Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part

par

Le fait du jour

Le narrateur, Jean-Pierre Faret, est employé chez Paul Pridault depuis septembre 1995 en tant qu’agent commercial. Il avait été longtemps au chômage auparavant mais avait pu finir les travaux de la maison, comme sa femme Florence le lui avait demandé. Il s’occupait de ses enfants jusqu’à ce qu’ils entrent en maternelle. En 1995 il devient représentant dans une entreprise de charcuterie : il fait beaucoup de route pour présenter les produits et les vendre.

Le lundi 29 septembre 1997, le narrateur doit se rendre à un rendez-vous à dix heures dans la zone industrielle de Bourg Achard ; il est en retard et manque de rater la sortie sur l’autoroute. Il éteint sa radio, puis son téléphone et se rend à son rendez-vous. Sa femme appelle vers 13 heures, effrayée : il y a eu un gros accident sur la route qu’il a prise. Il y a 9 morts et 60 blessés. Elle a eu peur que son mari ne soit mort lui aussi. Rentré chez lui il écoute les informations qui présente la situation terrible des blessés et des familles. Un routier est interviewé et explique que l’accident est arrivé à cause d’un homme qui a reculé sur

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