Le Paradigme Culturaliste

camp. En 1973, ici même au Québec, le Centre des femmes 4, dans son journal Québécoises Deboutte, identifiait lui-aussi trois courants au sein du féminisme québécois (sans compter le sien propre) : le féminisme « réformiste » , le féminisme « culturaliste », celui qui s’attaquait aux aspectsculturels de l’oppression et, en troisième lieu, le féminisme « opportuniste ou individualiste », celui des femmes qui luttent seules pour faire carrière dans le monde des hommes. Le Centre des femmes, pour

croyances, pour des raisons définies et assignables ». William James L’illustration de la couverture reproduit une peinture de Madeleine Martinez-Ubaud. SOMMAIRE CHAPITRE INTRODUCTIF LES ENJEUX ÉPISTÉMOLOGIQUES DU SYSTÈME MONDIAL VISIONS, PARADIGMES, REPRÉSENTATIONS, THÉORIES ET IMAGES EN RELATION INTERNATIONALES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11 Ethno-égocentrisme et conception de la nature humaine . . . . . . . .16 L’impossible impasse sur la

bateau  CIAM4] 2) Histoire de l’archi et de l’urbanisme en Belgique On peut voir la Belgique comme une espèce d’éponge qui absorbe toutes les influences. Fr. Choay : -- tendance progressiste, voit vers le futur, essaie de nouveaux modèles. -- culturaliste (Huggin, Moris,…) : vision négative de la ville industrielle. Retour vers des modèles anciens (villes médiévales)  Ces catégories là ne “servent à rien” du point de vue de la Belgique qui en est la synthèse. Plan de Lisbonne (après désastre)

dénoncer des manœuvres politiques. Bien que les médias n’aient pas le pouvoir de changer le cours de l’histoire, les médias peuvent l’accélérer. II. Approche psychologique L’approche psychologique est importante car il faut étudier la naissance du paradigme sur les processus d’influence. On assiste à une massification (pas au sens quantitatif) mais au sens de masse informe et de mélange des catégories sociales. Quel que soit les classes sociales, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Cette société

changement. Les auteurs tentent de décrire l’action organisée des hommes en analysant les conditions qui la rendent possible et les contraintes qu’elle impose pour permettre au lecteur d’accéder à une posture intellectuelle capable d’intégrer le paradigme central qu'offre le problème contingent de l’acteur et du système. La démarche est donc explicite, et commentée tout au long de l’ouvrage, ceci tout particulièrement au chapitre VII, qui organise la transition vers la troisième partie - de l’analyse

changement. Les auteurs tentent de décrire l’action organisée des hommes en analysant les conditions qui la rendent possible et les contraintes qu’elle impose pour permettre au lecteur d’accéder à une posture intellectuelle capable d’intégrer le paradigme central qu'offre le problème contingent de l’acteur et du système. La démarche est donc explicite, et commentée tout au long de l’ouvrage, ceci tout particulièrement au chapitre VII, qui organise la transition vers la troisième partie - de l’analyse

qui, appliqué à cette variété indéfinie d’éléments les fait reconnaître comme intérieurs au patrimoine culturel d’un groupe par opposition à ce qui lui est extérieur » (Ibidem, p 22). Indiquant, dans une perspective proche de celle du mouvement culturaliste nord-américain, la nécessité d’identifier avec la culture un pattern traversant les évidences concrètes (cf. la perspective qu’en donnent Clapier et Valladon dans leur « panorama du culturalisme » en 1976), ils soulignent l’importance fonda mentale

domaines enseignés, il y a une véritable autonomie par rapport à la science politique européenne et internationale. «  La science politique se caractérise par une trajectoire intellectuelle relativement singulière par rapport aux tendances et aux paradigmes internationaux. » Le dialogue avec certaines disciplines frontières est privilégié (sociologie, histoire, anthropologie) au détriment d’autre discipline plus formalisé (psychologie, économie). * Les études de cas et les recherches de terrain

changement. Les auteurs tentent de décrire l’action organisée des hommes en analysant les conditions qui la rendent possible et les contraintes qu’elle impose pour permettre au lecteur d’accéder à une posture intellectuelle capable d’intégrer le paradigme central qu'offre le problème contingent de l’acteur et du système. La démarche est donc explicite, et commentée tout au long de l’ouvrage, ceci tout particulièrement au chapitre VII, qui organise la transition vers la troisième partie - de l’analyse

dominés. Dans cette perspective, le choix du terme « d’emprise » retenu par les auteurs ne saurait relever du hasard. Il est difficile, en effet, d’imaginer que M. Pagès n’avait pas connaissance des travaux psychanalytiques sur ce thème. Dans ce paradigme, cette notion renvoie, dans son sens clinique, à l'idée de domination, d'influence ou de mainmise (Couchard, 1991 ; Ferrant, 1991, 2001). Dans la lecture proposée par M. Pagès et ses collaborateurs, l'emprise peut se lire simultanément comme une