Cyert

entreprise de type industriel, par exemple, on va devoir prendre un certain nombre de décisions sur le niveau des pris, sur le niveau des ventes, sur les niveaux de production, sur les moyens engagés… les objectifs dans une entreprise sont multiples. CYERT et MARCH ont mis en place un certain nombre d’objectifs : Un objectif de production. Ce niveau d’objectif va être contraint par des capacités de production, par la nécessité d’économiser des coûts de production, il va être aussi contraint par la plus

les partenaires extérieurs influence de façon déterminante le mode de gouvernance dans l’entreprise. Le dirigeant doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui peuvent constituer autant de contre-pouvoirs (R.M. CYERT et J. MARCH, M. CROZIER). 2. élaborer une stratégie (34 heures) Sommaire 2.1. Définir une démarche stratégique (6 heures) - La notion de stratégie - Les étapes de la démarche stratégique SENS ET PORTÉE DE L’ÉTUDE COMPÉTENCES Les dirigeants

les partenaires extérieurs influence de façon déterminante le mode de gouvernance dans l’entreprise. Le dirigeant doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui peuvent constituer autant de contre-pouvoirs (R.M. CYERT et J. MARCH, M. CROZIER). Thème 2.1. Définir une démarche stratégique La notion de stratégie revêt différentes facettes comme le montre la distinction effectuée entre les notions de stratégie délibérée et de stratégie émergente (H. MINTZBERG). La

façon déterminante le mode de gouvernance dans l’entreprise. Le dirigeant doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes, internes et externes à l’entreprise, qui peuvent constituer autant de contre-pouvoirs (R.M. CYERT et J.G. MARCH, M. CROZIER). 1.3.3. Les styles de direction. Les styles de direction (R. LIKERT) influencent la prise de décision et déterminent le choix des solutions adoptées. | 2. ELABORER UNE STRATEGIE | 2.1. Définir une démarche

modèle final ", il n'existe que des " finalités " Théorie de l’agence Théorie des contrats Théorie des coûts de transaction 27 THÉORIES DE LA DÉCISION Rationalité limité : La rationalité " procédurale " contre rationalité absolue Richard CYERT James MARCH Herbert SIMON Principes : Le décideur navigue souvent dans le brouillard Les informations dont il dispose ne sont pas complètes Ses capacités d'abstraction, de synthèse ou d'analyse sont limitées Il est influencé par des émotions et

collectives. les relations de pouvoir dans l’entreprise : les dirigeants doivent en permanence arbitrer entre d’une part les objectifs des salariés et les objectifs communs de l’entreprise. Les objectifs poursuivis, selon la théorie développer par Cyert et March, ne sont pas rationnels mais représente le meilleur compromis possible entre les objectifs des diverses composantes de l’entreprise et les objectifs compromis. Ce sont ces coalitions d’individu qui vont devoir négocier entre elles. 2.

les partenaires extérieurs influence de façon déterminante le mode de gouvernance dans l’entreprise. Le dirigeant doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui peuvent constituer autant de contre-pouvoirs (R.M. CYERT et J. MARCH, M. CROZIER). Thème 2.1. Définir une démarche stratégique La notion de stratégie revêt différentes facettes comme le montre la distinction effectuée entre les notions de stratégie délibérée et de stratégie émergente (H. MINTZBERG).

les partenaires extérieurs influence de façon déterminante le mode de gouvernance dans l’entreprise. Le dirigeant doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui peuvent constituer autant de contre-pouvoirs (R.M. Cyert et J.G. March, M. Crozier). Thème 2.1 Définir une démarche stratégique La notion de stratégie revêt différentes facettes comme le montre la distinction effectuée entre les notions de stratégie délibérée et de stratégie émergente (H. Mintzberg). La

dans un schéma théorique représentant à la fois les buts et les moyens de la décision. Ceci afin de renforcer l’analyse micro-économique à l’aide d’une représentation plus réaliste de l’homo oeconomicus. De plus, les auteurs Behavioristes (Simon, Cyert, et March) énoncent l’entreprise comme une coalition d’acteurs qui acceptent d’apporter leur participation moyennant une rétribution qui doit être montant satisfaisant pour que les acteurs acceptent de collaborer à l’objectif commun. Ils expliquent

division du travail dans la firme constitue pour Simon, une des procédures relevant de la logique de la rationalité limitée. 3. L’apport des behaviouristes Dans le contexte de la révolution introduite par Simon en microéconomie. La contribution de Cyert et March A Behavioral Theory of the Firm, 1963 constitue un moment fondamental de l’histoire de la théorie de la firme. C’est en effet à ces auteurs que l’on attribue le pas décisif consistant à faire admettre à titre quasi-définitif et irréversible