Renault Et Le Taylorisme

Belle Epoque ») 1895-1918 Forte croissance économique (expansion) ; deuxième révolution industrielle ; transformation du monde ouvrier (conditions de vie, de travail, d’organisation) ; nouvelles méthodes d’organisation du travail (taylorisme, fordisme) ; économie pendant la guerre. Chapitre 3 Les Années Folles 1918-1931 Folie festive ; folie économique (croissance considérable) ; folie monétaire (dépréciation et fluctuations monétaires) ; « rationalisation » (modernisation

d’étendre le nbre de commanditaire car titres impersonnels et négociables - les sociétés anonymes : limite la responsabilité de tous les actionnaires à leurs apport En France pendant le XIXème les SNC qui dominent (choisit par les trois frères Renault en 1898 pour créer leur entreprise) puis les SCS et SCA prennent de l’importance dans la deuxième moitié du siècle et réunissent des Kaux plus important que les SNC sans pourtant les dépasser en nombre. Les sociétés anonymes se développent à partir

spécialisés'' ou OS (par opposition aux ouvriers professionnels ou OP). L’ingénieur taylorien définit l'ordre des opérations et il chronomètre. Le travail ouvrier devient complètement conçu, non pas par les ouvriers eux-mêmes, mais par les ingénieurs. Le taylorisme fait apparaître les ouvriers spécialisées, qui exécutent un travail qui à entièrement été pensé par les ingénieurs tayloriens. Il ne peut y ajouter sa propre conception et ne peut réviser la façon d’exécuter le travail, le mode opératoire. L'ouvrier

ouvriers. Une division horizontale du travail : les ouvriers exécutent des tâches parcellisées c'est-à-dire réduites à un geste simple sans cesse répété que n'importe quel individu est capable de faire. 3. Au début du XXe siècle, Ford ajoute au taylorisme le travail à la chaîne en reliant tous les postes de travail à un convoyeur qui apporte le produit à réaliser devant chaque travailleur ce qui lui évite de se déplacer. Il suffit d'augmenter la cadence de la chaîne pour augmenter la productivité

de la « révolution du rail », constitue le symbole de cette première révolution. Le système « électro-mécanico-chimique » 2 et le moteur à explosion d’Otto, ouvrent l’ère des grandes organisations industrielles, avec leurs patrons mythiques, Ford, Renault, Michelin, Siemens et bien d’autres. C'est ensuite le stade des NTTI (Nouvelles Technologies du Traitement de l’Information), accompagné par le phénomène de la mondialisation, ou troisième révolution « industrielle », (en réalité informationnelle

Replacer dans le temps la distinction entre pays industrialisés et pays du tiers monde. • Identifier deux transformations majeures de l’organisation du travail. Repères Taylorisme – Fordisme Frederik Winslow Taylor (1856-1915) est un ingénieur américain qui met au point une méthode scientifique d’organisation du travail. Le taylorisme repose sur la décomposition du travail des ouvriers en tâches simples et répétitives qui sont les moins coûteuses en temps, toutes ces opérations étant chronométrées

laboratoires d’ingénieurs intègrent ls usines > la productivité augmente grâce à ds nouvelles méthodes de travail, notamment le Taylorisme (Ford en était le 1er utilisateur. Il payait + ses ouvriers pr qu’ils achètent des bagnoles Ford): décomposition et chronométrage des tâches > mais les ouvriers se retrouvaient avec une seule tâches, ils étaient donc moins payés. Le Taylorisme a permis la création de grandes entreprises. Tout ceci marqua le début de la société de consommation. Tailles des entreprises

moderne perd de son caractère familial et humain 3. L’entreprise nouvellement organisée mais l’entreprise brimée : entre l’effort de guerre et l’ombre de la crise (1908-1946) a) Une réorganisation de l’entreprise moderne  L’entrée en scène du taylorisme et du fayolisme ou l’engouement pour le modèle US plongés en 14 par l’appel à l’effort de guerre  Structure en « M » ou la poursuite d’une tradition bureaucratique à la française : on divise par spécialités : juridique, commerciale, administrative

et de la partager, d'aligner toutes les unités et tous les personnels sur une même vision, d'avoir une approche uniforme de l'organisation est de mettre en oeuvre les mêmes pratiques. Nous pouvons donner pour exemple le système de production de RENAULT qui a pour objectif de hisser le système industriel du groupe au meilleur niveau de performance mondial. Véritable projet d’entreprise, il fédère autour de cibles, de principes et de règles d’action communes l’ensemble des acteurs du système industriel :

entreprises qui sont détenues par une société-mère à au moins 50% (moins de 50% = prise de participation) ​ La notion de groupe peut néanmoins être comprise au sens plus large du terme : exemple du groupe Renault-Nissan.​Vous remarquerez que Renault détient 44.3% de Nissan, et que Nissan détient 15% de Renault : c’est ce que l’on appelle une participation croisée - une Firme multi nationale détient au moins une entreprise à l’étranger et réalise au moins 10% de son CA à l’étranger ​.Remarque : on utilise