Friedberg

de l’organisation ou bien doit-on au contraire s'efforcer de garantir ces libertés pour éviter une dégradation irrémédiable ? » 2 SOMMAIRE L’HOMME LIBRE AU SEIN DE L’ORGANISATION      Généralités 4 La liberté selon Crozier et Friedberg 5 L’évolution de l’organisation 6 Le jeu de l’insoumission 6 Le personnalisme comme humanisme : entre aliénation marxiste et matérialisme libéral 7 L’HOMME SOUMIS AU SEIN DE L’ORGANISATION  La théorie du capital humain : Yves Simon et Henri 9

Source (ou zone) d’incertitude organisationnelle (Erhard Friedberg) On emploie le terme « source d’incertitude organisationnelle» pour désigner les problèmes qui conditionnent le bon fonctionnement d’une organisation et qui confèrent du pouvoir à celui ou à ceux qui les contrôlent face à d’autres acteurs dont la tâche dépend de ce contrôle. La notion de « source (ou zone) d’incertitude organisationnelle » a été introduite par Michel Crozier dans son analyse de la bureaucratie, et reprise ensuite

passé un accord avec la Poste. - Elle a établi un courant avec le prestataire 6. commentez la résistance au changement à laquelle sont confrontés les dirigeants de Celerita 7. 8. Présentez, en vous appuyant sur les travaux de Crozier et Friedberg, les moyens à mettre en œuvre pour atténuer cette résistance au changement

fonctionnerait jamais ou que cela eatit complétement inutile.Ces differentes reaction m’ont alors interpellé dans le sens cela partait à l’encontre de l’effet recherché à savoir impliquer Mais le changement dans un groupe comme le definissent crozizr et friedberg est un apprentissage il est le resultat d’un processus collectif à travers lequel sont mobilises les ressoucres et capacité des acteurs.Et selon bernoux philippe et non michel cela renforce l’identité du groupe. Dans cette problématique, j’ai oublié

avec ses faiblesses, son imprévisibilité et son affectivité. • approche fonctionnaliste : une organisation est un système organisée et normée à l'intérieur duquel les acteurs ont intériorisé des valeurs et des rôles sociaux appropriés. Crozier et Friedberg vont produire un modèle de l'analyse stratégique des organisations. L'organisation est un construit social, cad le résultat de la coopération d'acteurs disposant tous d'une certaine marge de liberté. Entre l'acteur et le système (prof et orga) on

de tout prévoir. De fait, l'organisation a également une rationalité limitée. Ce qui a été reproché à March et Simon a été d'analyser les 5/43 COMMUNICATION STRATÉGIQUE L2 INFO-COM/S4 organisations selon un schéma rationaliste. Crozier et Friedberg ont écrit « L'acteur et le système » en 1977. Ils proposent un nouveau type d'analyse sociologique qu'ils appellent l'analyse stratégique. Ils pensent que l'agent ne choisit pas au hasard, il fait des choix selon ses valeurs et la manière dont il

années 70, le structuralisme a perdu de l’influence en France et a laissé place en sociologie à des courants qui se focalisent sur l’acteur, comme par exemple le comportementalisme : l’individualisme de Bourdon, l’analyse stratégique de Crozier et Friedberg, l’analyse de l’action d’Alain Touraine et l’analyse de l’habitus de Bourdieu. B. Entre les structuralismes et l’ethnocentrisme : le choix du théoricien Avant tout, nous devons observer que le structuralisme est rigide. Nous avons un souci dans

(Institution sociale= Famille) Dépendance externe de l’organisation : Entre l’entreprise et l’environnement il y a des jeux de pouvoirs se qui va conditionner ce qui se passe dans l’entreprise. Analyse stratégique des organisations : Crozier et Friedberg => sociologues français : Met en évidences les rapports de pouvoir, les organisations sont des systèmes sociaux. Dans ces systèmes ont va avoir des jeux politique dur pour élargir ses ressources et ses pouvoirs. Toutes entreprises bureaucratiques

une relation négociée qui fait qu’il n’y a pas de pouvoir sur quelqu’un sans que ce quelqu’un ait la possibilité de vous influencer. Donc c’est un pouvoir qui est trés inégal, mais qui est réciproque. Plus tard, en 1977, en collaboration avec E. Friedberg, il donne une premiére définition du pouvoir trés générale : le pouvoir est la capacité pour certains individus ou groupes d’agir sur d’autres individus ou groupes.  Le pouvoir du point de vue de l’organisation Mintzberg définit le pouvoir

(Greenan, Mairesse, 2006). En effet, une partie des travaux théoriques considère que les organisations sont singulières, difficilement saisissables en tant qu’« objet », et décale le regard, par des approches de terrain, vers « l’action organisée » (Friedberg, 1997) ou le « travail d’organisation » (Terssac, Lalande, 2002). À l’inverse, les travaux sur l’isomorphie des organisations constatent qu’à une période donnée celles-ci ont tendance à se ressembler (Di Maggio, Powell, 1983). Le constat de la