Claudine à l'école

par

Marie Belhomme

Elle est « bébête, mais si gaie ! » « Raisonnable à quinze ans, comme une enfant de huit ans peu avancée pour son âge, elle abonde en naïvetés colossales ». Sa candeur en fait la cible privilégiée des moqueries mais sa nature profondément innocente désarme la méchanceté de ses camarades. « Brune et mate », aux « yeux noirs longs et humides », dotée de longues mains qu’Anaïs appelle des « mains de sage-femme », elle ressemble à un « lièvre peureux ». Sa fraîcheur en fait l’antithèse d’Anaïs, et son esprit peu délié l’empêche de réussir l’examen du brevet élémentaire.

 

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