La Perfectibilité Rousseau

rationalisme des Lumières est essentiellement critique, destructeur. > destruction de l'ordre féodal et monarchique déjà déclinant et les fondements idéologiques de cet ordre. A Herzen : « le rire de Voltaire a détruit davantage que les pleurs de Rousseau. » Détruire mais aussi bâtir : Les Lumières disposent les fondations sur lesquelles les générations ultérieures vont bâtir. Du Contrat social est aux fondements de notre théorie républicaine de la souveraineté. Définition cartésienne

TT.HLPPartie1 : la recherche de soi Chapitre1 : éducation, transmission et émancipation Question2 : Qui éduque-t-on ?Texte2 Rousseau : Connaître l’enfant avant de l’éduquer, p.28 Texte Le texte est construit autour d’un conseil (§1), suivi d’une objection (§2).§1. Le conseil est « Commencez donc par mieux étudier vos élèves ; car très assurément vous ne les connaissez point.»(9) C’est un conseil de méthode. Cette méthode fait d’abord table rase des « fausses idées » (1), celles-ci sont résumées

donc de lui retirer toute distinction avec l’animal ce qui reviendrait à ignorer ce qui le différencie avec les animaux. Nous savons en effet que l’homme se caractérise d’après Rousseau par la perfectibilité c'est-à-dire cette envie de sans cesse évoluer, de sans cesse s’améliorer. L’homme possède aussi, toujours d’après Rousseau, la faculté d’agir selon sa propre volonté, par pur acte de liberté. L’homme a aussi comme particularité d’être un être indéterminé, c'est-à-dire qu’il possède une structure

Doctrine d’après laquelle il n’existe d’autre substance que la matière. Doctrine philosophique qui ramène tout à la matière • Évolutionnisme : Théorie de l'évolution basée sur le fait que les espèces actuelles descendent de formes anciennes. • Perfectibilité : Caractère de ce qui est perfectible, de ce qui peut être amélioré • Déisme: du latin deus qui signifie Dieu. Position philosophique de ceux qui admettent l’existence d’une divinité, sans accepter de religion révélée ni de dogme. • Athéisme

bien ce désordre dans le mal, le mal provient-il des sorcières ou de Mac Beth ? Dans Giono, le désordre provient de la question suivante : où est la vérité ? Thérèse a-t-elle aimé Mme Numance ? Présence de l’amour dans la générosité de Mme Numance ? Rousseau donne une solution au désordre créé par le mal : suivre la lumière intérieure, la voix de la conscience. La beauté est la fin du désordre. On le voit dans Giono : tout le monde regarde Mme Numance quand elle marche. La beauté du monde met fin au

progresse au cours de cette histoire. L'homme, être ignorant est celui qui peut apprendre et évoluer. L'animal n'est que ce qu'il est. Vous pouvez également penser aux analyses de Rousseau dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes lorsqu’il aborde la question de la perfectibilité. Il montre ainsi, comme pascal le montre avant lui que l’homme est un être de progrès alors que l’animal n’est que ce qu’il est. Cette image de l’abeille et des ruches sera d’ailleurs

juré de l'homme, comme une force destructrice et malfaisante. Alors, le mal : allié ou ennemi ? (Annonce du plan .) Nous nous appuierons sur la tragédie shakespearienne Macbeth, sur la Profession de foi du vicaire savoyard du philosophe des Lumières Rousseau ainsi que sur le roman de Giono intitulé Les Ames fortes, afin de montrer tout d'abord que le mal se révèle nocif et dangereux (I) mais que, paradoxalement, il peut être un allié (II). Finalement, on sera amenés à mettre en relef que la question

croyances par ailleurs. 3) A quoi cela tient ? Si on en croit Rousseau, dans Le discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes , l’homme est le seul être à pouvoir devenir imbécile, c'est-à-dire littéralement à perdre ses béquilles, et à tomber plus bas que l’animal. La démission de notre raison, qui est indépendante de toute forme de croyance, est liée à cette perfectibilité décrite par Rousseau. Introduction : Abraham, le père du monothéisme, prouva à

Jean-Jacques Rousseau Philosophe occidental Époque moderne Des lumières Pastel de Maurice Quentin de La Tour, Jean-Jacques Rousseau, en 1753, (alors âgé de 41 ans) Naissance 28 juin 1712 République de Genève, Ancienne Confédération suisse Décès 2 juillet 1778 (à 66 ans) Ermenonville, Royaume de France École/tradition Contractualisme, précurseur du romantisme Principaux intérêts Politique, éducation, éthique, religion, musique, botanique Idées remarquables État de nature, contrat social

hommes sont gardés par un maître ou un dieu, tout comme le bétail par le berger. Quelle serait alors la vie et la valeur d’un être qui doit toute sa vérité, sa vie et sa valeur, à un autre ? Selon Rousseau, l’animal reste ce qu’il est au départ : seul l’homme est un être perfectible. Comment cette perfectibilité peut-elle s’exprimer ? Ne faut-il pas poser une nature duelle ? L’effort présuppose le conflit à la fois interne et externe. Tandis que les animaux évoluent selon le hasard génétique et la nécessité