La Perfectibilite

lois et les vertus joueront les rôles de ces deux instincts. Ainsi, l’inégalité est à peine perceptible dans l’état de la nature. En de nombreux points, le sauvage ressemble aux animaux, à l’exception de sa faculté à se perfectionner. Cette perfectibilité sera la source de sa sortie de l’état naturel et la cause de son malheur, selon Rousseau. L’homme est avant tout un animal. Il étudie donc l’homme sous deux formes : son aspect physique puis son aspect moral et psychologique. Rousseau décrit

ses actes. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste classique. L’optimisme Les humanistes croient en la perfectibilité humaine : c’est pourquoi les traités d’éducation abondent, qui doivent former les hommes à vivre dans la concorde et le partage, animés d’un même amour du beau et du bien. La vocation à l’universel Loin de se limiter à une seule discipline,

lois et les vertus joueront les rôles de ces deux instincts. Ainsi, l’inégalité est à peine perceptible dans l’état de la nature. En de nombreux points, le sauvage ressemble aux animaux, à l’exception de sa faculté à se perfectionner. Cette perfectibilité sera la source de sa sortie de l’état naturel et la cause de son malheur, selon Rousseau. L’homme est avant tout un animal. Il étudie donc l’homme sous deux formes : son aspect physique puis son aspect moral et psychologique. Rousseau décrit

espèce ont des mœurs très proches, l’homme se caractérise par sa capacité à diversifier ses modes de vie. Comme le souligne Rousseau dans le Discours sur l’origine et les fondements des inégalités parmi les hommes, ce qui définit l’homme est sa « perfectibilité », sa capacité à se perfectionner en conservant et en accumulant ce qu’il a acquis au niveau individuel et collectif. Notre humanité même tient à notre pouvoir de créer des langues, des outils, des religions, des œuvres d’art, et de transmettre

L’utopie, qui signifie étymologiquement « pays de nulle part », est un genre qui naît au XVIe siècle de la confiance des humanistes en l’homme et en sa perfectibilité. Ceux-ci imaginent en effet un pays imaginaire où les hommes vivraient en paix et en harmonie, et qui pourrait donc constituer un idéal à atteindre. L’idée est reprise par les philosophes des Lumières pour illustrer leurs principes. Ainsi Voltaire imagine-t-il, dans Candide, le pays d’Eldorado, pays « doré » donc, où il semble que

entraîner sur le plan de la paix sociale et de la liberté individuelle, ce qu'il considère comme une erreur philosophique et morale, celle du christianisme prôné par Luther qui conduit à une véritable déchéance de la raison humaine, le privant de sa perfectibilité essentielle, et finalement à la guerre civile. Un intérêt dramatique et humain : Si le contenu exact de la philosophie de la Renaissance reste mal connu, en revanche les personnages qui l'incarnent valent davantage pour la légende qu'ils

les sciences et les arts (1750) et De l'Inégalité parmi les hommes (1755), en opposant l'état de nature qui faisait le bonheur de l'humanité, à l'état social, source des insatisfactions générales. Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. Les Confessions et Les Rêveries du promeneur solitaire fondent l’autobiographie, l'auteur s'y livre à une observation approfondie

permettant d’empêcher l’homme de retrouver sa pire crainte, CAD la mort. - Par la perfection, l’homme cherche à exercer une certaine domination sur le monde. 2) Impossibilité de l’homme à être parfait - Cependant, n’avons-nous pas des limites à notre perfectibilité ? Vouloir être parfait n’est-ce pas trop orgueilleux pour l’homme ? - L’homme n’a pas une connaissance parfaite, il n’est pas omniscient. L’homme ne pouvant pas être parfait, Dieu représente alors l’homme qui serait parfait.  L’homme ne pouvant

le fais pas souffrir pour que je ne ressente pas de la souffrance moi-même. Texte (2) La pitié à l’origine de notre sens moral Etat de nature # état civil Les Hommes auraient vécu à l’Etat de nature avant de vivre au sein d’une société. Perfectibilité = différence entre l’Homme et l’animal. L’Homme vit seul car il peut vivre seul, la nature peut subvenir à tous ses besoins pour qu’ils vivent seul. Pour rousseau, la raison se développe en l’Homme à partir du moment où il vit en société. Il

la sagesse et donc en même temps qui l’atteindra. En dernier lieu, l’être humain étant un être imparfait dû à l’inconscience, il recherchera toujours à se perfectionner. Il est vrai que tant qu’il y aura de l’humanité, il y aura toujours de la perfectibilité. En effet, on peut remarquer par l’histoire que l’homme a souvent été rattaché à l’idée de dieux qui serait des êtres parfait(ayant également atteint l’inaccessible , l’homme veut leur ressembler). On peut le voir avec le mythe d’androgyne où