Gouldner

sous la protection de l’absolutisme royal au début de l’ère moderne.[1] La description Weberienne de la bureaucratie a plusieurs interprétations, et a subi de nombreuses critiques, tantôt de la part de sociologues américains comme (Merton, Gouldner…) qui se sont attachés à l’examen du fonctionnement interne des organisations bureaucratiques, leur recherche s’est surtout efforcée de dépister les contradictions, effets pervers, dysfonctionnements et autres «irrationalités » propre à ce type

valeur, le rationnel légal, c’est le progrès. a) la pluralité des bureaucraties selon Alvin gouldner on pouvait s’attendre que les travaux ultérieur essayent d’affiner cette notion de bureaucratie. Ce nouveau travail est celui du sociologue A Gouldner qui développe l’idée que la bureaucratie imaginée par Weber peut rencontrer des problèmes de légitimité. Du point de vue de la méthode Gouldner travail par des études de cas. Son idée clé c’est que l’autorité rationnelle légale comporte une

de l’action. Elles peuvent jouer à l’encontre des fonctions manifestes et conduire à des dysfonctionnements. * Renforce la rigidité et réduit les capacités d’adaptation, de créativité et d’innovation. Les apports de A. Gouldner Entre 1948 et 1951 Alvin Gouldner er son équipe réalisent une enquête à Oscar Center, un site minier de production et de traitement de gypse aux Etats Unis. Il s’agit d’une entreprise traditionnelle, de type paternaliste. Il existe des relations de proximités

Sans denier la proposition essentielle de Weber selon laquelle la bureaucratie des systèmes d’organisation, en ce qui concerne l’exécution des buts d’une hiérarchie formelle, les recherches et les analyses de Merton (1940), Selznick (1949), et Gouldner (1954) ont montré d’importantes conséquences dysfonctionnelles dans les organisations bureaucratiques[35]. Ils ont commencé à mettre en cause la perfection du « type idéale » et à se demander à partir de données empiriques, si dans les faits, en

qui lui a été confié par l’organisation et poursuit ce qu’elle considère être sa propre mission au détriment des objectifs globaux. → Renforce la rigidité et réduit les capacités d’adaptation, de créativité et d’innovation. Les apports d’ A. Gouldner Il étudie une usine de production et de traitement du gypse aux USA et distingue trois formes de bureaucratie. La fausse bureaucratie : les règles édictées semblent illégitimes aux acteurs qui ne les respectent pas La bureaucratie représentative :

produit des résultats positifs (degré élevé de prédiction et d’efficacité), du moins initialement ; Néanmoins, deux mécanismes peuvent apparaître : le déplacement des buts et le phénomène de sous-optimisation Les trois formes de bureaucratie (Gouldner, 1954) Type Intérêts défendus par règles Application des règles Niveau de conflit Fausse Bureaucratie Aucune partie n’a d’intérêt acquis dans l’observation des règles Non appliquées, non efficaces Pas de conflit, pas de sanctions Bureaucratie

un climat social apaisé dans l’entreprise, la clé d’un modèle durable. La durabilité passera par l’absence de conflits au sein de l’entreprise, entre les ouvriers et la hiérarchie ou les patrons. C’est ce qu’ a montré le sociologue américain Alvin Gouldner dans un ouvrage de 1954, Patterns of Industrial Bureaucracy, il a étudié le fonctionnement d’une entreprise de production de plâtre entre 1948 et 1951. Le dirigeant historique de cette entreprise d’environ

société qui appliquent ces mêmes règles. En considérant de plus que les règles changent et évoluent en fonction des environnements, il démontre l’utilité de la règle, et donc de la réglementation de tel ou tel objet social. Il reprend alors l’idée de Gouldner selon laquelle la règle dispose de fonctions latentes, utiles aux individus qui composent les divers groupes sociaux. L’une de ces fonctions est notamment de constituer un écran de protection en réduisant les relations impersonnelles. Ainsi la réglementation

(Merton, Gouldner, March et Simon)[9], suivi de prés par les analyses du sociologue français Michel Crozier. L’analyse de Merton, en particulier, repose sur la mise en évidence des effets négatifs de la discipline et des comportements standardisés. selon l’auteur, les règlements de la bureaucratie ne sont plus considérés par les agents comme un moyen de fonctionnement, mais comme une fin en soi, et provoquent une rigidité croissante et le mécontentement du public. Gouldner, quant à

apparaît le CNET et l'année suivante la DGT. Une certaine autonomie est donnée au service téléphonique ce qui permet de développer une autonomie qui va assurer la pérennité et cela même si ce n'est pas forcément une organisation profitable. Alvin Gouldner avait analysé la réorganisation d'une entreprise américaine, et remis en cause l'aspect rationnel de la bureaucratisation. C'est le même type de situation, on réorganise les P & T de manière à donner plus d'autonomie aux télécommunications en