Division Horizontale Et Verticale Du Pouvoir

l’Homme. Légitimité de la forme bureaucratique de gestion découle d’une conviction : il pense que les droits et les devoirs qu’elle fixe s’appuient sur des principes acceptés et partagés par les membres de l’organisation. Le pouvoir est technique et impersonnel Ce pouvoir est lié à une expertise et à un savoir-faire Principes de la gestion bureaucratique : Les relations de travail sont des relations entre fonction et non entre personnes (dépersonnalisation) La répartition des responsabilités

l'entreprise PLAN : I) Introduction II) Formes d'organisation interne III) Modèles fondamentaux d'organisation du travail 1) Le taylorisme 2) Le fordien 3) Le fordisme 4) Le modèle japonais 5) Comparatif entre les 2 méthodes IV) Hiérarchie : l’exercice du pouvoir 1) Hiérarchie linéaire 2) Hiérarchie fonctionnelle(staff) 3) Hiérarchie Staff & Line 4) Déterminants de la structure V) Les fonctions VI) Conclusion p1 p2 p3 p4 p5 p5 p6 p7 p7 p8 p8 p8 p9 I) Introduction Qu'est-ce qu'une entreprise ? activité

travail théorisé et mise et point par F.W Taylor (1856-1915) dés la fin du 20ème siècle. Le taylorisme consiste en une double division du travail : division vertical assurer par les ingénieurs du bureau des méthodes. Ayant pour rôle de rationnaliser le travail des cols bleus en leurs définissants les gestes à accomplir et le temps imparti. Ceux qui en résulte une division horizontal c’est-à-dire la parcellisation des taches en une tache simple et répétitif effectuer sous le contrôle du contremaitre. Au

Chaque division de l’entreprise est gérée de façon distincte et l’on observe une division verticale et horizontale du travail (illustrer dans les figures 1 et 2 du cas[footnoteRef:23]). La division verticale du travail chez Sécuriplus ou plutôt la centralisation de l’autorité au niveau de la direction freine les communications[footnoteRef:24] comme illustrées

pronant sur la concurrence, la maximisation des intérêts individuels. C’est pourquoi on voit apparaitre les bases d’une économie ou la finance prend de l’importance, tout en valorisant la réalisation des profits à court terme. Début de la théorie de la division du travail. On divise le travail et on simplifie les tâches afin de réduire au maximum les coûts de production (Fordisme). La grande dépression de 1929 et ses conséquences néfastes on permet de faire comprendre qu’il fallait réglementer les marchés

de gestion, une discipline3, un programme scolaire, un ensemble de préceptes, une profession 4, un art libéral 5etc. Ce statut incertain fait problème quand il s'agit de définir le management car avant de de dire ce que c'est, il nous faudrait pouvoir répondre à la question : Le management, c'est un ou une quoi ? Ses deux dimensions Le concept de management est un concept bidimensionnel. Depuis que Elton Mayo, puis Rensis Likert, puis Robert Blake et Jane Mouton ont mis en évidence puis formalisé

évidence les membres de l'entreprise, leurs fonctions et les liens hiérarchiques, fonctionnels. Choix fondamentaux d'une structure : Spécialisation : division du travail : consiste à faire exécuter une tâche par une personne ou une activité spécifique par un service. Elle peut être Verticale : par niveau hiérarchique Horizontale : par produit, fonction, clientèle, zone géographique + : Améliore la productivité, facilite la formation et simplifie le repérage des responsabilités -

approche transversale : 3 problématiques : - structure - animation des hommes - processus Organisation : regroupe un certain nombre de personnes indépendantes qui travaillent ensemble pour atteindre des buts communs. 7 caractéristiques : - division du travail - coordination collective - mise en œuvre d’une action - caractère volontaire de cette action - création de règles et contrôle de leur application - durée - existence d’un certain nombre de représentations, de connaissances accumulées

comme  si  le  sujet  était  dans  une  cellule  éclairée  par un  fenestron.  La  composition participe aussi de  ce sentiment :  le  tableau  est  construit sur  une  division  verticale  et  horizontale  en  quatre  rectangles  dont  les  diagonales  construisent  horizontalement  un  losange ;  au  centre,  une  forme  ovoïde  verticale  vient  s’y  inscrire.  Elle  encadre  comme  un médaillon  le visage du personnage. Au cinéma, ce procédé de  cadre  (le  médaillon)  dans  le  cadre  (le  tableau) 

suivant l’offre et la demande. A. Concentration verticale et horizontale Lorsqu’une entreprise contrôle toute la chaine, c’est une concentration verticale : Ex : IKEA -> possède une forêt, des bucherons, une entreprise de fabrication de meubles, et une chaine de magasins. Lorsqu’une seule et unique entreprise possède plusieurs marques, proposant des prix différents, touchent des clients différents, c’est la concentration horizontale : Cette concentration, en étant totale est interdite