Le Pouvoir Crozier

En collaboration avec Henri Amblard. P.Bernoux a utilisé de nombreuses références : Sur l’analyse stratégique et la sociologie des organisation - Michel Crozier et Erhard Friedberg, L’acteur et le Système, Paris, Ed. Du Seuil, 1977. - Erhard Friedberg, « L’analyse sociologique des organisations », revue Pour, 1972. - Erhard Friedberg, Le pouvoir et la Règle, Paris, Ed. Du Seuil, 1993. - J.G. March et H.A. Simon, les organisations, Paris, Dunod, 1964. - Pierre Morin, Le Développement des organisations

monopole sur le marché dans les domaines énergiques et environnementaux puis dans la distribution du gaz. - La CGT : qui représente un contre pouvoir autant interne, par les représentants syndicaux de l’entreprise, qu’externe au niveau national. Elle représente les salariés dans le cadre de négociations collectives des conditions générales de travail. Leur contre-pouvoir, s’exprime de façon conflictuelle par une grève des salariés. - Les dirigeants de GDF-SUEZ reconsidèrent les enjeux économiques et industriels

l’objet de plusieurs étapes et peut être influencée par plusieurs facteurs liés à l’entreprise. Parmi ces facteurs, les parties prenantes prennent une place importante et sont désignés comme des stratèges par Crozier et Friedberg. Elles usent de leur droit en vue d’exercer un contre-pouvoir sur la décision future. Dans le cas étudié, les salariés de GDF SUEZ ont usé de leur droit de grève pour montrer leur mécontentement face à la décision que voulaient prendre Gérard Mestrallet et Jean-François

parties prenantes sont selon Crozier et Friedberg des acteurs qui s’adaptent aux différentes circonstances, qui vont faire des choix de la meilleure solution à un moment précis, ce qui va influencer les décisions prises par l’organisation. Les syndicats pourront chercher à mettre en place un contre pouvoir en annonçant une grève s’ils ne sont pas d’accord avec les choix de la direction, en manifestant leur mécontentement. Ils vont donc chercher à négocier le pouvoir lors des réunions entre la direction

divisionnelle selon Mintzberg. En effet, l’entreprise est focalisé sur le produit final, les activités liés aux produits sont contrôlées sous une unique autorité, la ligne hiérarchique est donc dominante, aussi il y a un responsable pour chaque domaine et le pouvoir est délégué aux responsables, les unités ne sont donc pas autonomes. Problème(s) de management 4- Par rapport aux exigences de son environnement l’entreprise est trop rigide et hiérarchisée, cela limite la communication entre les salariés et conduit

Introduction Les relations de pouvoir renvoient à un champ d'étude très vaste. En effet, tout au long de notre vie nous sommes confronté au pouvoir, que se soit au sein de sa famille, dans la société ou bien dans l’entreprise où l’on travail, le pouvoir est partout autour de nous et se traduit de façon différente. La question qui se pose est de savoir quelles sont les différentes définitions et visions du pouvoir ? Et également, comment le pouvoir se manifeste-t-il au sein de l’entreprise

Cela (recherche de la rat en finalité) tend à perdre le sens des mythes et des croyances religieuses. Sécularisation de la société! Postérité de Weber: Ajd le capitalisme période un peu troublée avec des incertitudes. Raymond Aron Michel Crozier Phillipe Raynaud analyse excessivement pathétique de la rationalité instrumentale. Ils mettent le doigt sur l'aspect désespérée de la pensée de W + le côté anticipateur de sa pensée car se tourne vers le passer et extrapole les tendances qu'il

interpersonnelles mais peu de liberté dans la prise de décision Participatif : l'individu et le groupe participent à la prise de décision et à la définition d'objectif Pas de remise en cause de la possibilité de modéliser les comportements. Manque la variable "Pouvoir" Le système de production est à l'origine du choix de l'organisation (unitaire, de masse, en continue…) Les modes organisationels dépendent de la stratégie, ils doivent renforcer son efficacité La structure d'une organisation dépend de la compléxité

un lieu d’échange et de rencontres entre les différents acteurs aux objectifs différents. Ces parties prenantes vont essayer de faire basculer une partie des décisions prises au sein de l’entreprise en leur faveur. Ils constituent alors un contre-pouvoir. On peut distinguer les parties prenantes internes au groupe La Poste, qui regroupent les salariés et leurs représentants syndicaux, et les parties prenantes externes représentées par l’Etat, les consommateurs, les fournisseurs et tous les autres

l’organisation. Les règles de partage génèrent des luttes de pouvoir entre individus ou groupes pour valoriser leurs propres valeurs et intérêts catégoriels. ➢ Ces jeux existent entre acteurs plus ou moins concurrents et plus ou moins dépendants les uns des autres pour obtenir les ressources convoitées et modeler le comportement des autres. ➢ Selon Crozier et FRIEDBERG, différentes ressources sont mobilisables pour maximiser son pouvoir, hors de toute hiérarchie : • Expertise