La Cafetière et autres contes

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L’exclusion sociale et les superstitions

L’exclusion sociale est mise en avant dans la nouvelle Jettatura. Paul et d’Alicia s’apprêtent à se marier ; toutefois, lorsque Paul se rend dans le pays de sa promise pour faire la rencontre de ses parents, il rencontre une opposition radicale dont il ignore les causes. Ici l’auteur présente son personnage comme la victime de toutes les formes d’exclusion sociale quelles qu’elles soient : racisme, xénophobie, ethnocentrisme, radicalisme religieux, etc. Lorsqu’il marche dans la rue, les gens l’évitent et il ne parvient pas à comprendre la raison du mauvais traitement qui lui est réservé. Et pour toute explication : le mot « jettatore ». En effet, on lui reproche d’être un « jettatore », un homme doté de pouvoirs surnaturels qui répand autour de lui le malheur et la tristesse. Les gens qui le croisent se signent pour s’en préserver et se tiennent aussi éloignés que possible de lui.

L’auteur dénonce là les préjugés et les superstitions les plus stupides, qui naissent des esprits peu éclairés et engendrent des craintes infondées même chez des esprits brillants parfois. Des superstitions

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