Instinct Grégaire Nietzsche

fortes de les interets rationnels." Pulsion de mort: en analysant les traumatisés d'après guerre,Freud constate que les hommes ont tendance a revivre les moments qu'ils redoutent. Pulsion d'autodestruction qui a tendance a s'extérioriser dans un instinct d'agression. L'instinct d'agression est donc une extériorisation de la pulsion de mort,est de type pulsionnel et engendre un plaisir. L'existence social devient le théatre d'une lutte des pulsions de mort contre les pulsions de vie. La culture

Explication du texte de Nietzsche, La naissance de la philosophie à l’époque de la tragédie grecque. Quel est le propre de la vie du penseur ? Telle est la question directrice du texte que nous avons à commenter. Ce texte nous permet de mesurer la singularité et surtout l’extrême difficulté de l’expérience qu’est l’expérience de la pensée, l’épreuve de la pensée. Certes, toute existence est épreuve, du fait du caractère tragique de la vie sous toutes ses formes. L’observation de la nature ne

Introduction générale à la Généalogie de la morale Ce texte est un des tout derniers textes de Nietzsche, publiée en 1887 Elle suit, complète et éclaire Par-delà bien et mal, et prétend être un texte polémique (pamphlet). Cet ouvrage présente une étonnante particularité formelle : c’est le seul, avec l’étude sur La naissance de la Tragédie, à être construit sur le mode dissertatoire. Contrairement aux aphorismes, aux paraboles, aux réflexions et maximes, nous avons trois « dissertations » successives

entier et responsable. C'est cette capacité à penser, à avoir un raisonnement, une logique, qui va séparer l'Homme de l'animal. Grâce cette pensée, l'Homme va acquérir, au fil de son évolution, ce que nous appellons la culture. Nietzsche fait la distinction entre un instinct de vie, en fait nos facultés innées, naturelles, animales pour ainsi dire, et l'ensemble des productions humaines, qu'il appelle le grand art, et qui englobe tout ce qui s'aquiert au cours de notre vie, comme par exemple l'art

Naturalistes reprennent cette idée (Maupassant, Zola) dans le « groupe de Médan ». Les Grecques vont enrichir cette vision en ajoutant à la nature le logos (la raison) Les philosophes des Lumières sont du côté de ce logos et de la phusis ainsi que Nietzsche (« Dieu est mort ») 2. Pour les hébreux, la vie correspond à un schéma différent : le principe fondateur est que Dieu créa l’univers en 6j à partir du néant selon les textes de l’ancien testament (la Genèse). Dieu existe donc de toute

fallait réfléchir sur l’habitude... ★ Souvent, le sujet a été changé en Apprend-on à être un être moral ? Emploi abusif de « l’essence de l’homme ». Nous ne sommes pas des objets fabriqués, mais nous sommes des vivants. On ne naît pas avec des instincts, tous les comportements sont appris. ★ Clivage entre intention morale et acte  contresens sur Kant. La question est autre chez Kant : est ce que l’intention peut se résumer au bénéfice que l’on attend de l’acte ? Tout l’intérêt de Kant montre

devoir moral (sinon culpabilité, scrupules) Rousseau : la csc morale est une « voix céleste » qui s’adresse au cœur et non à la raison, capable de nous guider de manière infaillible pour peu que nous nous en remettions à elle (elle viendrait de dieu « instinct divin ») Durkheim : csc morale est l’intériorisation des contraintes sociales exercées sur l’individu. LE DESIR Désir : construction d’ordre psychologique ou sociale dont la satisfaction n’est pas nécessaire (/besoin d’ordre biologique et physiologique)

résoudre, ces questions elles-mêmes devant être chassées de toute investigation scientifique. Le recourt du mythe à des représentations supposant des divinités de la Nature semble à A. Comte un délire de l’imagination. Le second état est encore un stade grégaire de la pensée. C’est l’état dans lequel succède à la représentation religieuse, la vision métaphysique. En gros, ce schéma traduirait le passage en Grèce d’Hésiode, des poètes présocratique à l’ère inaugurée par Socrate, Platon et Aristote. Pour Comte

99% de gênes en commun avec le chimpanzé, il y a ce pourcentage mystérieux qui lui est propre et qui fait toute la différence. L’être humain, bien sûr a des instincts comme les bêtes (instinct de survie, instinct sexuel, instinct de reproduction, instinct grégaire), mais il a un instinct qui lui est propre, celui de connaissance. Cet instinct de connaissance est propre uniquement à l’homme comme le remarquait déjà le philosophe Aristote dans son traité De Anima (De l’âme) au IVème siècle avant J-C

besoin constant de nous comparer aux autres et d’évaluer notre valeur personnelle à l’aune de notre statut – une caractéristique présente dans toutes les cultures de chasseurs-cueilleurs, et même chez les chimpanzés. Autre exemple : notre instinct grégaire qui nous amène à établir deux clans séparés – ceux qui sont des nôtres et ceux qui n’en sont pas. Ajoutons-y notre besoin de porter des masques pour dissimuler les comportements désapprouvés par la tribu – tous nos désirs inavouables sont