Comportement Organisationnel

une organisation idéale « one best way » qui permettra d’augmenter la valeur ajoutée et réduire les couts. Il en découle que le facteur humain est perçu de la même façon que le facteur technique, à savoir un cout à minimiser, et qui doit avoir un comportement et une cadence de travail types définis en fonctions de situations artificielles non basées sur la réalité des choses. La problématique qui se pose alors aux dirigeants est de « comprendre les raisons du décalage entre le rendement de l’homme au

fonctions : Recrutement Formation Gestion des carrières Rémunération L’évaluation La communication interne et la gestion des relations sociales. La compétence individuelle : Savoir (formation initiale) Savoir-faire (expérience) Savoir-être (comportement, compétences transversales) Les compétences requises par l’organisation : Fiche de poste (intitulé du poste, position du poste dans l’organigramme, missions et activités du poste, possibilité d’évolution professionnelle) Les compétences détenues

par Navmed avec ses principales parties prenantes avant la liquidation judiciaire. D’après Edward Freeman (1963), une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peuvent affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels de l’entreprise. /!\ Rédiger BTS Blanc. Les parties prenantes Les relations Les salariés Deux catégories de salariés sont à distinguer : Les managers membres de la famille ; ils sont dans une relation d’obéissance presque aveugle avec

propriétaires du capital de l'entreprise, ses salariés et ses clients. La place ou le rôle des PME sont donc absolument inévitables. Définition de la gouvernance d’entreprise :   La Gouvernance Entreprise a été définie par « l’ensemble des mécanismes organisationnels qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d’influencer les décisions des dirigeants, autrement dit, qui « gouverne » leur conduite et définit leur espace discrétionnaire »  et la bonne gouvernance est une composante de la mise à niveau

l’importance de la psychologie pour les dirigeants sociaux. Modalités pédagogiques : Cours magistraux ; Etudes de cas ; Exposés. COURS INTRODUCTIF 1. La psychologie : définition – objets La psychologie est l’étude scientifique du comportement de l’individu en société, dans le but de l’aider à se connaitre pour améliorer ses rapports avec soi-même et avec les autres. Presque toutes les sciences, surtout les sciences humaines (histoire, géographie, linguistique, économie, …), étudient

du contrôle soulignent fréquemment le couplage qui devrait exister entre la stratégie d’une organisation et son système de contrôle. Cette recherche tente d’identifier les systèmes de contrôle développés par les entreprises en fonction de leur comportement stratégique décrit selon la typologie de Miles et Snow. Une réflexion est également proposée sur la caractérisation des systèmes de contrôle. Les prospecteurs apparaîtront comme ayant les systèmes de contrôle les plus développés. INTRODUCTION

théories développées dans les années 1960 par Douglas McGregor et utilisées en ressources humaines et en comportement organisationnel. Les deux théories s'opposent entre elles. La première suppose que l'homme n'aime pas travailler, la seconde affirme le point de vue inverse. Ces deux théories sont issues d'observations empiriques et sont formulées de manière à rendre compte des comportements observés dans les organisations, selon les postulats des dirigeants. |Sommaire

contradictions soulevées par le mode de production artisanal. Le modèle industriel occidental mis en œuvre dans les grandes entreprises combine ainsi plusieurs apports théoriques complémentaires : le taylorisme qui fait référence à des concepts organisationnels de base, le fordisme désignant le travail sur les lignes d’assemblage et de standardisation de produits, la contribution de Fayol vers une unité de commandement, de direction, de prévoyance et de coordination dans les organisations. Aussi, la

Page 2/25 Introduction La motivation n’est ni un trait de personnalité indépendant du contexte, ni une conséquence quasi-automatique d’un bon management ou d’une organisation adéquate. Il s’agit de la résultante de contraintes économiques, organisationnelles, technologiques et culturelles, et de leurs interactions avec les besoins, les valeurs et les aspirations des individus. La motivation n’est pas un processus stable, elle est sans cesse remise en question. Pour comprendre les processus que représente

Deux modes de raisonnement complémentaires sont utilisés pour analyser les organisations: - Le raisonnement stratégique: on part de l'acteur pour découvrir le système qui seul peut expliquer par ses contraintes les apparentes irrationnalités du comportement de l'acteur. - Le raisonnement systémique: part du système qui s'impose à l'acteur pour retrouver la dimension contingente arbitraire et non naturelle Première partie L’organisation comme problème Où l’on tente d’expliquer la rationalité