Assortiment Sephora

l'emballage: (le packaging) sont de plus en plus considérés comme de véritable outils de communication -les services annexes rendus au consommateur , tels que la livraison, l'installation, la mise en service, échange -l'allotissement(lot>assortiment(mélanger)), ce choix nécessite une parfaite connaissance de marché ainsi que des talents de négociateur -la mise en valeur des bien proposées par une gestion des points de contact avec les clients, la gestion des transferts de propriété (gestion

JARDINAGE ET AMENAGEMENT DE LA MAISON OPPORTUNITES MENACES - bricolage+jardinage= 28,6 milliards d’euros - Concurrence de plus en plus développée et en 2008 - 1er secteur d’équipement des ménages acharnée - Auchan est un généraliste, les assortiments - Croissance régulière de ces marchés depuis sont donc moins larges et moins profonds le début des années 2000 jusqu’en 2007 de que chez les spécialistes (Leroy merlin, l’ordre de 3 à 4 % annuelle -Modification des habitudes et Castorama…) des

y a 7 types de commerces : Alimentation (Paul, Brioche Dorée) Epicerie (Petit Casino) Chocolatier (Jeff de Bruges) Restauration (Brasserie Flo, Starbuck Café) Loisirs, Voyages (Fnac, Glup’s) Mode (Mango, Desigual, Celio) Hygiène, Santé, Beauté (Séphora, Yves Rocher, Pharmacie, Body Shop) Librairie, Presse (Relay) Services (La Poste) Banque (Bureau de change : travelex) Fleuriste (Happy fleurs) Les prix sont fixés librement par les professionnels, en dehors de certains secteurs particuliers. La

évident que les consommateurs préfèrent se rendre dans des points de vente aux odeurs agréables ; certains passants peuvent même être attirés par des odeurs avant de franchir le seuil d’une boutique. Certaines enseignes jouent sur cet aspect, comme Séphora ou Nature et Découvertes… Dans les villages du Club Med situés dans les îles lointaines, les cartes postales sont parfois parfumées au Monoï et fleurs exotiques pour inspirer l’envie et le dépaysement à ceux qui les reçoivent. Le marketing olfactif

désenchantement, à l'égard de la "surconsommation" et que l'hypermarché ne fait plus rêver. Les consommateurs convoitent aujourd’hui les magasins "à thème" pour la décoration, la nature ou la culture et les hards discount de taille raisonnable avec un assortiment réduit de produits courants pour l'approvisionnement de tous les jours. 7 Nous allons tenter à travers ce mémoire d’étudier conjointement les nouvelles attentes des consommateurs et les outils des distributeurs y répondant. L’objectif étant

1970), l’adaptation ne peut plus seulement se réaliser à travers une offre produit-magasin cohérente et adaptée. Bien que le point de vente soit un des premiers médias de l’enseigne (Andrieu et Dupuis, 1998), les éléments du mix (localisation, assortiment et merchandising, politique de prix et communication) ne suffisent pas à eux seuls à assurer l’originalité du concept et la différenciation de l’enseigne. Pour assurer leur pérennité, les distributeurs doivent proposer un concept global en terme

ENVIRONNEMENT ET CANAUX L’évolution de la consommation alimentaire La réduction progressive des coefficients budgétaires alimentaires se poursuit (de 26 % en 1970 à 16,7 % des dépenses des ménages en 2000) et explique en partie l’élargissement des assortiments non-alimentaires dans les supermarchés et surtout les hypermarchés. Cependant, pour ces types de magasins, la faible sensibilité des dépenses alimentaires aux aléas conjoncturels constitue un atout considérable. D’autre part, les consommations

CANAUX 1.2 L’évolution de la consommation alimentaire La réduction progressive des coefficients budgétaires alimentaires se poursuit (de 26 % en 1970 à 16,7 % des dépenses des ménages en 2000) et explique en partie l’élargissement des assortiments non-alimentaires dans les supermarchés et surtout les hypermarchés. Cependant, pour ces types de magasins, la faible sensibilité des dépenses alimentaires aux aléas conjoncturels constitue un atout considérable. D’autre part, les consommations

| Fichier clients: • titage et affection du catalogue général • cadrage d'activité: demande, démarque, Icx • documents produits (ciblage et assortiment) • Plan d'animation : potentiels, types d'offres (réduction, cadeaux, nombre de contacts..) • gestion de la relation client Chaque client est particulier, d'où l'interet d'adapter l'offre à chaque nature de besoin. Segmentation

produits cosmétiques que nous pourrions dire de grande consommation avec une politique de prix de pénétration, sont vendus dans la grande distribution (L’Oréal Paris, Gemey-Maybelline, Garnier…) et dans les magasins spécialisés pour le maquillage (Séphora, Marionnaud etc.) Pour certaines marques de luxe comme Cacharel, Giorgio Armani, Ralph Lauren, Guy Laroche, Paloma Picasso, Viktor & Rolf et Diesel, L’Oréal ne possède que les licences. Autrement dit, ces marques de luxe accordent à L’Oréal