Le Conflit Motivationnel

compte la performance de l’entreprise. « La gentillesse est une condition nécessaire à la motivation et à l’engagement. Nécessaire mais pas suffisante. Elle doit s’accompagner de respect et d’un leadership charismatique. A contrario, le mépris et les conflits abaissent dramatiquement l’engagement et la productivité des équipes. De ceci nous concluons qu’un manager devrait être initié dès lors à la motivation, mais n’est il pas propice de savoir ou est ce qu’il faut s’arrêter et quelle est la limite à

ce qui est accessible directement ICS= ce qui n’est pas accessible PRCS= ce qui est accessible moyennant effort de remémoration 1° topique (1900) Personnalité maintenue dans l’inconscient par la libido. Libido = énergie psychique, force motivationnelle derrière processus conscients et inconscients. Quel que soit son mode d’expression (symbolique ou non), la libido traduit un besoin de satisfaction sexuelle (pulsions). Ce besoin est différé sous l’effet des figures d’autorité (principe de

au tennis, du service de Volley-ball, du smash au Badminton et d’autres habiletés sportives. De part son expérience limitée un enfant de 5 ans ne possèdent pas de représentations en mémoire ou d’associations sur-apprises qui peuvent entrer en conflit avec ses intentions présentes. Ce qui constitue une différence non négligeable avec l’adulte, pour qui les blocages émotionnels, la peur de se blesser et d’être mal vu sont courants. Malgré tout, un adulte est favorisé dans l’exécution de beaucoup

biologiques, primitives * Le ça : infantile, illogique, déconnecté de la réalité, guidé par le principe du plaisir * Le surmoi : intégration des normes et des règles de la société * Le moi : gouverné par le principe de réalité Les conflits entre le ça, le moi et le surmoi s’opèrent à un niveau inconscient * La théorie freudienne soutient que les besoins de l’être humain sont largement inconscients. * L’individu réprime de nombreux désirs lors de son développement et son acception

établit et façonne les décisions mais il permet également d’assimiler de nouvelles orientations. Le processus motivationnel : chez Lewin ressemble au processus décrit antérieurement par Skinner, il se compose notamment de l’état motivant (l’objectif), l’impulsion à agir, le comportement (l’action) et la rétroaction (satisfaction ou insatisfaction). Selon Lewin, le processus motivationnel se déclenche lorsque l’individu identifie un objectif important, qui déclenche chez lui une impulsion à adopter

garantie, stratégies motivationnelles destinées à protéger le sentiment de compétence en privilégiant les attributions causales externes ou internes et instables, etc.). Elle conduit souvent, selon le modèle construit par le biologiste H.Laborit, à la fuite ou l’agression (Eloge de la fuite, Lafont, Paris, 1976). L’enseignant cherchera d’abord à construire des tâches dont la difficulté relative est modérée, mais surtout, il veillera à créer les conditions d’un « climat motivationnel » (Ames et Ames

affirme que chaque individu à des caractéristiques stables de personnalité : les traits de personnalité. 2. Approches psychanalytique et néo-analytique Elles ont été promues par des auteurs connus, Freud et Jung et Erikson. Chacun est mû par des conflits affectifs qui ont leur origine dans l’enfance. Elle cherche à comprendre l’inconscient à travers les rêves. Cure analytique : la libre association (dans sa démarche, Freud, livre : psychopathologie de la vie quotidienne on y trouve des productions

autres sur la motivation scolaire, afin d’en dégager quelques lignes de force communes. On se penchera ensuite plus spécifiquement sur la « valeur » attribuée à la formation et à l’apprentissage comme une des composantes essentielles du processus motivationnel. On examinera comment a été traitée jusqu’ici la question du lien entre cette composante et la trajectoire de vie du sujet. Parmi les différentes approches de cette question précise, on s’attardera plus spécifiquement sur celles qui étudient la

groupe de la population. Léon Festinger SYNTHESE La théorie de la dissonance cognitive s’est vue, initialement, associée aux théories dites de « consistance ». Désormais, ce n’est plus du tout le cas, car elle se démarque par un caractère motivationnel. La théorie de la dissonance cognitive est contre intuitive. En effet, car elle démontre que nos opinions et convictions sont réajustées selon nos comportements, afin de mieux les justifier. Festinger définie une unité de base de la dissonance

abordé la motivation au travail en évoquant dans une perspective universaliste des problématiques simples liées par exemple aux gains économiques, aux récompenses, à un éventail de besoins fondamentaux. Aujourd’hui, on estime que le processus motivationnel regroupe à la fois des caractéristiques individuels des acteurs sociaux (leurs exigences personnelles, leur niveau d’aspiration, leur image d’eux-mêmes etc.) et aussi des spécificités du système ambiant (à travers le contexte organisationnel,