Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part

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Quand le quotidien sort de l’ordinaire

Le quotidien chez Anna Gavalda est tantôt peint sous les traits banals et familiers de la routine, tantôt il apparaît sous le signe de la gravité ou à la lumière d’évènements uniques.

Dans The Opel touch, l’auteure fait le récit du quotidien d’une jeune étudiante employée dans un magasin de vêtements. Marianne est peinte dans les situations les plus ordinaires, que ce soit au travail ou dans un café se disputant avec une copine. Comme elle est la narratrice, ses impressions, non seulement sur sa vie, mais également sur le milieu où elle évolue et sur les gens qu’elle croise, nous sont livrées au fur et à mesure. C’est donc une analyse subjective du quotidien que constituent ces petits commentaires légers et piquants, que ce soit lorsque Marianne présente au lecteur ses problèmes ou un personnage antipathique : « Le problème, c’est mes collègues. Vous me direz, mais ma fille, le problème c’est toujours les collègues. OK mais vous, vous connaissez Marilyne Marchandize ? (Sans blague, c’est la gérante de Pramod Melun-centre-ville et elle s’appelle Marchandize… Ô destinée.) »Le trucheme

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