Rationalité Et Taylorisme

pas plus que le registre des " actions logiques ", les théories de la rationalité économique ne puissent rendre compte de cette question. L'idée de " rationalité limitée ", développée par Simon, a mis en évidence le caractère non logique des décisions de gestion : la décision est non-logique parce que le décideur ne peut, en pratique, disposer de l'ensemble de l'information nécessaire : c'est la limite objective de la rationalité. Mais elle est également limitée de façon subjective : par les normes

Winslow Taylor a développé au début du XXème siècle le concept d’organisation scientifique du travail "OST" qui repose sur les principes de la division, la rationalisation et le contrôle du travail. De nombreux auteurs ont décrié et critiqué le taylorisme en raison de la déshumanisation du travail qu’il entraînait, et du climat de méfiance qu’il introduisait entre la hiérarchie et les ouvriers. Henri FAYOL a conçu la doctrine fonctionnelle et plus spécialement la fonction de direction générale

principe taylorien, cette pensée repose sur l’homo-oeconomicus (tt est rationnel, on exclu l’affectif), appelé aussi le one best way. L’indiv capable de prendre la best décis° qu’il soit car elle est la + rationnelle. Les 5 commandemts du taylorisme : Taches répétitives : étudiées ds les moindres détails : outillage, ergonomie des postes de t, manière de procéder, tps d’exécut°. Ensuite la best façon de faire doit ê enr et prescrite à ceux qui réalisent cette tâche. Les actv doivent ê subdivisées

(classique puis néo-classique) sont, à l’opposé, celles qui sont porteuses du projet initial, lequel s’articule autour de trois mots-clés : la rationalité (expression radicale de l’intentionnalité), le contrat (et son préalable, la négociation) et le marché. Dans ses développements les plus récents, la théorie de référence développe le pôle de la rationalité individuelle et fait du contrat la catégorie de base permettant de maintenir la cohérence de la théorie (O. Favereau, 1989b). Sur cette base,

Guillaume DuvalL’entreprise efficace à l’heure de Swatch et Mc Donald’s Isabelle DESBREE - Cours de M. Yvon PESQUEUX – Année 2005Guillaume Duval L’entreprise efficace à l’heure de Swatch et de Mc Donald’s La seconde vie du taylorisme 2e édition – Paris, Syros, 2000 (Alternatives Economiques) Table des matières 2 L’auteur 2 Postulats 2 Hypothèses 3 Démonstration

loi, établie par voie législative ou bureaucratique.. Pour lui, dans les sociétés modernes contrairement aux sociétés traditionnelles, la capacité d’action des chefs, leur autorité, s’appuient en priorité sur la légalité de leur fonction et la rationalité de leurs décisions. Max Weber définit l’administration bureaucratique idéale, strictement hiérarchisée mais parfaitement efficace. Dans cette forme d’organisation, qu’elle soit une entreprise ou une bureaucratie d’Etat, les règles sont impersonnelles

maximisation du taux de croissance * Williamson : modèle discrétionnaire (slack organisationnel) * Jennon & Meckling : théorie de l’agence ou relation principal/agent * Théorie comportementale ou behavioriste : * Simon : la rationalité limitée * Cyert & Marsh : l’entreprise, lieu de coalition * Mécanismes de résolution des conflits : * Raisonnement sur niveau de satisfaction * Prise de décision séquentielle * Jeu organisationnel * Application de procédures

que le management suppose que ceux qu'il appelle les « administrateurs » soient capables de mettre en œuvre la palette des compétences essentielles, à savoir : « Prévoir. Organiser. Commander. Coordonner. Contrôler. »7 Le souci de précision et de rationalité doit donc présider dans l'administration et l'organisation bureaucratique. Il comprend que le prix des approvisionnements, la fiabilité des outils, la disposition des lieux de travail et la qualité de l'encadrement comptent tout autant que la quantité

principe de rationalité, parce que sinon, on ne peut pas prévoir ; c’est donc toute l’économie qui s’effondre. Or, un certain nombre de critiques vont être faite au néo-classicisme : l’humain n’est pas forcément un être rationnel, il est aussi conduit par des sentiments. L’agent économique est capable d’intégrer toutes les informations, et faire les meilleurs choix. Or, les êtres humains ne sont pas capables de retenir autant d’information. L’être humain est limité dans sa rationalité, il est incapable

|Aujourd’hui | |Environnement |Prévisibilité de l'environnement. |Evolutions de l'environnement de moins en moins prévisibles. | | |Rationalité des décisions. |Mutations de plus en plus rapides. | | |Stabilité. |Facteur humain, limite de l'efficacité de l'organisation