Glocalisation

l’apparition de nouvelles formes de famille (monoparentale, recomposée, tribus…) * Niveau culturel : le développement des flux migratoires et l’arrivée de nouveaux consommateurs * Niveau international : la globalisation de certains besoins, la « glocalisation » (penser globale et agir locale) * Niveau de la production : la Chine est devenue l’atelier du monde * Niveau des styles de vie : l’apparition de socio-styles basés sur des composantes nouvelles * Niveau technologique : le progrès

marketing   décentralisé,   avec   des   directions   régionales  sinon  puissantes,  au  moins  créatives  et  originales  sont  peut-­‐ être   une   solution   apportée   aux   défi   de   la   «  glocalisation  »   et   à   l’adaptation   de   la   mondialisation   à   une   tendance   croissante   dans   toutes   les  populations  à  s’en  protéger  et  à  s’en  méfier.     Plutôt   que   d’accréditer

l’apparition de nouvelles formes de famille (monoparentale, recomposée, tribus…) Niveau culturel : le développement des flux migratoires et l’arrivée de nouveaux consommateurs Niveau international : la globalisation de certains besoins, la « glocalisation » (penser globale et agir locale) Niveau de la production : la Chine est devenue l’atelier du monde Niveau des styles de vie : l’apparition de socio-styles basés sur des composantes nouvelles Niveau technologique : le progrès permet

stratégies multiformat à gestion particulièrement fine. • Quel mix globalisation / adaptation ? Penser globalement, agir localement constitue sans aucun doute l’un des basiques de l’internationalisation, un nouveau terme est né de l’Anglo-Saxon : la glocalisation synthèse du global et du local. Cette nécessité est devenue l’une des pierres angulaires de la compétition internationale des enseignes et des marques. Sans globalisation, peu ou pas d’économies d’échelle et le risque de perdre tout avantage compétitif

standardisation adaptée ou marketing glocal Cette stratégie tient compte de la globalisation et aussi des contraintes du marché local ou domestique. On parle donc de Globalisation et Localisation. La combinaison de ces deux termes donnera la "GLOCALISATION" comme aime si bien le souligner le communicateur Hugues Walter ALLECHI.C'est standardiser les actions marketing. Elle combine les avantages d'une politique de standardisation et d'une politique d'adaptation. Elle permet ainsi de répondre aux exigences

technologiques ou leur quasi disparition dans certains cas ; d’où la naissance de deux concepts : la Globalisation et la Glocalisation. La globalisation se manifeste, notamment par les entreprises transnationales qui transcendent les frontières par les demandes qu’elles créent dans les préférences des consommateurs grâce à leur programme publicitaire global. La glocalisation se manifeste par les communautés locales, à savoir, groupes de proximité, syndicats, universités, fondations caritatives

dollar.  Le dollar comme monnaie d’échange va donc être adopté et entendu comme accords de Bretton Woods. Pour le professeur Lewit, on l’économie des entreprises qui permet aux entreprises d’être compétitives au-delà de la filiale mère c’est la glocalisation. On voit bien qu’à l’aune de la mondialisation, au moment où on parle de plus en plus de village planétaire, les pays africains ne peuvent plus se permettre d’être en marge de celle-ci. Pour Lewit, l’économie des entreprises est ancrée dans une

centralisant la recherche-développement, en spécialisant des filiales de manières à ce que celles-ci alimentent plusieurs unités de production du groupe et sur un marché plus vaste que celui sur lequel elles sont implantées. Cette stratégie de glocalisation permet aux FMN d’accroître leur efficience au sein de l’économie mondiale. Le nombre des firmes multinationales Dans son Rapport annuel sur l’investissement dans le monde, la Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement

d'activité, dotés d'une grande autonomie de gestion. Une stratégie qui a d'ailleurs fait l'objet au début des années 90 d'une tentative de conceptualisation par le cofondateur de l'entreprise, Akio Morita, à travers la promotion du néologisme glocalisation, c'est-à-dire penser globalement et agir localement. Une stratégie territoriale Avec 18 000 salariés et 16 établissements (dont trois usines en France et 3 700 salariés), la firme quadrille l'espace européen. 80 % de la production de ces

Tout cela ne reste possible que si l’on prend en compte le contexte, interne comme externe de chaque entreprise et des personnes qui la composent. « Il s’agit de penser globalement pour agir localement ». C’est ce que l’on appelle la « Glocalisation » VI - DISCUSSION ET CRITIQUES L’appréciation du personnel est à mes yeux plus qu’un outil, un moment très important dans la vie professionnelle d’un salarié. C’est entre autres pour cette