Le Substantialiste

parvenu, entre jugement négatif (A n’est pas B) et infini (A est non-B), on peut comprendre à quel point de raffinage sa réflexion sur la nature polysémique de l’être et du non-être est arrivée, et combien elle est désormais loin de l’hypostase substantialiste du non-être, avec laquelle Parménide avait hypothéqué le chemin entier de la philosophie grecque. En bref, il est possible d’interpréter l’histoire entière de la philosophie grecque comme progrès dans l’affranchissement des réifications linguistiques

tout le contenu doctrinal connu du cartésianisme, pour cette raison qu’elle a donné à certains thèmes cartésiens un développement radical.»9 On sait que le contenu doctrinal dont Husserl dit qu’il lui a fallu le congédier, c’est la conception substantialiste du sujet. En faisant du sujet une substance, Descartes, d’après Husserl, tombe dans l’erreur qui consiste à concevoir celui-ci comme une chose. Or, en tant qu’il est sujet, il ne saurait avoir l’identité simplement numérique d’une chose subsistant

aussi tous qui ne relève pas du droit (ex : relation parents enfants est dictée par le droit, mais la relation de pouvoir repose sur beaucoup d’autre chose, la force, les relations affectives, qui ne sont pas encadrer par le droit) - Approche substantialiste (le pouvoir est une substance). Elle considère le pouvoir comme quelque chose d’itinérant de substantiel a une personne, le pouvoir c’est quelque chose qu’une personne détient possède et donc est c’est vue comme une idée personnel/individuel.

approches possibles : - Le pouvoir dans une perspective institutionnaliste : ici, le pouvoir est véritablement synonyme d’Etat ; en ce sens que l’Etat impose, organise, met en place, légifère et punit. - Le pouvoir dans une perspective substantialiste : Dans ce cas précis, on va considérer le pouvoir comme un capital détenu par un individu ou un secteur de la société ; et ce pouvoir permet à l’individu d’être en position de domination via une supériorité qui peut être physique, intellectuelle

catégorielles au nom de l’intérêt général. Séance 2 : Le pouvoir politique La notion de pouvoir va être considérée dans sa relation. Section 1 : Définition des termes I/Une conception relationnelle du pouvoir On peut avoir une approche substantialiste du pouvoir : le pouvoir est quelque chose que l’on peut se procurer. Il y a la conception institutionnaliste du pouvoir, on appréhende le pouvoir comme étant une institution. Cela revient à assimiler pouvoir et gouvernant. « Le pouvoir est toute

seraient communes à tous les membres d’une même profession, tandis que les interactionnistes insistent sur ce qui est susceptible de diviser les professions en segments différenciés. Ainsi, alors que les fonctionnalistes avaient une conception substantialiste des professions, les interactionnistes, plus attentifs aux processus sociaux, y voient des constructions à la fois contingentes et instables 2. Les critiques que les interactionnistes ont faites aux fonctionnalistes sont définitives, mais

intérêt. Un économiste considère qu’on peut comparer les utilités, les individus savent classer des préférences. Certains économistes parlent « des rationalités ». : il y a plusieurs mesures de la valeur d’un acte. 11) Les théories substantialistes Elles se veulent critiques des théories rationalistes, elles sont basées sur la psychologie (école caractérologique). L’acteur psychologique cherche à satisfaire ses besoins. On ne parle plus d’acteurs rationnels mais d’acteurs psychologiques

qui ordonnent en ont le droit = légitimité du pouvoir politique. Il faut commencer par préciser un certains nombres de termes. Pouvoir, autorité et légitimité. Le pouvoir comme relation a. La remise en cause de la conception substantialiste du pouvoir. Le langage courant tend à considérer le pouvoir comme une substance qu'on peut posséder et dont on peut se servir à sa guise. Ce point de vue transparaît dans des expressions comme « il a le pouvoir », « il a gagné du pouvoir »

Cette compétence étant une source de pouvoir et de pression de la part des CA. III. Stratégie et pouvoir On va revenir une conception relationnelle du pouvoir. On a en sociologie une opposition entre une conception substantialiste et une conception non substantialiste, plus relationnelle, au sens ou le pouvoir pourra caractériser certains acteurs qui ne le sont pas a priori. Il va être alors le produit de négociation et de confrontation. Ceci conduit Crozier et Friedberg à identifier les

monétaire se mesure principalement par la somme des richesses produites. Aujourd'hui la valeur de la monnaie ne réside plus dans son équivalent métal mais dans la confiance que lui accordent les acteurs économiques. Nous sommes passés d'une vision substantialiste de la monnaie à une vision nominaliste. Chapitre III La création monétaire est-elle contrôlable ? 1/Les crédits font les dépôts La fonction d'une banque commerciale est de prêter aux entreprises en fonction de la confiance accordée