Lawrence Et Lorsch

de production est rendue possible du fait de l’interopérabilité entre les applications ayant un langage commun comme les P.G.I (Prologiciel de Gestion Intégré) du groupe SAP. Ainsi, la différenciation/intégration de la structure au sens de LAWRENCE et LORSCH (1967) accroît l’agilité stratégique de l’entreprise. Par ailleurs, le SI contribue à améliorer la coopération inter-entreprise. Le langage commun entre les partenaires grâce aux EDI (échanges de données informatisées) participe à étendre

façon isolée. Il est en effet impossible de dissocier la fonction RH de son contexte : les DRH sont perpétuellement sous influence externe, que ce soit les mutations technologiques ou la réglementation sociale. C’est à partir de ce constat que Lawrence et Lorsch ont énoncé la théorie de la contingence. Cette théorie se base sur l’idée que l’on ne peut analyser l’évolution de la GRH que si l’on prend en compte tous les facteurs de contingence. Le modèle ci-dessous permet d’identifier la relation entre

conflits sont réglés par le DG. On peut donc dire que la société BIO se dirige de plus en plus vers une structure mécaniste donc centralise le pouvoir et la formalisation de l’organisation en général. 1.3-EVOLUTION SOCIALE ET CONFLITS : Lawrence et Lorsch formalisent les notions de différenciation et d’intégration. Si besoin est les parties de la structure d’une organisation doivent s’adapter à leur environnement et donc se différencier les unes des autres. Au début de l’activité, les relations

mais simplement opter pour un niveau minimum de satisfaction sans forcément aller plus loin dans sa démarche. 2. Les théories de la contingence structurelle Cette école réunit des auteurs tels que Woodward (1958), Burns et Stalker (1961), Lawrence et Lorsch (1967) ou Mintzberg (1974) qui s'intéressent aux variables internes et externes ayant un impact majeur sur la structuration des orga­nisations. Selon cette école, l'environnement ou certaines variables de contin­gence (taille de l'organisation

permanence. La direction s’efface devant la réalisation de projet. Les décisions sont décentralisées. Les E ayant une telle structure sont très réactives et savent s’adapter à un environnement complexe. 2- Intégration et différenciation Lawrence et Lorsch ont prolongé cette analyse en montrant que dans un environnement stable, les E optent pour l’intégration de leur structure, cad qu’elles centralisent les décisions sur le sommet stratégique. Inversement, quand l’incertitude augmente, les E

divis° des taches et des roles - divis° de l’autorité - systM de comm° - des critR pr évaluer et ctrler les résultats 1. / les modes de coord° ; L’équilibre orgL selon Lawrence et Lorsch : ont montré que org° ont tendance à se différencier et spécialiser en fct° de la diversité de l’envirtt Ms risq de dvpt ds l’entr d’obj divergents, d’ou « dispositifs de coord° » pr éviT éclatement orgL Différenciation

managériaux de l’autre (Gibson et Birkinshaw, 2004). 2. Structure organisationnelle et ambidextrie au niveau de l’innovation Les liens entre innovation et organisation sont anciens, la création des bureaux des méthodes et d’études remontant à Taylor. Lawrence et Lorsch (1967), dans la lignée de leurs travaux sur le couple différenciation/intégration, mettent en avant le rôle des équipes en charge de la coordination, notamment entre les départements impliqués dans l’innovation produit (R&D, marketing et production)

environnement, ou lorsque son environnement change Il existe donc une dynamique des structures organisationnelles liées aux évolutions et aux mutations de l’environnement socio-économique Dans la continuité des travaux de Burns et Stalker; P. Lawrence et J. Lorsch ont créé les fondements de la théorie de la contingence structurelle (cf. Texte 2, Séance 4) Objectif: démontrer que le degré d’instabilité de l’environnement scientifique, technologique, économique et commercial joue un rôle fondamental

simplement opter pour un niveau minimum de satisfaction sans forcément aller plus loin dans sa démarche. 2. Les théories de la contingence structurelle Cette école réunit des auteurs tels que Woodward (1958), Burns et Stalker (1961), Lawrence et Lorsch (1967) ou Mintzberg (1974) qui s'intéressent aux variables internes et externes ayant un impact majeur sur la structuration des organisations. Selon cette école, l'environnement ou certaines variables de contingence (taille de l'organisation

gestion. Cependant, cette vision est de plus en plus contestée (Schneider et alii, 2003). En effet, se basant sur l’échec des tentatives de convergence, du Tiers monde notamment,les précurseurs de l’approche contingente,parmi lesquels figurent Lawrence et Lorsch (1969),affirment que vouloir exporter des pratiques dites universelles sans tenir comptes des spécificités culturelles est source d’échec (Hofstede, 1987). Les limites de l’approche « universaliste » ont également été soulignées dans diverses