Friedberg

conception fonctionnaliste : le pouvoir ne sert à rien, il ne sert pas à s’adapter, le pouvoir est une composante de la modernité mais c’est une composante dissimulée, cachée qui se voile derrière la logique du progrès. FICHE 3 : M. Crozier, E. Friedberg et le Paradigme Stratégique 1. Rappel Paradigme Structurel = liens et interactions sociales dans les organisations interdépendance entre les entités d’un système + identification à des structures + importance dans le fonctionnement de l’organisation

pénombre ou quasi-invisibles. Dans notre perspective, ce sont des individus ou des groupes ayant une influence sur l'action collective, selon les processus décrits par les théories du pouvoir dans les organisations (Pfeffer, 1981 ; Crozier, Friedberg, 1977 ; Friedberg, 1993 ; Reynaud, 1989). Leurs stratégies peuvent être orientées par des buts explicites (objectifs organisationnels, projets fonctionnels, valeurs à défendre), mais aussi par des envies discrètes ou des désirs inconscients. Nous aborderons

et le rôle respectif des acteurs dans la survenue de ces accidents. Ensuite les modèles théoriques qui essaient de définir les causes des accidents dans les piscines, les principaux résultats sont obtenus avec le modèle théorique de Crozier et Friedberg. Ceux-ci créent le Système d’Action Concret (SAC) qui se définit par trois composantes : l’auteur et sa rationalité, l’acteur et le système et le pouvoir comme capacité d’action. Ils cherchent à comprendre ce qui pousse les acteurs à agir en fonction

l'intervention sociologique telle que la conçoit Alain TOURRAINE, décrivant son dispositif et les concepts fondant cette sociologie. Puis, au chapitre second, il est question de l'analyse stratégique menée essentiellement par Michel CROZIER et Erhard FRIEDBERG. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse institutionnelle regroupant de multiples écoles ayant en commun une analyse critique de l'institution, une sociologie impliquée et des outils divers. Les chapitres 4 à 7 définissent les méthodes, les

(Presthus,1958) ; * « La coordination rationnelle des activités d’un certain nombre de personnes en vue de poursuivre des buts et des objectifs implicites communs » (Schein, 1970) ; « Une réponse au problème de l’action collective » (Crozier, Friedberg, 1977) ; * « des systèmes d’action coordonnée entre des individus et groupes dontles préférences, l’information, les intérêts et le savoir différent» March,Simon (1993); * « des structures sociales créées par les individus pour les aider

phénomène organisationnel et l’étude des organisations 2) Structure et organisation L’analyse des configurations organisationnelles (Henry Mintzberg) 3) Pouvoir et organisation L’analyse stratégique des organisations (Michel Crozier & Erhard Friedberg) 4) Culture et organisation La théorie des conventions (Luc Boltanski et Laurent Thévenot) TO BUY : NIZET J. & PICHAULT F. 2005 Introduction à la théorie des configurations. Bruxelles : De Boeck (Mintzberg) http://www.amazon.fr/gp/search?index=books&linkCode=qs&keywords=2804138429

avec le CSO (le centre de sociologie des organisations, créé par Crozier et Friedberg). Un constat simple. Crozier part du fait que le jeu des acteurs à l’intérieur des organisations n’est pas déterminé par la cohérence du système ou par les contraintes environnementales. En d’autres termes, pour Crozier, l’unité de référence, d’évaluation des organisations est l’acteur. Enjeu. A partir de cette idée, Crozier et Friedberg font chercher à comprendre comment se constituent les actions collectives

GDF Suez peut ne pas en tenir compte car il ne fait pas partie des grands groupes ayant droit à une aide gouvernementale. • Ces solutions peuvent avoir des conséquences :  Une con ... 4°) Montrez en vous appuyant sur les analyses de Crozier et Friedberg, que l'action des parties prenantes et déterminante dans le changement de décision. Le fonctionnement de toute entreprise est source de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes, les salariés, qui ont des objectifs

La chance de faire triompher, au sein d’une relation sociale, sa propre volonté, même contre la résistance d’autrui (la domination) Pouvoir de l’acteur D’après M. Crozier et E. Friedberg, 1977 : L’acteur et le système, éd. Le Seuil Le pouvoir est une relation et non pas un attribut des acteurs (la position hiérarchique n’est pas ici facteur de pouvoir et de domination). Agir sur autrui c’est entrer en relation avec lui. On retiendra

évolutions en cours. « Ils sont force de proposition et participent aux décisions stratégiques ; ils sont au cœur de l’information et de la communication »[22]. Cette posture peut aussi être rapprochée de celle du « marginal sécant » (Crozier et Friedberg [23]) qui agit sur plusieurs systèmes et peut donc jouer un rôle d’intermédiaire et de diffuseur d’informations. En l’occurrence, ces capacités organisationnelles et managériales doivent aussi permettre d’offrir des éléments de réponse au risque