Hume Contre Descartes

démontré. La déduction et l’expérience sont deux moyens d’atteindre la vérité. Locke et Descartes ont tous deux posé les bases de la méthode scientifique. Locke insiste sur la nécessité d’avoir recours à l’expérience pour établir des connaissances. Pour celui-ci, la connaissance et le principe n’atteignent pas instinctivement l’homme. Dans « Essai sur l’entendement humain », Locke dénonce l’innéisme de Descartes et exprime sa vision de l’esprit humain : pour lui cette esprit n’est rien sans expérience

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine BLes remises en cause de la souveraineté de la conscience C) L'homme, un être de désir IILa culture ACulture contre nature BLe travail et la technique CLa religion DL'art IIILa raison et le réel ALa raison et la rationalité dans le monde BL'accès à la connaissance et la vérité ? C) La remise en question de la vérité DL'étude du vivant, entre matière et esprit IVLa politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir

précisément, elle résulte d’un décalage, une « inadéquation » entre l’homme et la totalité du monde : la passion est un refus de l’ordre naturel des événements, des enchaînements inéluctables qui nous déterminent. Ainsi, par exemple, l’homme qui s’emporte contre une situation donnée ne le fait que par ignorance de la chaîne des causes et des effets qui ont nécessairement conduit à cette situation. Il subit le monde corporel. Cette conception des passions nous amène à poser la question suivante : pouvons-nous

phénomènes ou de la réflexion des vérités universelles, selon qu’on est empiriste ou rationaliste. Or tout raisonnement nécessite des prémisses, à l’image du syllogisme, c’est-à-dire une axiomatique et un système de pensée. Notons que le cogito de Descartes, énoncé alors qu’il ne considère plus rien comme vrai, n’est pas une déduction, malgré la proposition « donc » : « Je pense donc je suis » (Méditations Métaphysiques). Il est le fruit d’une intuition, mon existence s’offrant à moi à travers ma pensée

nous demanderons si le « moi » et le « soi » existe vraiment. On peut donc commencer par dire qu'il est impossible de ne plus être soi-même car cela semble paradoxale. Tout d'abord, on peut dire que cela est impossible d'après le Cogito de Descartes. Descartes va commencer par dire que l'on peut douter de tout sauf de soi-même. Pour en venir à cette conclusion il va utiliser le principe du doute qui consiste à rejeter comme faux toutes les choses où nous pouvons imaginer le moindre doute et les choses

La découverte métaphysique de la conscience : 1ère découverte de Descartes  le cogito ergo sum Le « daïmon » invoqué par Socrate était une sorte de voie intérieure, philosophique, qui était en réalité la voix de sa conscience. 1) Les étapes du doute cartésien : Le 1er doute doit porter sur les choses sensibles, CAD sur la réalité. Concernant les sens, ils peuvent être trompeur (ex : illusion d’optique) il faut donc douter de nos sens. « Pourquoi ne puis-je être fou » : rejet de cette

rasa". De plus, puisque la science newtonnienne tient sa source dans l'expérimentation et qu'elle refuse les hypothèses et les principes abstraits, Condillac et Hume, par exemple, prendront la science expérimentale comme modèle et ils l'utiliseront, entre autre, pour attaquer les doctrines rationalistes du siècles passé. Condillac et Hume Condillac Étienne Bonnot de Condillac, est né à Grenoble en 1715, d'une famille de parlementaires et il est décédé en 1780. Renonçant au sacerdose, il vivra

Descartes en arrive à la certitude du « Cogito ergo sum » en mettant en œuvre un doute dit hyperbolique. Ce doute consiste à considérer tout ce qui est douteux comme faux. Alors tout devient faux : on se rend alors compte que les sens sont trompeurs, que l’on ne peut pas s’appuyer sur les conclusions de nos raisonnements ou démonstrations (risque de commettre des paralogismes) et qu’on peut même douter de la réalité de notre pensée. .Quelle est l’autre hypothèse que fait Descartes pour jeter le

théories. Afin de démontrer une théorie il faut partir d’un point de départ solide ce que Descartes nomme dans ses Règles pour la direction de l’esprit « un objet assez pur et simple pour n’admettre absolument rien que l’expérience ait rendu incertain » il s’agit bien ici d’un postulat qui permet ensuite de procéder à une suite de « conséquences déduites par raisonnement ». C’est de cette façon que Descartes montre que pour arriver à un énoncé exact, la science exige un point de départ certain qui

en elle - même. Le gout ne vient une catégorie esthétique qu’au 18e siècle – opère une véritable évolution d’abord dans la méthode caractéristique de l’humanisme moderne tel qu’il est représenté avant le 18e siècle par les philosophes tels que Descartes et Locke. S’intéresse moins a la nature des choses mais à la manière dont nous sommes affectés par les choses – caractéristique de l’humanisme moderne (Cassirer – la philosophie des lumières : les problèmes fondamentaux de l’esthétique.) : « le fil