Kaplan

éfinition du Balanced Scorecard Le Balanced Scorecard n'est pas un simple instrument de mesure. C'est, selon les auteurs Robert Kaplan et David Norton, un système de management garantissant la clarification et la formalisation de la stratégie des organisations. En substance, le Balanced Scorecard définit un cadre de conception de la stratégie afin de pouvoir la décliner efficacement, la transformer en action. [pic][pic]Le Balanced Scorecard pour faire vite Si le Balanced Scorecard propose

distribués sur les marchés, les lieux de travail… Le budget de la campagne présidentielle : La campagne présidentielle de Lionel Jospin lui aura coûté 12,5 millions d’euros, dont 484 480 euros pour le conseil en communication. D’après Andrea Kaplan, professeur de marketing politique à ESCP Europe, est spécialiste en analyse des médias sociaux., le marketing politique s’axe principalement sur une politique de la demande : le candidat ne propose pas tant un programme ; il répond à un besoin et

de créer de la valeur La création de valeur se fait en tenant compte des parties prenantes ACTIONNAIRES PARTIES PRENANTES INTERNES/EXTERNES COMPETENCE 3/ PERFORMANCE = VERS LA PERFORMANCE GLOBALE AUTEUR DE REFERENCE = NORTON ET KAPLAN DEFINITION = C’est la capacité d’une organisation à atteindre ses objectifs de Manière efficiente c'est-à-dire en utilisant le moins de ressources possibles (optimisation des ressources) A noter que l’optimisation des ressources est une fonction

généralement financière. Le bénéfice net, le bénéfice par action et le rendement sur capital investi figurent parmi les indicateurs traditionnels connus et utilisés par les entreprises. Dans un environnement de plus en plus complexe et turbulent, Kaplan et Norton (1996) avancent que ce type d’indicateurs ne suffit plus à saisir toutes les facettes de la performance des entreprises. Les entreprises elles-mêmes reconnaissent qu’il faut adapter les systèmes actuels de mesure de la performance. Ainsi

charges sont reparties de façon bien précise. Apport de la méthode : - Le principal avantage de la méthode ABC est de lier les performances particulières de chacune des activités aux ressources particulièrement utilisées par ces activités ( COOPER et KAPLAN 1991). - On peut imaginer sans peine l'avantage de cette méthode qui en quelque sorte "variabilise" pratiquement tous les coûts. - Les coûts sont visibles et compréhensibles par tous les acteurs puisque la description des activités inclut des éléments

Scorecard, une nouvelle forme de TDB: 1) Quelques caractéristiques fondamentales: Kaplan et NortonUne clarification de la stratégie:C'est l'intérêt premier du BSC, il permet de:- clarifier la stratégie déployée par l'organisation pour l'ensemble de ses membres- déployer la stratégie au sein des différents niveaux hiérarchiques- coordonner les objectifs locaux des managers Une nouvelle vision de la performance:- Kaplan et Norton propose de créer un outil permettant de concevoir une performance multidimensionnelle

 généralement financière. Le bénéfice net, lebénéfice par action et le rendement sur capital investi figurent parmi les indicateurs traditionnels connus et utilisés par les entreprises. Dans un environnement de plus en plus complexe et turbulent, Kaplan et Norton(1996) avancent que ce type d’indicateurs ne suffit plus à saisir toute sles facettes de la performance des entreprises. Lesentreprises elles-mêmes reconnaissent qu’il faut adapter lessystèmes actuels de mesure de la performance. Ainsi, le

l’imagination et entrainer une certaine sclérose, empêchant ainsi toute ouverture au changement. Foster & Kaplan (2001: 44-45) résument ainsi le problème de ce qu’ils appellent « l’architecture invisible » de l’entreprise: Que fait la métaphore sinon relier le familier et le nouveau et offrir la possibilité d’entrevoir de nouvelles perspectives ? La « destruction créatrice », évoquée par Foster & Kaplan dans le titre de leur ouvrage (2001), en référence à Schumpeter, s’applique également à la métaphore

actuelles : Qu’entendons nous par médias sociaux ? L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs .Les médias sociaux

l’entreprise. c/ le lancement d’un produit. 4. La RSE correspond à : a/ la prise en compte des impacts environnementaux. b/ l’attention portée aux salariés. c/ la recherche de la rentabilité maximale 5. Dans le tableau de bord prospectif, Kaplan et Norton proposent une analyse des axes suivants : a/ axe financier et axes clients. b/ axe financier et axe processus internes. c/ axe financier, axe clients, axe processus internes et axe apprentissage et croissance. 6. D’après Blake et Mouton