Standardisation Zara

accueillir des choses de nature très différente est une valeur en soi, qui s’applique très naturellement à la consommation, faisant de la capacité de re-séduction via le renouvellement de l’offre un enjeu majeur. Exemple des magasins de vêtements à succès (Zara, H&M…) où la notion de saison a été remplacée par la notion de collection, dont le rythme est beaucoup plus intense (arrivages réguliers, effets d’annonce d’événements de courte durée, à saisir…). - Cet éclectisme est aussi source de nouvelles exigences

qui ouvrent des points de vente qui leur appartiennent en propre. On peut citer à nouveau Yves Rocher pour une partie de son parc de magasins ou un des ses concurrents comme Body Shop, mais également des marques de textile-habillement comme André, Zara ou Celio. 3.2.2. Les circuits courts Ce sont des circuits qui n’ont qu’un intermédiaire entre le producteur et le client, à savoir : le distributeur. Ils peuvent prendre des formes multiples, telle que : * La vente à distance comme

ajoutée aux contenus sont bien sûr celles que les experts du domaine choisissent. C’est pourquoi on ne peut pas approcher les métadonnées de façon normative à la manière des bibliothécaires, mais bien à partir du terrain dans un mouvement de standardisation de bas en haut. La plupart des systè1. Par exemple, del.icio.us (http://del.icio.us). 2. On appelle « tag » un mot clé de classement défini par l’utilisateur lui-même et non choisi dans une liste prédéfinie. Lorsqu’on collecte les tags utilisés

L’initialisation de la Qualité Totale par la Conformité ISO 1987 – Les premiers outils d’Aide à la Décision 1990 – Reengineering complet de l’entreprise à travers ses processus transversaux 2000 – Globalisation, Mondialisation, Harmonisation, Standardisation et l’ERP ‘’Core System’’ 2005 – ‘’e-tout’’ : toute l’Information, tout de suite, partout ! Vision globale– Gilles Béal – Reproduction et diffusion interdite 39 13 2011 : Bilan et leçons apprises  Une acquis essentiel : l’Organisation

se renforce t-il dans certaines entreprises ou certains secteurs ? Le modèle taylorien fondé sur la logique de poste est un mode d’organisation et de gestion basé sur une configuration bureaucratique, caractérisée par un fort degré de standardisation, de spécialisation et de supervision des tâches. En d’autre terme, l’organisation taylorienne repose sur une division stricte entre les opérations de conception et les opérations d’exécution, le bureau des méthodes définit des modes opératoires

garantissant la qualité des produits. Plutôt que de chercher à éliminer le défaut par un contrôle, il faut rechercher un dispositif qui évite de produire le défaut. C’est le but des points « zéro défaut » appelés également « poka yoke ». La standardisation aide aussi à la réduction du nombre d’erreurs. Par exemple, l’utilisation systématique du rouge pour les rebuts, l’utilisation des points jaunes pour les points qui méritent une maintenance préventive. 270 GESTION DES OPÉRATIONS Un autre

» garantissant la qualité des produits. Plutôt que de chercher à éliminer le défaut par un contrôle, il faut rechercher un dispositif qui évite de produire le défaut. C’est le but des points « zéro défaut » appelés également « poka yoke ». La standardisation aide aussi à la réduction du nombre d’erreurs. Par exemple, l’utilisation systématique du rouge pour les rebuts, l’utilisation des points jaunes pour les points qui méritent une maintenance préventive. 270 GESTION DES OPÉRATIONS Un autre

limiter alors le pouvoir de négociation de leurs clients. enfin, la menace d’intégration amont : les clients peuvent avoir la possibilité d’acquérir leurs fournisseurs ce qui accroît leur pouvoir de négociation. (Exemple : secteur du vêtement, la chaîne Zara client d’une entreprise de conception de pull fait peser la menace de son éventuel rachat, l’entreprise de pull sera en position de faiblesse par rapport à son client surtout si c’est son unique client.) On passe maintenant à la dernière force concurrentielle

se dissoudre. La loi Royer de 1973 est renforc€e par la loi Raffarin de 1996 qui fixe Œ 300 m2 l'autorisation CDEC (3) . Les racines externes de la crise se situent plus au niveau de l'entr€e dans l'€conomie post-fordienne. En effet, la standardisation fait place au ‡ one to one ˆ, Œ l'individualit€ de chaque consommateur. (2) Chiffres en franc constant. (3 ) Commission D€partementale d'Equipement Commercial. -5- La diff€renciation n€cessaire des enseignes de la grande distribution fran•aise

des canaux de distribution retenus (grandes surfaces, vente à distance, distribution automatique…), des marchés visés (nombre de consommateurs, densité, fréquence d’achat, versatilité de la demande…), et des produits distribués (poids, degré de standardisation, degré de technicité…). I.3.2 Les intermédiaires Il existe quatre types  d'intermédiaires : les grossistes, les détaillants, les agents et les sociétés commerciales de service. Les grossistes sont des commerçants qui achètent à la production