Instinct Grégaire Nietzsche

Quelqu’un de la classe T°D Explication de texte : Par-delà bien et mal, 199, Nietzsche Se pourrait-il que les Hommes, ou du moins la majorité d’entre eux, aient été fait pour obéir ? Pour Nietzsche, il est clair que l’Homme, de tout temps, se doit d’obéir à des maîtres, des lois, des directives. Cela pour une raison simple, c’est que les sujets (ou servants) ont toujours été plus nombreux que les maîtres. Mais cela implique-t-il que les maîtres ne doivent pas obéir ? Non car ceux-ci

Dissertation Nietzsche – Sujet n°1 L’éducation est, pour notre société actuelle, ce qu’il faut le plus valorisé et protégé, car elle est essentielle à l’homme. Mais, alors, la première question que l’on peut se poser est : que signifie réellement « éducation » ? Du latin « ex-ducere », cela signifie guider/conduire hors. Elle sert à développer un ensemble de connaissance morale, psychique, intellectuel etc. dont on va pouvoir se servir tout au long de notre vie et que l’on va pouvoir transmettre

Explication texte de Nietzsche, sur la conscience C’est contre toute une tradition philosophique et contre l’opinion commune que Nietzsche s’inscrit ici en faux, d’une part en faisant de la conscience non plus un point de départ mais bien un résultat, d’autre part en distinguant conscience et pensée et enfin en ramenant la conscience à une sorte de béquille sans laquelle l’homme n’aurait pu survivre. C’est ainsi qu’il soutient la thèse selon laquelle, le développement de la conscience

conditionne l’homme et pour y vivre ce dernier doit faire des sacrifices. Tout d’abord, il doit abandonner une partie de son animalité. En effet, comme nous le montre Rousseau dans le chapitre huit du Contrat social, l’homme cesse de se fier à son instinct. Ses actions auparavant assurées deviennent alors hésitantes. D’autre part, vivre en société implique de se soumettre aux institutions établies par l’Etat, ce qui entraîne une attitude d’obéissance de la part de tous les citoyens et donc une limitation

(Capacité à faire du bien). ← Un nouveau né est innocent mais cette innocence est de courte durée. L’innocence ( animal, car leurs comportements sont réglés par des instincts. ➢ Satisfaction vitale. L’instinct peut être organisé de manière complexe mais il est immédiat. La société animale est fondée sur l’instinct. Les instincts se ressemblent chez une même espèce animale mais elles sont différence chez les Hommes. ➢ Les sociétés animales ne sont pas historiques. La société animale est

Suite de l'entretien).d) Nietzsche et l'Individu comme promesseThèse: Nietzsche n'est pas atomiste, mais sa pensée relève bien d'une tentative de penser l'individuel contre et sans l'universel, répudié à titre de vain simulacre et de mensonge. Son admiration pour Démocrite n'est toutefois jamais démentie et il semble bien que sa physiologie repose sur une conception des parties qui à leur façon, démultiplieront le jaillissement de la volonté de puissance. Avec Nietzsche, l'individu sans transcendance

­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre éducation :    Origines de nos croyances morales :  Idée principale : la généalogie de la morale (Nietzsche)  Nietzsche ­> « ​ Généalogie de la morale​  »  Il explique dans ce livre les origines de la morale.    Les croyances morales sont d'abord l'objet d'une transmission, et d'une éducation morale qui  se fait à travers les différentes institutions sociales

Mais on comprend bien que ceux-ci n'aient pu laisser de descendance, et que s'il en existe actuellement, ils n'en laisseront pas plus. Les hommes, comme les autres vivants n'échappent pas à cette règle. C'est l'amer mais lucide constat que fait Nietzsche dans son Gai savoir. Dans le premier chapitre de celui-ci, il lance une attaque violente contre ceux qu'il appelle "les doctrinaires du but de l'existence" : "J'ai beau considérer les hommes d'un bon ou d'un mauvais oeil, tous et chacun en

l’homme, parole détermine le type de communauté de l’humain. Mais c’est animalité de l’homme qui le conduit à vivre en société (analyse grec de la soc moderne)  nous vivons en soc parce que nous sommes des animaux. Communauté non humaine Nietzsche, instinct grégaire car l’homme est un animal  vie en troupeau, ne pas être une individualité qui ne se fond pas dans le troupeau. Le troupeau n’est pas une société, les individus n’existent pas en dehors du troupeau  vision organique, le tout préexiste

d’entendement limités, et que l’univers est précisément illimité, il pourrait être judicieux d’étudier son rapport à la nature non plus depuis son interiorité, mais depuis l’univers même. Nous parlerons tout d’abord des hommes, en tant qu’espèce grégaire, puis de l’art et des productions humaines, enfin de l’illusion du commandement et de la réelle capacité d’agir de l’homme. L’homme considéré d’un point de vue plus général à l’air d’une espèce bien moins extraordianire. Il vit en communauté