Rationalité Et Taylorisme

contestation de plus en plus vive : Absentéisme, " turnover " important. Il provoque également la naissance d'un pouvoir syndical important et des conflits sociaux de plus en plus durs contre les cadences infernales ou le salaire au rendement Le taylorisme devient également de symbole de l'exploitation capitaliste de l'homme par l'homme. Il devient alors indispensable de trouver un sens plus humain au travail. LE COURANT PSYCHOSOCIOLOGIQUE Ce mouvement va se développer principalement à la fin

signifie que toutes les sphères de l’activité dans une société sont gagnées par le développement de la rationalité en finalité, qu’il s’agisse de la sphère administrative, de la musique etc. De ce fait un acteur économique va émerger, c’est l’entreprise. L’activité de production va progressivement quitter le cadre familial pour être organiser dans un autre cadre, gage d’une plus grande rationalité. L’entreprise devra s’émanciper du cadre familial pour grandir. Les premiers auteurs ont plus définit

répondre. procédures formelles par exemple, que savoir se questionner est aussi important que de savoir La sociologie des organisations permet une autre lecture des dysfonctionnements et permet donc le changement. Selon l’approche rationnelle (cf le Taylorisme), les comportements au travail seraient déterminés par des règles formelles considérées comme suffisantes pour transformer l’organisation. Avec la théorie de la motivation au travail (satisfaction par les besoins psychologiques), la dimension humaine

pouvoir et de la raison. Au début du XXème siècle il définit trois types de domination légitime, parmi lesquels celui qui correspond historiquement à la modernité, c’est-à-dire au développement du capitalisme. La bureaucratie se caractérise par sa rationalité, sa légitimité trouvant son fondement dans la légalité des règles qu’édictent les détenteurs de l’autorité. La bureaucratie est alors une manière dont se manifeste cette domination légale rationnelle, c’est un idéal-type. Dix principes le caractérise :

GENERALE DES CONDITIONS DE TRAVAIL Section 1 : Aperçu historique et théories sur les conditions de travail 1. Aperçu historique 2. Théories sur les conditions de travail ← Les théories de négociations ← Taylorisme et ces implications ← La théorie des relations humaines ← La théorie de la flexibilité ou juste à temps ← Les théories classiques et néoclassiques INTRODUCTION GENERALE «  La différence entre un jardin

Présentation  1.2.2. Principes  Chapitre 02 : L’Organisation Scientifique du Travail O.S.T 2.1. La révolution industrielle  2.2. L’O.S.T  Chapitre 03 : Le Taylorisme 3.1. Qui est Frederick Winslow Taylor 3.2. Les dimensions du Taylorisme  3.3. Le Taylorisme ensemble de principes de gestion de travail  3.4. Les principes du taylorisme  3.4.1. Division vertical du travail  3.4.2. Division horizontale du travail  3.4.3. Salaire au rendement et contrôle des temps  3.4.4. La coordination du

1.1.2 Les principes taylorisme : l'OST Le contexte de son analyse c'est l’Amérique des années 1900 avec une main d’œuvre abondante composée d'immigrants. Il a donc cherché un modèle dans lequel on pouvait utiliser cette main d’œuvre et faire augmenter la productivité. C'est son principe de science du travail et il a écrit un ouvrage « The principles of Scientific Management ». Il y a plusieurs idées dans son livre : _ « One best way » : parmi les méthodes et techniques utilisées dans chaque partie

d’OST (TAYLOR) «Il ne faut pas confondre le taylorisme et le fordisme : le taylorisme est une démarche microscientifique et le fordisme est un mode de développement d’entreprise visant la production de masse avec des chaînes de montage. Bref, il s’agit d’une version plus extrême du taylorisme où l’employé est en plus soumis à la mécanisation (recours systématique aux machines) et la fixation de cadence collective (individuelle chez Taylor)» a) Le Taylorisme «Le caractère artisanale de la production

– Le parti des patrons, Seuil, 1986. 1 Introduction La sociologie des organisations prend son essor réellement dans les années 1940-1950 aux États-Unis, à partir de réflexions sur le phénomène bureaucratique souvent relié à l’essor du taylorisme dans les entreprises. On peut ici relever que le modèle taylorien se rapproche sensiblement du type idéal (modèle bureaucratique rationnel-légal) décrit par Max Weber (« Economie et Société") à propos des formes d'autorité et d'organisation dans

illustration des différentes formes d'organisation du travail : le nouveau visage du taylorisme chez Pizza Hut « L'organisation du travail consiste à déterminer les règles d'exécution des activités et de la production. Elle vise à augmenter l'efficacité du travail par la mise en place de formes d'organisation spécifiques et identifiables. Certains modèles ont montré leurs limites »[1]. À l'origine, le taylorisme, comme forme d'organisation du travail, s'inscrit dans le prolongement de la pensée