et éthique de la responsabilité . Ces doctrines ne sont ni ne peuvent être d'authentiques

soluble dans le libéralisme? sonnel avant celui des autres (tant que ce dernier n’est pas affecté par les comportements égoïstes), car un égoïste qui respecte les autres est amené indirectement à travailler pour ce faire au bonheur d’autrui. Le conséquentialisme utilitariste pose différents problèmes, plus ou moins bien abordés par ses théoriciens. Qu’est-ce que le bonheur de tous ? Comment l’évalue-t-on ? N’y a-t-il pas le risque de justifier des situations immorales sous prétexte que la fin justifie

déontologique : Nous ferons mention de deux des principales critiques de cette éthique. La première est celle de Mill. Selon lui, le test de l’universalisation repose en fait sur un calcul des conséquences – et se justifie donc mieux par le conséquentialisme utilitariste que par l’éthique déontologique. Ex. : le mensonge est un acte immoral. Pourquoi cela ? Parce que l’acte de mentir n’est pas universalisable. Pourquoi ? Parce que si tout le monde mentait, alors le mensonge serait inefficace.

de littérature disponible sur le site. • La théorie de la justice (J. RAWLS) • L’éthique de la vertu (ARISTOTE, P. RICOEUR, E. KANT) • L’éthique de conviction, éthique de responsabilité (E. LEVINAS, M. WEBER, H. JONAS) • L’utilitarisme et le conséquentialisme (J.S. MILL) • L’éthique de la discussion (K.-O. APEL, J. HABERMAS) • L’éthique de la sollicitude ou éthique du care (C. GILLIGAN, A.-C. BAIER) dEfinition Afin de préciser le champ de l’éthique dans le cadre de cette recommandation, il est