Conflit Actionnaires Manager

leurs managers le bilan d’une formation au management à laquelle ils ont participé, elle fait tomber son verre et le casse. Lui, très sérieux, se tourne vers ses managers : « À chaque fois que ma femme casse un verre, il se passe quelque chose d’important dans l’entreprise… » © Groupe Eyrolles Je ne dis rien et pars consulter ma voyante préférée… Le directeur d’une unité de plus de cent personnes organise une réunion pour dresser le bilan de projets stratégiques avec ses managers. Avant

Chapitre 1 l’esprit et la dynamique de l’entrepreneuriat 1. Les caractéristiques et les enjeux de la logique managériale 1.1. Qu’est-ce qu’un manager ? A. Les tâches exercées par le manager Un manager exerce cinq tâches spécifiques à sa fonction : – définir les objectifs à atteindre (ex. : une marge opérationnelle de 6 % pour 2009 pour le groupe Renault) et communiquer sur ces objectifs en interne et à l’extérieur de l’entreprise ; – organiser les activités et les tâches au sein de

Reconnaissance Appartenance Sécurité Physiologie Sécurité Physiologie C. Le pouvoir et les formes de leadership Le pouvoir : responsabilité de diriger d’autres individus. Ce pouvoir entraîne une tendance au conflit mais aussi à la coopération. Le rôle des managers est d’assurer suffisamment la coopération entre les individus pour permettre la bonne marche de l’entreprise. Pouvoir : capacité à modifier le comportement des individus système de sanctions rapport de force. Ex : directeur

Comment peut-on être manager ? Le métier du manager, qui consiste à transformer le travail de ses équipes en performance pour l’entreprise, se complique chaque jour un peu plus. Un bon manager, pour les actionnaires ne l’ai pas forcement pour les salariés intérêts divergents. I. Réflexe ou réflexion à la recherche du bon tempo La société de consommation, 1970 : au cours de XXe siècle, 4 cultes se sont combinés et se sont renforcés : 1) La vitesse : compétition avec l’horloge, la course

dimension éthique, sociale et environnementale 2. Contenu L’entreprise doit prendre en compte les parties prenantes, c’est à dire l’ensemble de ses partenaires économiques et sociaux, directs ou indirects : salariés, clients, fournisseurs actionnaires (partenaires contractuels), organisations non gouvernementales (ONG) et collectivités territoriales (société civile). La RSE signifie qu’une entreprise doit se soucier non seulement de sa rentabilité et de ses résultats financiers, mais aussi

d’Administration de laquelle il y a un ou plusieurs membres de la famille qui ont un fort pouvoir et une forte influence sur le développement de l’entreprise et sur tout ce qui concerne sa gestion (la majorité de droits de vote par rapport aux autres actionnaires) ; • qui n’a pas perdu les valeurs qui lui ont été attribué par son fondateur (il s’agit du changement significatif du nom de l’entreprise, d’une différenciation importante de ses activités etc.) Il y a d’autres critères que je prends en compte

Les entreprises seraient dirigées selon deux logiques : la logique entrepreneuriale fondée sur la prise de risques ainsi que sur la créativité et la logique managériale axée sur l’optimisation des ressources confiées au manager. I – La logique entrepreneuriale A - L’entrepreneur selon Schumpeter (1928) Schumpeter estime que l’innovation permet de sortir l’économie de l’état stationnaire et c’est l’entrepreneur qui incarne le pari de l’innovation. Ainsi, l’entrepreneur a vocation

la fonction financière, les organisations se focalisent sur les opport unités de création de valeur ainsi que sur l’optimisation de la gestion de la performance de leur activité. 3 Alain Fernandez «Les nouveaux Tableaux de bord des managers», Eyrolles, 2003 BALANCED SCORECARD OUTIL STRATÉGIQUE DE PILOTAGE DE LA FONCTION FINANCE ET TRÉSORERIE 5 Le projet de mise en place d’un nouvel outil de pilotage stratégique au sein de la SAMIR permettra de répondre aux

cause. * les 5 principes de base du management (comme l’avait fait Fayol 50 ans auparavant) : fixer les objectifs, organiser le travail, motiver et communiquer, effectuer les mesures de performance et former les gens. * le manager est un « chef d’orchestre ». Pour lui le manager a un rôle clé dans la réussite de l’entreprise * Il parlera également de direction par objectif, de décentralisation, de privatisation et des conséquences de l’avènement de l’âge de l’information (« travailleurs du savoir »)

direction : manière dont le manager exerce son pouvoir au sein de l’organisation. Style autoritaire : style de direction fondé sur la peur de la sanction. Le manager prend seul les décisions qu’il impose à ses subordonnés. Style consultatif : le dirigeant demande l’avis de ses subordonnés avant de prendre une décision. Style participatif : tous les membres de l’organisation participent à la prise de décision, des groupes sont constitués pour prendre les décisions, régler les conflits, fixer les objectifs