Modalisation Du Discours

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la

Par rapport à Balzac ou Stendhal, Flaubert rend plus rare l'utilisation du discours direct ( dialogue ). Flaubert dit lui-même que ces dialogues se réduisent à des « monologues », car il s'agit de « bavardages » que personne n'écoute. Chacun est renvoyé à sa solitude car il n'y a pas d'échange. De ce fait, Flaubert privilégie le discours indirect libre pour traduire la pensée et la psychologie de ses personnages. Le discours indirect libre se reconnaît surtout par le contexte. Pas de verbe introducteur

radicalement à son maître avant même que le rapport de force ne soit inversé. Il est d’emblée lié à un accessoire : « la bouteille de vin qu’il a à la ceinture » : elle est présente dès la première didascalie, il est question de boire dans le discours de Arlequin et il boit effectivement comme l’indique une didascalie. Outre qu’elle suggère la condition sociale du personnage , elle est aussi symboliquement l’accessoire qui montre que pour Arlequin, la vie continue Il n’envisage d’ailleurs le

probablement référence aux Lorenzy comme le suggère l’évocation de la « vigilance » quelques lignes plus haut, permet à Rousseau de ne pas mettre l’accent sur ces accusateurs mais davantage sur les actes. Cette accusation se laisse entendre à travers le discours narrativisé présent dans la proposition « où je l’avais pris ». On imagine facilement l’interrogatoire qu’a pu subir le jeune homme lorsqu’on a découvert le ruban en sa possession. La brièveté de cette nouvelle phrase contraste avec les phrases précédentes

détails ». Elle retranscrit des dialogues qui accentuent la dimension réaliste du récit. L 9-10 « je suis perdu d’honneur, voici un affront que je ne supporterai pas » ou « la tête me tourne, il y a douze nuits que je n’ai pas dormi ». L’emploi du discours direct apparaît comme le rapport exact des paroles des uns et des autres. Il permet par exemple d’expliquer la mort de Vatel par sa fatigue… Par ailleurs, on peut noter qu’elle donne essentiellement la parole au principal protagoniste : Vatel. Cela

dépendance une proposition subordonnée conjonctive complétive (introduite par « que ») ou une proposition subordonnée interrogative indirecte (introduite par un adverbe interrogatif comme « si », « où », « quand », « comment » …) L’utilisation du discours indirect a pour effet de conserver l’unité de ton, de condenser, de résumer, de gommer les marques d’oralité. Dans un roman, le recours au style indirect permet d’accélérer le récit c) Le style indirect libre Il se caractérise par l’utilisation

...................................... p. 319 4 2210441163_001-026_Debut_LDP_Fr1.indd 4 08/07/11 11:27 Sommaire CHAPITRE 3 – L’ÉNONCIATION ET LE DISCOURS Fiche 4 – Les actes de langage, l’implicite et la modalisation.......................................................................... p. 320 Fiche 5 – Les discours rapportés ............................................................................................................................. p. 321 CHAPITRE 4 – LES

vivacité, l’effet du réel avec les paroles prononcées directement. L3-4, le roman réaliste a pour fonction d’expliquer les rouages de la société, expliquer son fonctionnement reposant sur l’argent. Paragraphe l6-11 : la fonction repose non plus sur le discours direct mais sur la description du personnage principal. Il est décrit physiquement et moralement, il est géné, timide, mal à l’aide du fait de l’habit qu’il porte. On est dans la description réaliste, s ‘appuyant sur la réalité : chemise 4F (indication

le spectateur de la mort de Silvère et du triomphe : ce double épilogue est mis en scène par le romancier. 1. Dénouement de la tragédie La mort de Silvère constitue le dernier acte de la tragédie des Insurgés. A) La modalisation de la mise en scène Comme au théâtre, la mort de Silvère s’effectue sous un regard extérieur à la scène. Justin, est le seul public de la représentation. « la tête blafarde de Justin, riait ». C’est un regard extérieur qui n’est pas indifférent

comportement du lecteur de roman le plus passionné - ou de la lectrice : pensez cette fois au modèle de Mme Bovary - paraît bien timoré. Ici, ce que le soldat de Baltimore introduit, c'est l'idée de convention littéraire. La littérature, comme tout discours suppose, des conventions, et la première de ces conventions, c'est qu'il s'agit de littérature. Le soldat de Baltimore n'était jamais entré dans un théâtre, il n'avait jamais vu une pièce de théâtre, il ne savait pas à quoi s'attendre. La littérature