Rtd Civ

(terminologie…) - toilettage : écarter les dispositions abrogées - harmoniser l'état du droit : le législateur entend par là "aplanir toute difficulté qui pourrait r&sulter du rapprochement dans un code de plusieurs textes de sources différentes" (cf. art. RTD Civ 2002 sur A. Vidalies, Rapport AN, doc. 1917) Comme il a été rappelé dans un arrêt du 26 novembre 2001 s'inspirant directement de la formule du conseil constitutionnel dans une décision du 16 décembre 1999 "le principe de la codification à droit

ou industriel appelé concédant pour assurer exclusivement, sur un territoire déterminé, et sous la surveillance du concédant, la distribution des produits dont le monopole de revente lui est concédé » in Cl. Champaud, « la concession commerciale », RTD com. 1963, p.451 2 *-« la franchise est une technique contractuelle par laquelle des revendeurs, prestataires de services ou fabricants traitent avec le propriétaire de signes distinctifs (enseigne, marque), détenteur d’un savoir-faire technique et/ou

du mariage, la Cour de cassation a jugé dans deux arrêts de principe du 30 mai 1838 et du 11 juin 1838 que les fiançailles ne sont pas un acte juridique. Cette solution a été confirmée à de nombreuses reprises par la suite (V. Cass. 2ème Civ., 7 juin 1967, Bull. civ. II n°210). Les fiançailles ne doivent donc être considérées que comme un simple fait juridique. - De cette nature juridique découlent plusieurs conséquences importantes : -- tout d’abord, puisque les fiançailles

d’Amiens, Directeur du Master de Droit de la santé. 1. Cf. Civ. 1ère, 16 décembre 1975, 1ère espèce, D. 1976, 397, note Nerson. 2. Pour une critique de la mauvaise utilisation de cette notion contre les demandes de changement juridique de sexe, Voir G. Fauré, « Transsexualisme et indisponibilité de l’état des personnes », Rev. Trim. de Droit sanitaire et social 3. Cf. Civ. 1ère, 30 novembre 1983, J.C.P. 1984, 20 222, obs. J. Penneau. 4. Cf. Civ. 21 mai 1990, J.C.P. 1990, II, 21588. 5. Cf. étude précitée

propriétaire, cela entraîne la requalification du contrat en contrat de louage (Cass. 1re civ., 9 janv.1961, no 59-11.685, Bull. civ. I, no 18 ; Cass. com., 2 févr. 1967, no 64-13.356, Bull. civ. III, no 57). Le trait de bienfaisance domine alors ce contrat et son terme juridique, ce qui implique les nombreuses dérogations au droit commun des obligations. Le prêt à usage n'est pas constitutif d'une libéralité (conf. Cass. 1ère civ., 14 janv. 1997, D.1997.607 et 28 janv. 1997 Dr.&Patr. 1997.77). Le prêt à usage

édités plusieurs fois par an, sont insérés dans les volumes pour signaler les dernières évolutions. Il y a : - L’Encyclopédie Juridique Dalloz Mode de citation : rép. civ. (ou Enc. Dalloz), v. Cession de créance, n° 182 (chaque paragraphe des rubriques du répertoire est numéroté). - Les JurisClasseurs Mode de citation : J.-Cl. civ., art. 1134. 3- Les traités Les traités sont des ouvrages scientifiques qui développent de manière exhaustive une branche du droit. Ces ouvrages peuvent être consultés

professionnel envers un acheteur profane est un véritable devoir de conseil si la compétence de l’acheteur « ne lui permet pas d’apprécier la portée exacte des caractéristiques techniques du dispositif en cause » (Cass. 1re civ. 20 juin 1995, n°93-15.948, Bull. civ. I, no 277 ; RTD civ. 1996, p. 387, obs. J. Mestre). Dans cet arrêt, il est bien précisé qu’il « appartient au vendeur professionnel de fournir à son client toutes les informations utiles et de le conseiller sur le choix approprié en fonction

pour conséquence d’entraîner la libération du cédant, sauf clauses contraires du bail. Si le cessionnaire du bail ne paye pas le loyer, le propriétaire ne pourra lui demander de régler les mois ou trimestres impayés (Cass. Civ. 3e, 12 juill.1988, Bull. III, n° 125, p.69 et RTD com. 1989, p. 217, obs. PEDAMON; 15 janv. 1992, GP, 5 nov. 1992, note BARBIER). B) mise en application En l'espèce, Madame Tanguy avait le droit de céder son fonds de commerce à mademoiselle Nicole si le propriétaire des

coexister avec la mauvaise foi : ne pas confondre la volonté de se comporter comme le titulaire du droit, et la connaissance, ou l’ignorance de ce qu’on n’est pas titulaire de ce droit - L'animus doit, en principe, exister chez le possesseur - 2256 C. civ. déduit l’animus du corpus = une présomption simple Bonne/Mauvaise Foi - Le possesseur de bonne foi est celui qui croit être titulaire du droit réel sur la chose, même s’il ne l’est pas, ce qu’il ignore - le possesseur de mauvaise foi sait qu’il n’a

(1) V. cependant le régime institué par les art. 640 et s. c. civ. qui pose quelques limites aux droits et obligations des particuliers, pour éviter de nuire aux tiers ou pour supporter la nuisance des voisins.Double énumération visant dans certains cas bien particuliers à établir un équilibre entre obligation de ne pas nuire et obligation de supporter une certaine nuisance d'autrui. Cf. en particulier l'art. 674 qui impose de respecter pour certains ouvrages des distances prescrites « pour éviter