Flexibilité Chez Toyota

de liberté et de flexibilité aux salariés. En effet, l’entreprise peut difficilement apporter les mêmes réponses à toutes les catégories de salariés. Une gestion de carrière ciblée apparaît nécessaire. En effet , la flexibilité du travail est considérée comme facteur important pour atteindre l'équilibre entre ce que le personnel souhaite obtenir dans l’organisation et les objectifs visés par l’E/se. Les employés disaient apprécier que leur organisation fasse preuve de flexibilité, que ce soit en

Plan Introduction Problématique I. La philosophie Toyota II. Amont III. Pendant IV. Aval V. La gestion des flux de l’entreprise Conclusion Introduction Nous avons choisis comme sujet d’étude pour notre exposé de logistique l’entreprise Toyota. C’est une entreprise avec une renommée mondiale qui s’est fait connaître dans son secteur d’activité grâce à une méthode de gestion de la chaîne logistique globale et qui lui a permit de devenir actuellement numéro une mondiale

Moigne : VI- Problématique des systèmes VII- Les outils de la systémique 7.1- Le raisonnement analogique Dans la vie courante, l’analogie joue un rôle considérable car, de tous les modes de raisonnement, c’est le plus facile, le plus spontané. Chez l’enfant, c’est le premier mode de pensée, celui qui permet à l’intelligence de se développer progressivement. Avec l’avènement de la pensée rationaliste l’analogie perd tout crédit. Le raisonnement analogique à qui l’on conteste toute rigueur scientifique

appliquer le fordisme. Ils ont dû trouver des solutions. Chez Toyota on appelle ça le «  Toyota Production System ». Ils ont mis en place de nouvelles méthodes et techniques divisées en 7 catégories. Tout ceci permettant de repenser la production et d’adapter à la demande, produire les qualités et les quantités demandées et seulement celles-ci. Il y a alors le Muda Muri Mura qui signifie Déchets, Argent, Temps. En fait rien ne se perd chez Toyota, la non-qualité est fuie afin de limiter les couts. On

importante. Dans l’industrie automobile, la production mondiale de véhicules chute et de nombreuses firmes commencent à enregistrer des pertes. Dans ce contexte, le constructeur japonais Toyota présentait de meilleures performances. Les autres firmes se sont donc interrogées et ont fini par découvrir que Toyota s’appuyait sur un autre système que celui qui dominait à l’époque. Au lieu d’appliquer le fordisme comme ses concurrentes, la firme japonaise avait développé une organisation particulière

élevés tout en se portant comme une référence au niveau mondial : l’usine Nissan Tochigi au Japon. Table des matières INTRODUCTION 1 I. L’usine Tochigi 3 a. Le système Toyota : 3 b. L’organisation de l’usine Tochigi : 3 c. Les composantes de l’usine 4 II. Championnes de la qualité et de la flexibilité, les usines automobiles japonaises servent de référence mondiale. 5 a. La recherche d'économies de dimension 6 b. La diversification de la gamme 9 c. La gestion de

• Taiichi Ohno: Né au Japon, il commence à travailler chez Toyota alors que l'entreprise ne produit que des machines textiles. Toyota invente des métiers à tisser automatiques, et des machines qui s'arrêtent d'elles-mêmes en cas de problème (afin d'éviter le gaspillage). Un seul ouvrier suffit pour environ 40 machines. En 1933 est créé le département automobile. Toyota cherche à produire juste ce qu'il faut juste à temps. Après la 2GM Toyota est confronté à de graves difficultés financières. Grève

standardisés, de qualité et sans défaut. De plus, dans les années 80 on voit apparaître de nouveaux concurrents tels que le japonais Toyota (document 5) qui pratiquent des prix compétitifs et réalisent des produits de qualité. Ces concurrents, présentent des qualités qui n'attirent pas que la demande, en effet il s'agit également de NFOT qui privilégie la flexibilité et la production en flux tendus (KAN-BAN) qui vont permettre de réaliser des économies d'échelle, et de réduire les coûts de production

mesure où Henry Ford développe et prolonge les principes de l'OST qu'il applique dans sa production automobile. Très vite, toute l'industrie (pas seulement automobile) applique ces principes de productivité. Mais la notion de fordisme va plus loin. Chez Ford tout d'abord avec des employés relativement mieux rémunérés grâce aux gains de productivité et la célèbre boutade d'Henry Ford : «je paye bien mes ouvriers afin qu'ils puissent acheter mes voitures ». Au niveau macroéconomique ensuite, dans un

mesure où Henry Ford développe et prolonge les principes de l'OST qu'il applique dans sa production automobile. Très vite, toute l'industrie (pas seulement automobile) applique ces principes de productivité. Mais la notion de fordisme va plus loin. Chez Ford tout d'abord avec des employés relativement mieux rémunérés grâce aux gains de productivité et la célèbre boutade d'Henry Ford : «je paye bien mes ouvriers afin qu'ils puissent acheter mes voitures ». Au niveau macroéconomique ensuite, dans un