Justice Restaurative

l'Homme et des Peuples du 27 juin 1981 ; réaffirme son attachement à la réalisation de l'Unité Africaine, à la promotion de la paix, de la coopération régionale et internationale, au règlement pacifique des différends entre Etats dans le respect de la justice, de l'égalité, de la liberté et de la souveraineté des peuples. TITRE PREMIER : DES DROITS ET DEVOIRS DE LA PERSONNE HUMAINE Article 1er : la personne humaine est sacrée et inviolable. Tout individu a droit à la vie, à la liberté, à la sécurité et

classique : c’est la période axiale. La Grèce archaïque : Société étatique, militaire, mais très traditionnelle où la religion a une certaine importance. Le droit de la Grèce antique est fondé sur la religion, les lois proviennent des dieux et la justice même est une divinité. Les lois sont donc immuables. Les prêtres sont les dignitaires des lois et gardiens de la religion. On n’analyse pas objectivement les procès. On favorise les épreuves magico-religieuse. La poésie joue un peu le même

intellectuel auquel appartiennent Diderot, Voltaire, Marivaux et Montesquieu (entre autres) . En réaction à l’obscurantisme imposé par l’Eglise Catholique. Développement de l’esprit critique au service de la vérité (Clergé, Société, pouvoir en place, justice …) Développement de la pensée réaliste (relativisme, doctrine qui affirme qu’il n’y a pas de vérité absolue, pas de culture meilleure qu’une autre et qui considère que toue les opinions se valent) Mouvement qui va encourager les idéaux de la révolution

ayant pour fin l'action : les vertus et les vices sont les « habitus » essentiels auxquels St Thomas s'intéresse. Parmi les vertus, il distingue les vertus théologales – la foi, l'espérance, la charité – et les vertus cardinales – la prudence, la justice, la force d'âme, la tempérance. St Thomas incite donc l'Homme, par sa raison, à œuvrer, via ses devoirs, à l'accomplissement de la morale, lui permettant ainsi d'accéder à terme au bonheur. - Bergson : Il parle d'abord de « l'obligation morale »

mesures peuvent se cumuler. L’administration qui a la prérogative d’exécuter la loi, en cas d’opposition à l’exécution à la loi, elle a le droit d’employer la contrainte. La contrainte matériel sera la plus souvent utiliser à l’appuie d’une décision de justice, par exemple le concours de la police dans le cas d’une expulsion d’un locataire ordonner par un tribunal. Mais dans certain cas l’administration exerce elle-même un acte matériel d’exécution, c’est à dire en vertu de sa propre décision, sans s’adresser

Comme le soulignait le Doyen L. Favoreu, la loi et le règlement ont vocation à assurer une fonction de régulation identique dans son principe: poser des normes générales de production du droit. Pour autant, ces actes émanant d’organes différents, puisque la loi est voté par le Parlement selon la procédure législative tandis que le règlement est pris unilatéralement par des autorités exécutives ou administratives. Sous cet angle, la cohérence de l’ordre juridique implique une différenciation des champs

étaient largement imprégnées de la philosophie grecque et romaine. Quand on parle de vertu on avait toujours en tête par exemple la classification de Cicéron qui distingue 4 vertus cardinales : - la modération - la sagesse - la fermeté - la justice Et, à ces 4 vertus cardinales s’ajoutaient 3 vertus princières : - l’honnêteté - la magnanimité - la libéralité Le Prince vertueux se conformait, avant Machiavel, à ces 3 vertus. Machiavel lui nous présente une réflexion sur la vertu qui est

I – Le lyrisme des persos ( sentiments, souffrance, agitation) Méditation tout haut de Figaroà parcours se présente comme une sorte d’autobiographie (« je ») A – Des sentiments révélés aux spectateurs : F. révèle sentiments + parcours particulier, varié et honnête : Sentiments : solitude au monde : « perdu dans la foule obscure » à soif d’une reconnaissance. Efforts se résument ds cette expression hyperbolique : « depuis 100 ans […] toutes les Espagne » Cpt, pas reconnus. (connaissances intellos)

vraiment libre que celle à laquelle nul n'a droit d'opposer de résistance ; dans la liberté commune, nul n'a droit de faire ce que la liberté d'un autre lui interdit, et la vraie liberté n'est jamais destructive d'elle-même. Ainsi, la liberté sans la justice est une véritable contradiction ; car comme qu'on s'y prenne, tout gène dans l'exécution d'une volonté désordonnée. Il n'y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu'un est au-dessus des lois : dans la nature même l'homme n'est libre qu'à la

principes). Car article 34 la loi fixe les règles, détermine les principes fondamentaux. Ce qui nous fait comprendre ce qu'on veut dire par principes =/= règles. -D'une part, un principe est soit un standards de conduite qui concrétise une exigence de justice ou de morale, ou un standard de conduite qui est posé, énoncé dans un but politique, économique et social. Le principe de l'égalité des sexes fait partie de la première catégorie, principe du pleine emploi est en fait une politique qui fait partie