Crozier Et Les Parties Prenante

constamment élargi. La problématique du management s'efforce - dans un souci d'optimisation et d'harmonisation- d'intégrer l'impact de dimensions nouvelles sur l'art de décider et de gérer : Respect des intérêts et représentations d'un maximum de parties prenantes aux activités du collectif de personnes ou de l'entreprise. Prise en compte accrue de la dimension temporelle (recherche d'une cohérence possible entre les horizons de gestion à court, moyen et long terme). Mesure, pondération et responsabilisation

est faite entre un changement imposé et un changement volontaire. Toutefois, une distinction entre le changement volontariste et le changement déterministe subsiste. Cette distinction a d’ailleurs fait l’objet d’un débat qui a structuré une grande partie des recherches en théorie des organisations. 2.1 Le changement imposé Le changement organisationnel peut être déterminé par l’environnement interne et externe à l’organisation. Ce déterminisme de l’environnement est perçu à deux niveaux

D’ THEORIES DES ORGANISATIONS IPD-AC / Elearning Rédigé par : Pr SAME KOLLE (Maître de Conférences) Consultant à l’IPD-AC Institut Panafricain pour le Développement- Afrique Centrale SOMMAIRE INTRODUCTION PARTIE 1 : LES THEORIES CLASSIQUES DES ORGANISATIONS.......................................................................................... 4 CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL ET LA RATIONALISATION DES PROCEDURES ............... 4 1 TAYLOR ET L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE

système organisationnel, la gouvernance prend tout sont sens en ce qu’elle tente de garantir un juste équilibre des rapports entre parties prenantes de l’organisation en présences permettant ainsi leur l’expression au service de la création de valeur. Au sein des Etats, des entreprises, mais également des institutions telles que la Sécurité sociale, partie prenante majeure du système de protection sociale en France, la question de la gouvernance est bien présente. Nous nous intéresserons, au

attitudes / croyances. Pour Gabriel Tarde, l’imitation est le processus fondamental de la réalité sociale. Pour Willem Doise, c’est un ensemble de processus qui modifie les perceptions, les jugements, les attitudes ou les comportements d’un individu à partir de sa connaissance de perceptions, attitudes, jugements des autres. Le Bon développe le concept de contagion sociale (une situation comparable à l’hypnose).La contagion sociale est finalement la tendance à imiter un modèle dominant de comportement

des intérêts communs (salariés, cadres, actionnaires…). 11) CROZIER ET FRIEDBERG : Michel Crozier (1922) Crozier « Le phénomène bureaucratique » -1963 Crozier travaille sur des thèmes similaires en écrivant que l’organisation n’existe pas en tant que telle mais résulte des règles formulées par le jeu des acteurs. Chaque acteur va jouer son propre jeu et n’a pas le temps de rechercher des solutions optimales. Dans les années 70, M. Crozier, sociologue français, et Friedberg, dans l’ouvrage « L’acteur

SYSTEMIQUE ……………………………………………………………17 A- Von BERTALANFFY…………………………………………………………………...17 B – Jaque MELESE…………………………………………………………………………17 C – Synthèse de MINTZBERG…………………………………………………………...…18 VI - APPROCHE SOCIOLOGIQUE…………………………………………………..…19 A – CROZIER et Fridberg……………………………………………………………………19 B – J.D. REYNAUD………………………………………………………………………….20 C – Herbert SIMON…………………………………………………………………………..20 E – MARCH et CYERT……………………………………………………………………....21 VII – APPROCHES RECENTES…………………………………………………………22 A-

constamment élargi. La problématique du management s'efforce - dans un souci d'optimisation et d'harmonisation- d'intégrer l'impact de dimensions nouvelles sur l'art de décider et de gérer : Respect des intérêts et représentations d'un maximum de parties prenantes aux activités du collectif de personnes ou de l'entreprise. Prise en compte accrue de la dimension temporelle (recherche d'une cohérence possible entre les horizons de gestion à court, moyen et long terme). Mesure, pondération et responsabilisation

l'époque l'organisation la plus performante, de par sa transparence, sa rapidité et sa précision. Cependant, les problèmes liés à la bureaucratie ont aussi été mis en évidence par de grands chercheurs tels que Merton, Gouldner, Peter Blau ou encore Crozier. Leurs recherches montrent que la bureaucratie poussée à son excès peut créer des dysfonctionnements mais aussi grandement limiter les compétences des individus concernés. Pour la plupart d'entre eux, ce modèle pourrait même aller jusqu'à paralyser

caractéristiques communes : Un ou des buts : raison d’être de l’organisation partagée par l’ensemble (ou une partie) de ses membres. Des membres : créateurs, participants, travailleurs… La division des tâches : qui doit faire quoi ? La coordination des tâches : procédures pour ordonner les contributions respectives. Une certaine stabilité : pour la mise en place des règles et leurs applications. M. Crozier et E. Fiedberg, l’acteur et le système [1977] : L’organisation : « Une action collective organisée »