Principe De Mintzberg

structures de manière administrative mais de s’interroger sur leur adéquation à tel type d’environnement[4] ou de secteur d’activité. C’est l’occasion de déterminer des structures types (pyramidales, divisionnaires, adhocraties[5]…), ce que décrit Henri Mintzberg. Les structures d’organisation sont fortement dépendantes de la stratégie suivie (Alfred Chandler). Les recherches actuelles se focalisent sur les nouvelles formes d’organisation, en particulier sur la structure en réseau qui modifie le fonctionnement

masse. TAYLOR développe ainsi un système rationnalisant le travail. La seule maitrise technique ne suffit plus à faire augmenter l’industrialisation, il apparait nécessaire de rationaliser l’organisation du travail. Le taylorisme s’appuie sur 4 principes fondamentaux selon BERNOUX (enseignant chercheur en théories des organisations) :  Etudes de toutes les connaissances traditionnelles, leurs enregistrements, leurs classements et la transformation de ces connaissances en lois scientifiques ; 

des employés en trouvant des stratégies multiples , une meilleure considération de l’ouvrier , un environnement propice pour un meilleur rendement et une efficacité qui amèneront à la productivité 3ème Partie : Mutations du rapport au travail, principes, normes et finalités : Toutes ces mutations du rapport au travail amènent vers une démarche de projet et à l’effondrement de l’autorité puis à l’émergence de l’individu, l’idée est de trouver des adhésions, les comportements collectifs prennent

responsabilité, leur évitant toute anxiété due à la prise de décision et protégeant le subordonné de l’arbitraire du supérieur hiérarchique (Bagla-Gökalp, 1998). La structure bureaucratique fonctionne sur une hiérarchie clairement établie. Henry Mintzberg (2003) établit cinq parties distinctes constitutives de l’entreprise : Le sommet stratégique : regroupant les personnes dotées de larges responsabilités, assimile trois types de devoirs comme la supervision directe, la gestion des relations entre

Analyse du contexte : 1. Selon la typologie établie par Mintzberg, la structure de l'entreprise Imprimatur avant la prise de participation dans l'entreprise NetEdit était une organisation divisionnalisée. En effet, le sommet stratégique centralise les décisions stratégiques et les transmet à la ligne hiérarchique, tandis que le centre opérationnel est composé de divisions spécialisées et autonomes dans la conduite de leurs activités. Il s'agit des trois sites de production qui dépendent du

contrôler les activités de l’entreprise, afin que celle-ci puisse atteindre avec efficience ses objectifs stratégiques. Pour Henri Mintzberg, « la structure d’une organisation peut être définie comme la somme totale des moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches ». (Henri Mintzberg, Structure et dynamique des organisations, éd. d’Organisation, 1982) Il s'agit donc de déterminer : — comment répartir les tâches à

démarches qualité et des dispositifs d’évaluation des organisations Introduction : « Le management ne s’apprend pas » henry mintzberg dans un ouvrage qui s’appelle «pratique du management » dit que au fond c’est manager une organisation. Il a prit 5 directeur et il leurs a demander s’il pouvait les suivre pour fonder sa théorie. Henri Fayol, ingénieur, publie sont principe d’organisation et c’est le fruit de 54 années d’ingénieur. Alfred Sloan qui publie «  mes années à la Générale Motors ». A quelque

Le « management » a connu ses premiers balbutiements au dix‐neuvième siècle, et s’est épanoui au vingtième.    « Le  vingtième  siècle  sera  le  siècle  du  management », écrivait  Henry  Mintzberg en 1989.  C’est  dans  les  années  1910  que paraissent les deux ouvrages fondateurs du management  moderne : « Les principes du management scientifique »,  de Frederick Taylor, en 1911, et  Administration industrielle et générale », d’Henri Fayol en 1916. Depuis, on compte  une  cinquantaine  d’auteurs  importants

motivations de Maslow) ou de l’approche communicationnelle (A. Mucchielli). Les typologies et les modélisations constituent un autre moyen de décrypter le fonctionnement des organisations (ex : les 7 types de structures organisationnelles de H. Mintzberg). Enfin , le vaste ensemble des techniques et outils tient une place éminente. Deuxième clivage : celui des approches disciplinaires, chacune offrant une vision qui lui est propre dans l’analyse des organisations (psychologie, sciences cognitives

systémiques II) Analyse sociotechnique III) Le modèle de MINTZBERG, une tentative de synthèse 3.1) Les attributs organisationnels 1. Les composantes de base de l’organisation (6) 2. Les coalitions externes (4) 3. Les mécanismes de coordination (2+4) 4. Les paramètres de conception (9) 5. Les facteurs de contingence (4) 6. Pouvoir (6) 3.2) Les configurations organisationnelles 3.3) Les apports et limites de l’approche de Mintzberg IV) Les théories de la décision V) Les théories