Fidélisation Galeries Lafayette

avancer que la fidélité passive résultant de l’inertie, de la paresse ou du risque perçu, est relativement fragile et qu’il serait risqué pour une entreprise commercialisant la marque X de reposer sur ce concept et l’adapter dans sa stratégie de fidélisation. Cette fidélité passive est également susceptible de se dissiper dans deux cas : soit lorsque l’insatisfaction du client est apparente et fortement considérable, soit lorsque les concurrents les plus proches disposent d’une offre plus attrayante

ternie 1) Un consommateur engagé 2) La loi Raffarin Conclusion Bibliographie Annexes I. De l’évolution des centres commerciaux… A l’automne 1969, Parly 2 et Cap 3000 ouvrent leurs portes. La France ne compte encore que quelques galeries que l’on appelle centres commerciaux. A la même époque, s’élaborent en France de nombreux et importants projets d’urbanisme. A la fin de l’année 1974, 230 centres commerciaux, représentant 5 millions de mètres carrés, avaient déjà été mis en service

| |Nom : BRIET |Raison sociale : Alifax | |Prénom : François-xavier |Adresse : 9 rue Lafayette 75009 PARIS | | | |Missions et Activités Ponctuelles

1.1 Contexte Géographique: 1.1.1 Zone De Chalandise Le siège social se situe au 9 rue Lafayette 75009 PARIS. Le siège social est également un point de vente et l’endroit ou est domicilié le service Internet. Sa zone de chalandise est très dense, ceci est dû à la proximité des Galeries Lafayette, de la gare Saint Lazare et de l’Opéra. La zone de chalandise est déterminée par des courbes isochroniques elles se divisent en 3 zones. | | | |1ère zone:0à

Pour certaines matières premières, les fabricants procèdent également à l’appel d’offre. Le pouvoir de négociation des clients Les clients des marques de cosmétiques du circuit sélectif sont : Les distributeurs : les grands magasins (Les Galeries Lafayette, Le Printemps, Le Bon Marché, La Samaritaine, BHV), les parfumeries indépendantes et les chaînes de parfumerie (Séphora, Marionnaud) Le consommateur final qui achète soit dans ces réseaux de distribution soit dans les boutiques propres de la

Monroe,… * Lourds investissements en recherche et développement des produits * Première couturière à avoir lancé ses parfums | * Prix des vêtements très élevés (entre 200 et plus de 1 000€) * Pas d’achat sur internet * Pas de système de fidélisation * Certains marchés ne sont pas forcément adaptés à Chanel comme le ski | OPPORTUNITES | MENACES | * Le marché du luxe est en forte croissance au niveau mondial * Marché du luxe = 168 milliards d’euros en 2010, évolution constante depuis

plus dans un centre commercial, comme Cap 3000, la concurrence est encore plus rude. En effet, une soixantaine de magasins se partage le marché (voir annexe 5, page 20). Cependant les concurrents les plus sérieux pour CLUBOTHEQUE sont “Les Galeries Lafayette” et des boutiques comme “Mac Dylan” ou “Chevignon” qui présentent parfois les mêmes types de produits. CLUBOTHEQUE se doit donc d’être le plus attractif possible avec, comme nous l’avons vu dans l’organigramme, une spécialiste qui conçoit

marque propre et les discounters industrialisés (sans marque) qui sont les plus nombreux.  Les Grands Magasins Moins nombreux, les Grands Magasins (Les Galeries Lafayette, Le Printemps), ne représentent que 7% des ventes, mais proposent une offre de plus en plus tournée vers le prêt à porter (70% de leur surface de vente). Les Galeries Lafayette viennent ainsi d’ouvrir leur « espace VO », un immense showroom dédié à la mode des 15-25 ans. Ces enseignes se positionnent sur le haut de gamme, s’adressant

premiers supermarchés en ligne français (auchandirect.fr, ooshop.com et houra.fr) se sont développés sous l’impulsion des enseignes du commerce intégré (respectivement Auchan, Carrefour et Cora). Il convient d’y ajouter également le groupe des Galeries Lafayette, spécialisé dans l’exploitation de grands magasins et de magasins populaires, dont l’activité de VAD de PGC alimentaires sur minitel a migré vers Internet en devenant telemarket.fr. Ces enseignes, qui font figure de « pionnières » de la cyber-épicerie

Programmes de Fidélisation: Stratégies et Pratiques Christophe BENAVENT (Christophe.benavent@iae.univ-lille1.fr ) Professeur à l’IAE de Lille et Directeur de la Recherche au CLAREE Lars MEYER-WAARDEN (Meyer-waarden@infonie.fr) Doctorant à l’IAE de Pau et à l’Institut des Théories Décisionnelles à l’Université de Karlsruhe (RFA). Responsable du groupe de recherche Franco-Allemand “International Research Group for Relationship- and E-Marketing”. Mots clés : Programme de fidélisation, CRM, Analyse