Crozier Modèles Théoriques

motivation est de gagner plus d'argent. Elle est tout entière centrée, ainsi que J. G. March et H. A. Simon l'ont remarqué, « sur les activités physiques de base qui sont impliquées dans la production ». Le travail de l'ouvrier y est pensé à partir du modèle mécaniste. Ce qui montre bien, comme le précisent encore March et Simon, que « Taylor et ses associés ont étudié avant tout l'emploi des hommes comme auxiliaires des machines dans l'exécution des tâches de production routinières ». Si Taylor a rendu

pouvoir dans l’organisation 3. La théorie de la bureaucratie de Weber 4. Les critiques de la bureaucratie II. Les modèles des cercles vicieux bureaucratiques : 1. Modèle de Merton ; 2. Modèle de Selznick ; 3. Modèle de Gouldner. III. Michel Crozier et les cercles vicieux bureaucratiques : 1. Etudes de cas : Agence comptable parisienne ; Monopole industriel. 2. Modèle de Crozier. Conclusion 1Introduction : La fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècles furent marqués par un émergence

synthétiques et peu nuancées peuvent y figurer, dans la mesure où le cours oral est précisément le lieu pour les compléments éventuels et les réponses à des questions de précision. D’autre part, l’appropriation et la maîtrise de ces considérations théoriques ne peuvent être assurées par la seule lecture de tels documents, aussi brillantes soient les qualités rédactionnelles de l’auteur ou aussi perspicaces que soient les lecteurs et les lectrices. Bonnes lectures. Présentation générale de l’ouvrage

compétence : du mot-valise au concept opératoire », in Actualité de la Formation Permanente n° 116, 1992. Hambrick, D.C & L.M. Crozier (1985), Stumblers and stars in the management of rapid growth, Journal of Business Venturing, vol. 1, p. 31-45. Hernandez, E.M. (2001), L’entrepreneuriat. Approche théorique, L’Harmattan. Herron, L.A & R.B. Robinson (1993), “A structural model of the effects of entrepreneurial characteristics on venture performance”, Journal of Business Venturing, vol. 8, p. 281-294

caractériser comme un système d’actions, qui se voit confronté à deux problèmes, réaliser ses objectifs, formuler ses buts et appeler ses membres, ses « constituants » à participer à leur réalisation. 3) Quels sont « les modèles théoriques » auxquels s’opposent Michel CROZIER et Erhard FRIEDBERG pour expliquer la conduite humaine au sein des organisations ? La théorie prônée par les auteurs est celle de la théorie de l’acteur stratégique. Etant donné que le jeu des acteurs est déterminé par la

coordonner les tâches de chacun. Assurer un fonctionnement optimal. Selon Mintzberg, c’est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches. B. Aspects théoriques 1) Les facteurs de contingence Le choix d’une structure va dépendre de certains facteurs appelés facteurs de contingence.  Taille (TPE, PME…) : besoin en personnel  Âge : augmentation de la division du travail  Technologie (activité et système

d’autres formes de domination en son sein : ainsi, charismatique pour un directeur qui semble particulièrement compétent Pas d’étude de terrain par W, définit juste un idéal-type. B) Les dysfonctionnements de la bureaucratie a) L’Analyse théorique Article de Robert Merton le fonctionnaliste en 1936 sceptique quant aux effets positifs de la bureaucratie Critique de la multiplication des règles, qui conduit à former une personnalité bureaucratique = ‘’l’adhésion aux règles, conçue à l’origine

théorie de la bureaucratie de Weber ; 4. Les critiques de la bureaucratie ; II. Les modèles des cercles vicieux bureaucratiques : 1. Modèle de Merton ; 2. Modèle de Selznick ; 3. Modèle de Gouldner ; III. Michel Crozier et les cercles vicieux bureaucratiques : 1. Etudes de cas : ➢ Agence comptable parisienne ; ➢ Monopole industriel ; 2. Modèle de Crozier ; Conclusion Introduction : En réaction aux chercheurs qui s’intéressent aux

en double relation avec les individus et les normes du groupe. Cette stratégie correspond à une logique d'acteurs, qui se traduit par des relations quotidiennes de pouvoir, d'origine organisationnelle ou culturelle. Le choix du modèle interactionniste Dans le modèle interactionniste, les normes changent en fonction du déterminisme de l'environnement individuel, du système global et de l'intention stratégique de l'acteur. Finalement, il s'agit de comprendre les stratégies des acteurs en fonction

les besoins de sécurité et d’appartenance, les besoins d’estime et de réalisation de soi. 1.3/ La théorie de la rationalité limité et de l’acteur comme stratège C’est en France dans les années 60, qu’un troisième mouvement théorique est né autour de M.CROZIER. Selon ce modèle, les comportements des membres d’une organisation ne sont pas totalement déterminés par des règles formelles. Les membres de l’organisation ont des intérêts et ceci ne coïncide pas forcément avec les objectifs de leur mission