Pour qui sonne le glas

par

Rafael le Gitan

Il « avait des yeux bleus dans un visage de gitan, sombre, nonchalant et beau, un visage couleur de cuir fumé. » Sans grande conviction politique, il fait la révolution pour l’acte en lui-même, non pour la cause républicaine. Il ne respecte jamais la discipline : c’est parce qu’il a abandonné son poste de garde afin d’aller chasser le lièvre qu’un cavalier fasciste s’est avancé jusqu’au camp et que Robert Jordan a dû le tuer. Peu estimé des autres guérilleros, il ne brille pas par son courage.

Inscrivez-vous pour trouver des dissertations sur Rafael le Gitan >