Théorèmes de point fixe

d’éléments. 2.4 Loi d’Ohm généralisée. 2.5 Loi de Pouillet. 3 ETUDE DES CIRCUITS COMPLEXES EN COURANT CONTINU. 3.1 Introduction 3.2 Les lois de KIRCHHOFF. 3.3 Théorèmes qui découlent des propriétés des circuits résistifs. 4 4.1 4.2 4.3 REGIMES TRANSITOIRES Introduction Circuits RC, RL, RLC ; grandeurs caractéristiques Application des théorèmes. Electricité Page 2/56 2009 Module II : ETUDE DES CIRCUITS EN REGIME FORCE (ALTERNATIF SINUSOÏDAL) Electricité Page 3/56 2009 Circuits

2013 Exercice 1 Pour chacune des quatre questions suivantes, plusieurs propositions de réponse sont faites. Une seule des propositions est exacte. Aucune justification n’est attendue. Une bonne réponse rapporte 1 point. Une mauvaise réponse ou une absence de réponse rapporte 0 point. Reporter sur votre copie le numéro de la question et donner la bonne réponse. 1 L’arbre ci-dessous est un arbre de probabilité. La probabilité manquante sous la tache est : a) 7 9 5 b) 12 c) 5 9 2 Dans

plusieurs pays, tel que le Canada, à réduire ses émissions de polluants. Trente six pays ont alors conclu, durant la conférence de Rio, un entente volontaire visant réduire, d’ici l’an 2000, le niveau des gaz à effet de serre. Le seuil de réduction était fixé au niveau des émissions de 1990. Il est, à l’heure actuelle, clair que la majorité des pays n’atteindront pas cette cible et c’est pourquoi plusieurs pays ont envisagés d’autres mesures durant la conférence de Kyoto. Parmi ces mesures, la création

muni d’un repère (O, i, j), et 1. à tout complexe z = a + ib, on associe le point M de coordonnées (a, b). On dit que M a pour affixe z. −→ − 2. à tout vecteur de u du plan on associe un unique point M d’affixe z tel que OM = u et on dit que u est d’affixe z. M : z = x + iy y O x 1 Rappelons que si P est le plan euclidien muni d’un repère (O, i, j), si z et z sont les affixes −− − → −→ −− −→ − respectivement des points M et M , alors z + z est l’affixe du vecteur OM = OM + OM . De −→ − même α

Méthodologie © SOS DEVOIRS CORRIGES (marque déposée) 1 - opter pour des couleurs choisies de manière fixe, afin de visualiser rapidement les grands axes et les points importants. Suggestion : utiliser le vert pour les exemples, le rouge pour les nouveaux mots importants ou pour les titres… - souligner les titres, afin de les mettre en exergue - encadrer les définitions, les théorèmes, les propriétés, les thèses d’auteurs… afin de bien les signaler comme des éléments majeurs de la leçon

fonction ou méthodes mathématiques, pourra toujours se poser la question suivant. La troisième spécificité de ce cours est l’application du principe de parcimonie. Tout en traitant le programme de première année, nous nous somme concentré sur les points essentiels, c'est-à-dire sur les méthodes et les outils qui seront d’utilisation courante dans les autres cours de deuxième année à la licence. C’est la raison pour laquelle le chapitre des complexes est considéré comme un chapitre introductif. Pour

. . . . . . . . . . 4.3.1 Interprétation géométrique du produit vectoriel . . 4.4 Le produit mixte (triple product) . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Droites et plans dans l’espace de dimension 3 . . . . . . . 4.5.1 Equation du plan passant par un point P0 et ayant . . . . . . . . . n . . . . . . . . . . 49 49 50 52 52 54 55 58 59 61 61 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

des prix à la consommation (IHPC) inférieure à 2% sur l’ensemble de la zone euro". On a le sentiment que le seuil de tolérance de la Fed est un peu au-dessus de celui de la BCE. Ceci peut être expliqué par le fait que la cible européenne de deux points d’inflation par an pour l’ensemble de la zone euro a été retenue par la BCE d’une manière totalement explicite alors que la Fed considère la même cible mais d’une manière plutôt implicite ou discrète. Au-delà des textes, il faut bien se rendre compte

. . . . . . . . . . . . 1.1.2 Classes caractéristiques . . . . . . . . . . . 1.1.3 Espaces de Thom . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.4 Complexes et paires de Poincaré . . . . . . 1.1.5 Application de transfert . . . . . . . . . . . 1.2 Quelques théorèmes d’existence de plongements . . 1.2.1 Plongement en grande codimension . . . . . 1.2.2 Plongement de Poincaré . . . . . . . . . . . 1.3 Quelques conditions nécessaires . . . . . . . . . . . 1.3.1 Obstruction rationnelle à l’immersion . . . . 1.3.2

réciproque de ln, exp : x ￿→ ex Exemples 1.1.7. Fonctions trigonométriques → → − − Dans le plan P orienté muni d’un repère orthonormé direct (O, i , j ), on note I(1, 0), J(0, 1) et C le cercle de centre O et de rayon 1. Soient x ∈ [0, 2π] et M le point de C tel − −→ → − que la mesure (en radians) de l’angle orienté (OI, OM ) soit égale à x, on note OH la projection orthogonale de M sur (OI) et OK la projection orthogonale de M sur (OJ). Par définition, on pose sin x = OK et cos x = OM . sin est définie