La Logique De Performance De La Lolf

en dernier ( sinon linux problème avec XP ) - partition système -> primaire -> bootable - 3 systèmes d'exploitation -> 3 partitions primaires - partition swap pour linux = 2 x la mémoire RAM et non bootable ( logique ) Disque Dur 150 Giga : - partition 1 de 50 GO ( pour 2003 SERVER ) - partition 2 de 50 GO ( pour windows XP ) - partition 3 de 46 GO ( pour DEBIAN ) - partition 4 de 4 GO ( pour swap linux) PROCEDURE : - 2003

ils conservent toute leur valeur pédagogique. Une nouvelle version de l’ouvrage pourrait à terme contribuer à mutualiser les nouveaux outils mis en oeuvre par les administrations de l’Etat en matière de contrôle de gestion et de pilotage de la performance. En attendant cette nouvelle version, puisse ce retirage de l’édition de juin 2002 vous être utile. Stéphane ZUGETTA Délégation interministérielle à la réforme de l’État Centre de ressources “contrôle de gestion” stephane.zugetta@dire.pm.gouv

gaspillages d’une organisation bureaucratique lourde et improductive installée pendant l’Etat providence : une meilleur gestion des ressources disponibles selon les principes de productivité et de relation couts – avantages et la transposition des logiques néolibérales dans l’administration publique. la légitimation du marché par l’appelle aux règles de gestion typiques de l’entreprise bouleverse une évolution historique de long terme en posant l’influence des objectifs économiques des gouvernements

qu'elles étaient dans la loi de finance de l'année. Permet au parlement de comparer les opérations définitivement exécutées avec les prévisions et autorisations votées. - Les lois spéciales. En plus des types de loi susnommés, l'article 45 de la LOLF prévoit 3 autres sortes de lois de finances qui ont la particularité commune de devoir permettre d'assurer la continuité de la vie nationale en cas de circonstances exceptionnelles. La loi partielle comportant la première partie de la loi de finances

brut. La dépense augmente avec la richesse nationale. 3) le gonflement et la diversification des ressources. C'est toujours en parallèle avec une dépenses qui augmentent et des recettes qui augmentent aussi. La diversification est logique car si les dépenses augmentent il faut trouver davantage de ressources l'impot ne peut pas être le pourvoyeur de la dépense publique. D'autres recettes ne sont pas des impositions. Il y a aussi le recours à l'emprunt qui finance notamment le déficit

IRRECEVABILITÉS FINANCIÈRES ............................................................. 115 §1. L’article 40 de la Constitution ................................................................................. 116 §2. L’article 47 de la LOLF et l’exercice du droit d’amendement sur les lois de finances .. 120 SECTION 2.– LE VOTE DE LA PREMIÈRE PARTIE ................................................................. 122 SECTION 3.– LE VOTE DES CRÉDITS ET DES PLAFONDS DES AUTORISATIONS

devient alors impossible de rendre l’Etat plus efficace sans changer les rouages de la gestion administrative. S’ajoutent à cela deux éléments majeurs. Premièrement la montée en puissance de la culture d’audit qui remet en question la mesure de la performance et fait naître de nouvelles façons de contrôler les bureaucraties. Le deuxième élément est ce que LAUFER appelle « une crise de légitimité », crise qui pousse l’Etat à mettre en place un système de justification de ses actes auprès de l’opinion

niveaux de dépenses, calendrier d’acquisition des capacités, et performances techniques des armements : c’est l’objet du processus d’élaboration de la version actualisée du référentiel (VAR)9 par lequel sont proposées au ministre, avant un éventuel arbitrage en conseil de défense, les mesures de nature à assurer une utilisation optimale des crédits d’équipement des armées. Avec la mise en œuvre de la Loi organique de loi de finance (LOLF), un nouveau processus de gestion budgétaire a été initié : la

personnes publiques. Le budget apparaît comme un acte de prévision dans lequel sont retracées les ressources et charges de la personne publique et cela pour une année. L’article 6 de la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001, dite LOLF, dispose que « le budget décrit, année après année, l’ensemble des recettes et dépenses budgétaire de l’Etat ». Le budget n’est pas un acte juridique stricto sensu. Son existence juridique est liée à son insertion dans un acte législatif qui est

service portent l'essentiel de l'image perçue par la collectivité. Ainsi, en facilitant les obligations des contribuables favorisons-nous le civisme fiscal, ce qui permet aussi de diminuer le coût de gestion des impôts. Avec un rapport annuel de performance publié depuis 3 ans, la DGI a été un des services publics précurseurs à "rendre des comptes" sur le bon emploi des deniers publics. Cela permet de mesurer la productivité de nos services et donc d'en évaluer les coûts. Il s'agit d'une communication