Rationalité Et Taylorisme

et Fayol; ceux qui ont dominé et marqué l’enseignement de la gestion et du management. Ils ont également déterminé les pratiques managériales. Nous nous pouvons ignorer l’apport de M. Weber, moins enseigné, dans la compréhension des rationalités et non pas la rationalité de l’organisation. La lecture de Weber nous aide à redécouvrir l’importance d’une perspective institutionnelle des organisations. Frederick Winslow Taylor (1856-1915) : l’organisation scientifique du travail : OST Accepté à Harvard

rationalisation, de l’organisation du travail, sa conception de l’homme au travail et celle de l’Homo-Economicus motivé par les seuls gains monétaires. Par conséquent, la rémunération doit être à la pièce, à fin de le motiver à produire toujours davantage. Le Taylorisme se prolongera aux Etats-Unis avec le Fordisme et le travail à la chaîne. Mais cette OST conduit à de nombreux dysfonctionnements : © www.e-tahero.net  Mauvaise qualité du travail ;  Retards et absentéisme ;  Grèves. Une grande part de ces

travail : parcellisation et spécialisation. (Pus on est capable de répéter une tâche plus la dextérité augmente.) La visée de cette séparation du travail est de favoriser une plus grande productivité. Henry Ford (1863-1947) vision pragmatique du taylorisme. Il ajoute 2 éléments à la conception de Taylor, d’abord la production de masse et l’accès du plus grand nombre de la consommation. 1.4 Travail et société industrielle La société industrielle qualifie l’individu en fonction de son rapport à la

Sommaire Introduction générale................................................................................................ 13 Partie 1 : Vers une approche de la firme comme système de cognition.................. 33 Chapitre I : Firme, système et rationalité ..................................................................... 36 Section 1 : De l’entreprise à la firme....................................................................................... 38 1.1. Les trois valeurs du terme entreprise

et Fayol; ceux qui ont dominé et marqué l’enseignement de la gestion et du management. Ils ont également déterminé les pratiques managériales. Nous nous pouvons ignorer l’apport de M. Weber, moins enseigné, dans la compréhension des rationalités et non pas la rationalité de l’organisation. La lecture de Weber nous aide à redécouvrir l’importance d’une perspective institutionnelle des organisations. Frederick Winslow Taylor (1856-1915) : l’organisation scientifique du travail : OST Accepté à Harvard

lui elles vont être supplantées par une 3ème forme d’autorité qui est l’autorité rationnelle légale qui repose sur des lois écrites. Elle est liée à la bureaucratie (forme particulière d’organisation qui repose sur des principes de droits et de rationalités). A cette époque c’est un modèle légitime, car on impose cela sur la base des traditions car on pense cela efficace. Les caractéristiques de la bureaucratie son : Une subordination à une autorité impersonnelle et centralisée : il y a des règles

pensée et d’action qui expliquent l’existence de certains types d’organisation ? M. Weber proposera un type de 4 Réal Romuald MBIDA Master Administration des Entreprises IAE de Poitiers Université Senghor d’Alexandrie rationalité, la rationalité instrumentale, à travers des objectifs de résultats, pour caractériser les organisations que sont les entreprises. Autre question à laquelle la sociologie des organisations tentera de répondre : comment les individus et les groupes d’individus

D'autre part, surtout si on le compare à la religion catholique, le protestantisme encourage un certain libre arbitre. C'est une religion qui s'éloigne de la pensée magique, de l'idolâtrie. Le protestantisme favorise ainsi une forme particulière de rationalité, instrumentale, qui caractérise les comportements utilisant les moyens et les ressources disponibles.. Toute tournée vers son objectif, l'action humaine s'éloigne des impératifs ou des exigences que la morale ou la religion imposent dans certaines

Sainsaulieu et Luc Wilkin pour avoir accepté de faire partie du jury. Introduction générale Depuis le début des années 80, le management est incontestablement entré dans une phase intense de remise en cause et de recherche d'une nouvelle rationalité, d'un nouveau modèle d'action collective. Signe des temps, dès le début de la décennie, le discours managérial se fait particulièrement critique à l'égard de principes et de pratiques qui constituaient pourtant le socle du management moderne. Plus

s’agit de les apprivoiser, les dominer, voire les occulter. Le modèle taylorien de l’homme au travail est sans doute le plus marqué par cette opposition entre la partie instrumentalisée et calibrée du corps et le reste de la personnalité vivante. Le taylorisme est bien « une vision utilitaire et instrumentale du travail humain qui nie la subjectivité ouvrière » (Doray, 1981). Cependant, s’opère progressivement une réhabilitation des émotions, y compris dans le domaine de la gestion des organisations.