Relations Intergroupes Conflits

Sous discipline de la psycho Psychologie sociale Introduction : * L’homme vit en société, il a besoin des relations interpersonnelles. * Toute science a : * Un objet d’étude * Des méthodes propres * Dans le panorama scientifique actuel rien n’est statique, des nouveaux objets peuvent apparaître avec de nouvelles méthodes peuvent être proposés. Définition : ALLPORT 1954 « la psychologie sociale consiste à essayer de comprendre et d’expliquer comment les pensées, sentiments

d’avoir une meilleur connaissance des marchés, de mieux se faire comprendre, mais aussi d’adapter sa politique commercial en fonction des attentes de la culture des pays. Une telle démarche peut permettre de se démarquer de ses concurrents en créant la relation et un climat de confiance avec ses futurs clients et partenaires b. Innover par la confrontation des points de vue L’innovation constitue un des objectifs prioritaires dont les entreprises multiculturelles peuvent bénéficier en raison des avantages

GROUPE PRIMAIRE Un nombre restreints d’individus, chacun peut avoir une perception individualisée des autres. On poursuit de manière active les mêmes buts. Beaucoup d’échanges interindividuels. Relations affectives persistantes même en dehors des actions en communs. * LE GROUPE SECONDAIRE Relations contractuelles, Structuration importante avec une division de taches importantes et des structures de fonctionnement qui règlent les rapports entre les individus D. Les trois notions propres

membres. Questionnaire du collègue le moins apprécié (CMA) Instrument de mesure qui permet de déterminer si le style de leadership d’un dirigeant est axé sur les relations ou sur la tâche. Les leaders axés sur la tâche obtiennent de meilleurs résultats lorsque la maîtrise situationnelle est forte ou faible et les leaders axés sur les relations lorsque la maîtrise situationnelle est moyenne. Programme de formation «adéquation leader-situation» : Programme de formation où les leaders apprennent à analyser

pondéré par d’autres considérations, telles que la croissance de la firme, la qualité des relations sociales internes, l’image extérieure, etc. Tarification publique[5] En similitude avec le secteur privé, la tarification dans le secteur public ne se réfère pas simplement aux quantités achetées. Mais la plus forte proportion de services et la volonté de favoriser certaines consommations font que la relation tarif/quantité ne constitue qu’un critère parmi d’autres. Cela induit à son tour une

   L’actualité nous démontre que les bonnes relations au travail sont indispensables à l'épanouissement personnel de chacun. En effet, les nombreuses dépressions nerveuses qui conduisent de plus en plus les travailleurs aux suicides liés aux mauvaises ambiances de travail, ont dernièrement fait la une de l'actualité : que ce soit France télécom (qui recensent 32 suicides en deux ans) ou bien Renault (on compte trois suicides en quatre mois). Ainsi de mauvaises ambiances de travail peuvent nuire sur

puisque ce syndrome permet la survie des otages. Ce syndrome souligne cette importance qu’on accorde à autrui ; il peut se former des impressions et des changements dans l’esprit de chacun. La vision des autres est modifiée, apparition de relations intergroupes, influence sociale,… Rem : - les autorités responsables du dénouement font tout pour faciliter ce syndrome - les ravisseurs professionnels, l’évitent. Ils empêchent les interactions. Cela soulève aussi la question de l’influence sociale

décision rapide et court terme Style analytique : prudente, analyse option, s’adapte nouvelle situation Style conceptuel : trouve des solutions créative à long terme, sociabilité Style comportemental : groupe, sollicite l’opinion, tente d’éviter conflit, prise de décision longue mais aux convictions du décideur. Les sources de jugement (comment on décide) 1. Cadrage : Façon dont une problématique est présentée et qui, par le fait même, influence les modes de réponses. 2. Les heuristiques :

groupe et l'objectif de ce groupe. Dans la « pensée groupale », la cohésion socio-affective semble primer sur la cohésion socio-opératoire (l’énergie d’Entretien est supérieure à l’énergie de Production déployée). En d’autres mots, l’évitement du conflit se fait au détriment d’une prise de décision optimale. Oberlé le démontre bien en parlant d’une « volonté de préserver l’unité, la solidarité, l’esprit de corps avait primé… au nom de l’harmonie… La loyauté…Au dépend de l’efficacité. ». Examinons

de menace, un groupe peut exprimer sa solidarité en s’attaquant aux autres groupes ou en engendrant des situations de compétition. On remarque donc un lien potentiel entre le renforcement de la cohésion intragroupe et la possibilité de tension intergroupe, celle-ci étant directement influencée par le rang, l’échelle de « distance sociale » et le type de conduite admise dans chacun des groupes concernés.L’influence au sein du groupe Dans un groupe, chacun modifie l’état de connaissance de l’autre